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Mais sa pensée était ailleurs. Onze heures sonnèrent. Alors, rejetant loin <strong>de</strong> lui les papiers, il eut un geste <strong>de</strong> découragement et murmura : — A quoi bon ?... Ello est jugée !... Tout est fini ! Il pensa <strong>de</strong> nouveau à l'étrange jeune fille; et à sa démarche d'une hardiesse si peu commune. Il voulut savoir ce qu'elle allait, faire à la Co-neiergerio. Il s'élança iur s«s traces et l'apetrçutP<strong>de</strong> loin, se dirigeant vers le Pont-Neuf: Elle allait bon train. En quinze minutes, elle eut gagné la cour du Palais. Sénar avait peine à la suivre. Elle fendit la foule compacte, s'informa du chemin à suivre, pâlit en apercevant les huit charrettes qui atten- daient, montra sa carte à un factionnaire qui la laissa passer dans l'étroite cour, et se trouva à la porte du greffe <strong>de</strong> la Conciergerie qui se composait <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux pièces. L'une, assez vaste, servait <strong>de</strong> bureau à Richard, le concierge <strong>de</strong> la prison, qui avait pu rester en fonctions, malgré l'af- faire machinée par Rougeville et Burlan- <strong>de</strong>ux pour sauver la reine. L'autre était <strong>de</strong>stinée, en temps ordinaire, à contenir la fournée quotidienne <strong>de</strong>s condamnés jusqu'à leur départ pour la guillotine. C'est là que lo bourreau et ses ai<strong>de</strong>s venaient coupoa' les chevelures, échan- crer les cols <strong>de</strong> chemises, lier les mains, en un mot faire la toilette <strong>de</strong>s futurs guillotinés. Ce jour-la, Sanson, prévenu par Fou- quier bien avant l'audience, était venu, dès le matin, avec onze ai<strong>de</strong>s et le maté- riel nécessaire. Mlle <strong>de</strong> Saintc-Pazannc vit ces ai<strong>de</strong>s entrer avec <strong>de</strong>s cor<strong>de</strong>s encore teintes du sang <strong>de</strong>s suppliciés do la veille et <strong>de</strong> grands paniers. Le cœur lui manqua. Elle éprouvait comme un dégoût ; ello avait la sensa- tion d'entrer dans un abattoir. Elle se rai- dit et tenta <strong>de</strong> passer entre <strong>de</strong>ux do ces porteurs <strong>de</strong> paniers. — Que veux-tu ? lui <strong>de</strong>manda brutale ment l'un d'eux, garçon imberbe <strong>de</strong> vingt o. vingt-<strong>de</strong>ux ans, les bras nus, la face bestiale, et qui portait do grands ciseaux. Elle avait les <strong>de</strong>nts te'op soirées et la gorge trop broyée par î'éîau <strong>de</strong> i'angoisse pour répondre un mot. Elle se contenta <strong>de</strong> montrer sa carte. Un autre ai<strong>de</strong> à cheveux grisonnants constata l'existence du timbre du Comité sur la carte, et dit : — C'est en règle 1... Entre 1 Mais il l'arrêta par l'eipau<strong>de</strong>, et ce cou* tact la fit frissonner. ' . — Tu as une jolie frimousse 1 dit cet homme dont l'air <strong>de</strong> bonté contrastait avec son sinistre métier. Je serais désolé qu'il t'arrivât malheur. Si tu veux un bon conseil, ne perds pas ta carte, car tu ne sortirais plus ! Tu monterais sur une charrette avec les autres... Ça c'est vu. Ici, l'on n'est pas regardant sur l'ex-. cè<strong>de</strong>nt <strong>de</strong>s voyageuse 1... Ce n'est pas comme aux Messageries 1 Et il entra en riant. La jeune fille lo suivit, serrant sa carte dans sa main. Elle fit quelques pas et s'arrêta ; ses jambes ne pouvaient pdus la porter. Elle avait la vision <strong>de</strong> l'enfer. Elle était environnée do cris, <strong>de</strong> hurle- ments d'agonie, <strong>de</strong> plaintes, <strong>de</strong> sanglote déchirants: Les condamnés, hommes et femmes, étaient, assis côte à côte sur <strong>de</strong>s bancs, gardés par cinquante gendarmes. Sani- son, allant et venant, activait ses ai<strong>de</strong>s, qui échancraient les chemises et les lia- bits, mettaient les épaules à nu, jetaient dans les grands paniers, pêle-mêle, les chevelures coupées et les cols, collets, <strong>de</strong>ntelles récoltés à grands coups <strong>de</strong> ci- seaux sur chacune <strong>de</strong>s victimes, sans dis- tinction d'àgo ou do sexe. Puis, brutalement, ils prenaient les mains, les ramenaient <strong>de</strong>rrière le dos et les attachaient avec les cor<strong>de</strong>s rouges et grossières. Ils agissaient avec l'indifférence do cuisiniers troussant une volaille pour la broche, ou <strong>de</strong> bouchers ligotant le bétail avant le coup fatal. Et soudain elle aperçut, sur le bout d'un <strong>de</strong>s bancs <strong>de</strong> bois, Emilie <strong>de</strong> Sainte- A-maranthe qui attendait son tour pour la toilette. Mlle <strong>de</strong> Sainte-Pazanne pous- sa un cri, courut à elle, la pressa dans Bas bras, la couvrit <strong>de</strong> baisers