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59La moyenne de l'hétérozygotie théorique (2,1 %) obtenue dans cette étudeest également faible par rapport aux données de la littérature: 5,8% (McAndrew etMajurndar, 1983) et 3,6% (Rognon, 1993). Elle est cependant du même ordre quecelle trouvée par Seyoum en 1989. Ces faibles taux moyensde polymorphisme et d'hétérozygotie sont dus au grand nombre de populationspeu polymorphes ou totalement monomorphes (Baringo) étudiées.2.1.4. Structu"ration de la diversité génétiqueLes distances génétiques (Nei, 1972 et Wright, 1978) calculées entre les différentespopulations analysées sont présentées sur les tableaux VIII et IX. Celles de Nei(1972) varient de 0 à 0,115; la plus grande étant observée entre Bamako et Baringo.Les distances génétiques moyennes (Nei, 1972) sont relativement élevées entre lespopulations du Nil et celles de l'Afrique de l'Ouest (0,042). Les populations deBattor et Bouaké-Volta sont génétiquement identiques (DG = 0,000). Ceci confinnele fait que cette population domestique provient effectivement du bassin de la Volta.I} en est de même de la population domestique de Quarun et de celles du Nil. Lesdistances génétiques entre les populations du Nil et celles de Oreochromis n.vu/cani et O.n. eduardianus sont très faibles (0,002; 0,003).Les distances génétiques obtenues par Rognon (1993) varient de 0.003 à0.06 dans les populations de Oreochromis niloticus niloticus qu'il a étudiées. Lesvaleurs obtenues par Seyoum (1989), pour les différentes sous-espèces qu'il aétudiées, vont de 0,01 à 0,077.B. ADEPO-GOURENE Mémoire de Thèse

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