Compte-rendu du CM du 23.12.08 - Lectoure

Est-ce que vous avez des questions techniques à poser, sachant que cela a été
débattu en Comité de Direction ? Au cas où il y aurait des questions techniques, la
Présidente serait là pour y répondre. »
Dominique TOUZET : « Le Budget Prévisionnel 2009 présente un total de
dépenses de 77 000 €. L’équilibre est assuré par un apport de 54 000 € d’argent
public (taxes et subventions), soit 70 % des recettes. Selon la loi, l’objet du service
pour un SPIC-EPIC doit avoir un caractère industriel et commercial, c'est-à-dire être
une activité de production et d’échange de biens ou de services susceptibles d’être
exercés par une entreprise privée. Par exemple ici, les relations - ventes avec les
tour- opérateurs : dans l’ancienne Association, cette activité représentait 43 900 € de
chiffre d’affaire. Pourquoi n’est-elle pas reprise, même à l’état d’embryon, dans le
budget, Mme FAGET ?
Juliane FAGET : « Elle a été reprise dans ce budget puisque ce budget
comprend 3 catégories de recettes : il y a 26 000 € de taxe de séjour et le restant, ce
sont les produits de la vente. »
Dominique TOUZET : « Non, non, je parle de l’activité, des relations avec les
tour- opérateurs. »
Juliane FAGET : « Il y a les prestations de services : les visites représentant
les 10 000 €. C’est la brochure groupe qui va être mise en œuvre dès cette année et
qui proposera des séjours à thème. C’est ce que nous avait expliqué Thomas
BOUREL lors de la réunion du 14. »
Dominique TOUZET : « C’est un nouveau service mais ce n’est pas noté dans
le budget. »
Juliane FAGET : « Non, ce sont les prestations de services regroupant toutes
les visites. Et « autres ventes », ce sont les ventes de librairies pour 7 000 €. Ensuite,
il y a la location de la Salle d’exposition qui est de 1 000 €, ensuite nous avons des
commissions diverses puisque nous vendons des tickets pour WALIBI et également
pour l’Eté Photographique de Lectoure à hauteur de 1 300 €. Et puis ensuite, vous
avez le téléphone, les photocopies, tout cela pour 1 300 €. Cela fait partie des
prestations, cela fait quand même 33 % de notre budget. Je peux vous assurer qu’il y
a certains EPIC qui sont subventionnés à 95 %. Donc, nous, on s’en sort quand
même avec 33 % de subvention de la Commune plus la taxe de séjour. »
Dominique TOUZET : « Je veux arrêter de critiquer, Mme FAGET, - je vous l’ai
dit en Commission (ce n’est pas une Commission, c’est un Conseil ) – le démarrage
de cet EPIC. Mais ce que je veux faire remarquer à tout le monde ici puisque je l’ai
fait remarquer aussi en séance, c’est qu’un EPIC a pour nom industriel et commercial
c'est-à-dire qu’il est chargé par la Commune en l’occurrence, de faire du commerce
avec les prestataires qui nous environnent et qui désirent venir nous rendre visite.
Dans l’ancien Office de Tourisme, il y avait un organisme qui se chargeait des
relations avec les tour-opérateurs, qui vendaient des produits exactement comme
pourraient le faire des produits commerciaux, exactement comme pourrait le faire
l’EPIC. Apparemment, cette activité n’est pas remise en route. »
Juliane FAGET : « Si, elle est remise en route puisqu’on va faire des séjours à
thèmes mais il faut aussi le temps du démarrage. »
Gérard DUCLOS : « Je crois que là, c’est un débat que vous aurez encore à
l’Office de Tourisme. Je crois que ce soir, on présente la chose ; c’est une bonne
idée, cela existait et comme nous l’explique Annie, cela doit continuer. »
Dominique TOUZET : « Ce que je veux dire, c’est que je n‘avais pas
l’impression que c’était budgété. Alors, j’ai une deuxième remarque à faire : par
ailleurs, on remarque 18 000 € de frais d’édition de catalogues. Ces éditions ne
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