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George Sand La Mare au Diable roman
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De la même auteure, à la Biblioth
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Notice Quand j’ai commencé, par
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I L’auteur au lecteur À la sueur
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Une tristesse implacable, une effro
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qui, invisible pour eux, leur sert
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II Le labour Je venais de regarder
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le cœur et les bras, travaillant d
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les cornes longues et rabattues, de
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soc, le laboureur criait d’une vo
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faussant systématiquement. Cela es
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lui ont ôté la réflexion. Eh bie
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III Le père Maurice - Germain, lui
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l’ai prise, nous n’avions pas m
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autre. - Vous voulez donc que j’e
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ta position mauvaise. - Vous avez d
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tranquille et vous aussi ; Jacques
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caprices et savent ce qu’elles ve
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soutenait avec des mottes de terre,
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- Vous n’êtes point une bavarde,
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pour des gens comme nous ça commen
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avait le teint frais, l’œil vif
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pour me persuader. Oh ! qu’il est
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- Moi, à votre place, j’aurais a
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ien le trouver ! Il prit dans ses b
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- Vrai, vous avez le cœur trop dur
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entrée bergère chez nous à la Sa
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criât la faim ou la soif. - J’ai
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- Ah ! je la vois, dit la petite ;
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Germain perdit son chapeau dans une
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y a là une fosse, un étang, je ne
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d’abord ici la bâtine. - Qu’en
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moyen de s’en empêcher, quand on
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la faim qui me fait divaguer peut-
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l’homme qui t’épousera ne sera
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IX La prière du soir Petit-Pierre
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- Page 75 and 76: prononça plus qu’avec effort les
- Page 77 and 78: X Malgré le froid La petite Marie
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- Page 81 and 82: le jardin à monsieur le curé ; je
- Page 83 and 84: l’esprit, elle en a plus que ma c
- Page 85 and 86: pierres dans l’eau pour s’étou
- Page 87 and 88: XI À la belle étoile - Pour le co
- Page 89 and 90: mieux donner pour soutien, à une j
- Page 91 and 92: auriez des moments où vous me trai
- Page 93 and 94: Ormeaux ? - Nous sortirons du bois
- Page 95 and 96: mal pour vous. Ainsi faites attenti
- Page 97 and 98: - Je suis venu vous voir, répondit
- Page 99 and 100: plaisanterie lourde et hasardée, e
- Page 101 and 102: messe, et il se mit en route avec l
- Page 103 and 104: je me trouve trop vieux, je n’aim
- Page 105 and 106: onheur à cela, cela ne me regarde
- Page 107 and 108: Pierre : il était pourtant l’heu
- Page 109 and 110: c’est que la jeune fille et l’e
- Page 111 and 112: XIV La vieille Germain se retrouva
- Page 113 and 114: fit juger de suite que c’était l
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- Page 117 and 118: louis d’or au visage, et même as
- Page 119 and 120: XV Le retour à la ferme Au bout d
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- Page 123: avait été forcé de ramener la pe
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- Page 131 and 132: mon vieux, et si je le fais consent
- Page 133 and 134: du feu, si pensive qu’elle n’en
- Page 135 and 136: Marie ! Mais toi, pendant ce temps-
- Page 137 and 138: I Les noces de campagne Ici finit l
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- Page 141 and 142: maison en maison dans toute la paro
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- Page 145 and 146: questions inquiètes sont échangé
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- Page 149 and 150: feu pétillait dans l’âtre de la
- Page 151 and 152: vous plaît ! LE FOSSOYEUR Nous vou
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- Page 159 and 160: Mon père est en chagrin, ma mère
- Page 161 and 162: III Le mariage Aussitôt le chanvre
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- Page 169 and 170: garnies de dentelle. Dans ce temps-
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- Page 173 and 174: femme, paralytique, ne bougeait de
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mauvaise tasse de terre ébréchée
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de la femme. Le païen se réveille
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symbolique. Sans doute il y a là u
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aguettes et des liens, comme font l
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vivent assez longtemps pour donner
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