Bulletin num. 19 du 16-12-2009 - Institut des Amériques

TransaméricainesPage 70 of 71Critères et règles de soumissionLes propositions de communication, écrites en français, doivent comporter un titreprovisoire et un résumé de 300 mots au maximum où seront exposés le sujet, lesenjeux, la méthode comme les résultats attendus ou obtenus.Le formulaire en ligne vous permet d’y inscrire, dans un premier temps, un résumé de300 mots. Dans un second temps, selon la réponse du comité scientifique le 10décembre prochain, vous pourrez soumettre votre communication définitive avant le 15mars 2010 en y incluant :- une notice biographique de l’auteur (avec coordonnées, affiliation);- une brève bibliographie de ses dernières publications.Les candidats seront informés de la sélection du Comité scientifique au plus tard le 10décembre 2009.Les auteurs des communications retenues s’engagent à remettre un texte définitif pourpublication au plus tard le 15 mars 2010.L’ensemble des communications et des débats fera l’objet d’une publication éditée en2011.Contact : Philippe Duhamelphilippe.duhamel@univ-angers.frProfesseur - EsthuaCo-animateur du conseil scientifiqueUniversité d'AngersSource : Françoise Roujean - La Gazette du 28Information&Communication IHEAL-CREDALUMR CREDAL CNRS - Université Sorbonne Nouvelle Paris IIIAutres informations :www.rendezvouschamplain.comJournée d'étude (appel à communications) : Des Netroots et de la démocratieen Amérique au XXIème siècle. IMAGER (Institut des mondes anglophone,germanique et roman) Université Paris-EstPropositions de communications avant le 16 janvier 2010 ; Journée : jeudi 17 Juin 2010France - Marne la ValléeCette Journée d'Etudes a pour but d'engager une réflexion sur la façon dont, et dansquelle mesure, l'influence grandissante des « netroots » est en train de modifier lamanière de faire de la politique aux Etats-Unis. L'internet est-il, comme le déclaraitHoward Dean en 2007, « l'outil le plus significatif pour encourager la démocratie depuisla presse à imprimer, étant donné que le pouvoir ne repose plus sur un système demessage centralisé mais sur des électeurs qui exigent que les hommes politiques lesécoutent avant de s'adresser à eux » ?Il importe aussi d'examiner la relation des blogs de droite comme de gauche avec lesmédias traditionnels, puisque de plus en plus de personnes y collectent et échangent desnouvelles ainsi que la capacité des « netroots » à persuader les journalistes de formulerle discours politique d'une façon qui remet en question le statu quo. Peut-on affirmer quel'internet, à cause de son interactivité, a une plus grande capacité à pousser les citoyensà s'engager, à prendre part au débat politique et à des actions communes, alors que lesquerelles partisanes sont dénoncées comme la principale cause du cynisme des citoyensà l'égard de leurs élus ? En effet, les journalistes ne cherchent-ils pas à présenter lesnouvelles de manière objective, alors que les internautes prennent parti et défendentleur point de vue, parfois vigoureusement, revendiquant ainsi leur droit à la libertéd'expression.16/12/2009