Les terminaux portuaires àconteneurs en Afrique Ouest et Centre

Etude de marché sur les terminaux conteneurs d’Afrique de l’Ouest et du Centreidentiques mais un seul point apparaîtra sur le graphique, ce qui induit un biais en défaveurdes séries les plus importantes. Certaines d’entre elles peuvent être relativementimportantes puisqu’un même design élaboré par un chantier peut être proposé à denombreux armateurs. Par exemple, 132 navires ont été construits à partir du design dit« CV1100 Plus », repris par de nombreux chantiers chinois et européens. Ces graphiquessont néanmoins des éléments visuels pertinents et le biais évoqué sera corrigé par desdonnées chiffrées.Etude de la flotte éligible par portLes capacités nautiques prises en compte dans les graphiques concernent les portssuivants :Note sur les graphiques : Pour davantage de lisibilité, les catégories de navires pouvant êtreaccueillies en totalité dans un port ont été retirées des graphiques. Il en va de même pour lescatégories de navires non éligibles.Dans le cas du port d’Abidjan par exemple, nous avons retiré volontairement du graphiqueles navires de type « Feeders » (capacité inférieure à 1000 EVP) ; ainsi que les navires avecune capacité supérieure à 6000 EVP. En effet, les navires « Feeders » sont tous éligiblesalors qu’a contrario, aucun navire de plus de 6000 EVP n’est éligible au port d’Abidjan. Lesnavires dont la capacité est comprise entre 1000 et 6000 EVP sont donc les seuls à figurersur le graphique. Ce principe a été répété pour l’ensemble des ports étudiés.Rapport final– MLTC/CATRAM – 15/01/13 33