Echo de la Réhab - N°14 - Décembre 2014

Les bateaux tanguent, les trains
bougent, le cinéma s’écoule, les
horloges marquent et sonnent les
heures. Le sport s’anime et on se
réjouit.
Les chansons chantent leur refrain, le
courant nous entraîne.
La relaxation profonde est ma
nouvelle passion.
D’où vient cette innommable souffrance, du
fœtus qu’on désire au bébé qu’on ignore ?
De la violence qu’on exprime pour parler
d’amour dont on ne connaît pas le sens ni les
gestes ?
L’adulte malade d’avoir été méprisé renie son
existence, car en manque désespéré d’amour
impossible à rattraper.
Certes, c'est une coutume asiatique,
culturelle pathologique et orientale.
Pourtant un nouvel amour est là, mais
insuffisant car l’enfant fait l’adulte mais le
parent est le lien.
Christophe M.
J’ai peur aujourd’hui, peur de ne jamais
guérir ce cœur qui se force à sourire.
Un
Cauchemar
m’a réveillée, je
croyais que j’étais
attrapée par trois
chasseurs.
Donner et recevoir c’est apprendre ou
régresser.
Le silence est constructeur quand le bruit fait
des erreurs.
Ophélie
Martine T.
"A St André, il y a un bruit sourd car pendant la nuit les souris dansent…
La haine et la bonne entente ne produisent jamais d’écho mais pendant la nuit rien n’arrête les esprits
malfaisants car le risque d’être puni est nul.
Il suffit pour cela de manipuler les caméras.
Les intrus et les paresseux et donc les mauvais camarades se donnent le mot et c’est un chaos pur et
simple. Demandez des nouvelles à la police et vous en saurez davantage sur Charlotte …"
Aurélia