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Comment vont réagir les clubs de golf en réponse aux nouvelles licences aux coûts dérisoires ?
acceptant de payer. Le golf est un sport nécessitant une infrastructure
démentielle, coûtant des sommes faramineuses à l’entretien. Dans le futur, les
joueurs ne pourront pas tous jouer pour des licences aux coûts dérisoires, il en va
de la survie des terrains, indispensables au jeu.
Constat
Aujourd’hui, les clubs de golfs doivent faire face à de nouveaux défis. En
effet, les adeptes semblent s’intéresser de moins en moins à la vie de leur club et
désormais ne se soucient que de leur possibilité de jouer. C’est ainsi que les clubs
commencent à craindre de manquer de nouveaux membres, dont les cotisations
sont indispensables à l’entretien du terrain et des infrastructures. Appartenir à un
club n’est plus la priorité des golfeurs et de nouvelles licences aux coûts dérisoires
telles que le lancement de la Golfcard Plus de Migros en décembre 2006
n’arrange rien. De plus en plus de possibilités s’offrent au joueur désirant pratiquer
à moindres coûts tout en ayant les mêmes droits que les membres d’un club.
Graphique N°6
Cette dernière est considérée comme une
concurrente directe de l’ASGI, détentrice
jusqu’ici du monopole du golf public en
Suisse.
L’ASGI et Migros sont les principaux
acteurs du golf public suisse et le
développement de ce secteur sera plus
harmonieux pour tous les acteurs dans un
climat serein. Cela aboutira peut-être à
une perception différente du golf public
en Suisse. Il y a une volonté de part et
d’autre de trouver une solution constructive et durable pour les deux entités. Les
golfparcs Migros deviendront certainement bientôt des clubs-Partners de l’ASGI.
Mélanie Springenfeld 40/62 Travail de diplôme – EST – Juin 2007