et lui dit, en sanglotant : — Je suis venue pour vous voir !... La ravissante jeune fille avait conservé tout son calme : — Impru<strong>de</strong>nte ! murmura-t-elle. Qu'è- tes-vous venue fair£ ici ?... Et pourquoi, puisque Dieu a voulu vous conserver la vie, <strong>de</strong>scen<strong>de</strong>z-vous chez les morts ?... — Je suis venue ici pour vous sauver ! murmura Adèle à son oreille. — Me sauver ? et coaninpit ?... J'ai une carte du Comité <strong>de</strong> Sûreté générale. Prenez-la ! Vous sortirez... il y a un tel désordre ici qu'on ne s'aper- cevra <strong>de</strong> rien !... Le nombre y sera : je vais prendre votre place 1... — Et pourquoi ? <strong>de</strong>manda Emilie sur- prise. C'est mal !... Jo m'étais si bien faite à l'idée <strong>de</strong> la mort I... Pourquoi ve- nir me rappeler à la vie ?... — Parce qu'il vous aime et que vous l'épouserez... Son bonheur avant tout !... Je l'ai promis à sa mère mourante... Quant à moi, ne mo plaignez point je mourrai heureuse, alors que j'aurais vécu si malheureuse I Je puis bien vous l'a- vouer, maintenant... Mais vous voyez bien qu'il vaut mieux que je vous rem- place 1... Emilie ouvrait do grands yeux sans comprendre. — Adèle 1... Ma chère enfant !... C'est vin accès <strong>de</strong> fièvre qui vous a saisie I Jo no sais ce que vous me contez... Je ne dois nom* profiter d'un sacrifice pa- reîl,,. — C'est pour lui que je me sacrifie... Je veux vous rendre à lui 1 — A lui ?... Mais à qui ? — A celui que vous aimez !... A l'hom- me qui était à cette séance <strong>de</strong> la Conven- tion ! — A Blleviou î — A Elleviou ?,.. répéta Mlle <strong>de</strong> Sain- te-Pazanne machinalement. Vous avez dit à Elleviou ? J'ai bk-n entendu ?... C'est donc Elleviou que vous aimez 1 — Je croyais vous l'avoir assez insi- nué !... Vous rappelez-vous que j'ai re- fusé <strong>de</strong> vous dire son nom par taquine- rie, pour vous punir, un jour quo vous manquiez <strong>de</strong> confiance envers moi — Ah ! grands dieux !... Et moi qui croyais... — Qui croyais que j'en aimais un au- tre, n'esi-ce pas ? fit Emilie <strong>de</strong> Sainte- Amaranthe avec un sourire pâle, un sou- rire qui ressemblait au parfum d'urne rose prête à s'effeuiller. — Ne me forcez pas à dire ce nom !... Ah ! malheureuse 1 malheureuse que je suis !... — Malheureuse que vous avez été !... fit Emilie <strong>de</strong> Sainte-Amaranthe avec un accent d'indicible bonté. Ah ) je <strong>de</strong>vine, maintenant, et vos mouvements d'hosti- lité brusque et votre tristesse !,.. Et pour- tant, vous m'aimiez 1... Mais vous vous torturiez !... Et tout cela, faute <strong>de</strong> pro- noncer <strong>de</strong>ux noms qui nous étaient chers. Oui, malheureuse que vous avez été, mais heureuse que vous allez être !... Ma gran<strong>de</strong> amie ! Ma chère sceur l... — Oh 1 pardon !... pardon I... dit Mlle <strong>de</strong> Sainte-Pazanne en s'agenouillant (san- glotante. Pardon <strong>de</strong> cette haine que je vous ai portée, en dépit do mes efforts pour mo dominer... J'oi tant .souffert L. Oh ! oui !..'. j'ai souffert I.,. — Allons î à ton tour ti fit soudain une voix ru<strong>de</strong>, près <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux jeunes filles. Un ai<strong>de</strong> s'approchait, avec sa cor<strong>de</strong> et son panier pJein <strong>de</strong> chevelures blon<strong>de</strong>s, onmes, blanches, rousses, nattes <strong>de</strong> fem- mes peie-mêle avec <strong>de</strong>s chevelures rt hommes nouées encore par leur ruban <strong>de</strong> velours, les unes encore poudrées à inmas, les autres châtain ou d'un noir <strong>de</strong> jais. — \A suivre). P11FU.1EHIS Fl.QULE *• TOUL OULOUS* euiiietai Nous publierons prochainement <strong>de</strong>s qus. notre feuilleton actuel scia terminé une œuvra <strong>de</strong>s plus attachantes : par M RESCLAUZE DE DERMON Le talent <strong>de</strong> notre distinguée compalriol est bien connu. En une s&rie d'œuvres V e. remarquées, elle a étudié avec délicatesse profon<strong>de</strong>ur, la crise sociale du mariagm Ici, elle Va abordée sous un jour nouoetm avec une verve, un mouvement, une ém 0' tion tout à [ait remarquables. uvveiHe, par un exemple ; boiiliftir îiV.'i! pas dans laS . manesque, l'éclat <strong>de</strong> la i»» 1 ' j s tueuse et amusante. 7/iais lien jdut"'.y aU $ l'accomplissement da nos <strong>de</strong>voirs /«""" et sociaux. montre à m sanl, que l lanl. lé rom <strong>Bibliothèque</strong> municipale <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong> - Tous droits réservés
LE NUMÉRO 5 CENTIMES RÉDACTION ET ADMINISTRAT^ <strong>Toulouse</strong>, Rue Roquelaine, 25 LE NUMERO 5 CENTIME Trot» mefa irrfB-(UKO!«« ET DÉPARTEMENTS LIMITROPHES .... 6 & ^PABTKMKNTS mn LIMITROPHES 7 - ETRANGER (Uwoo jwsulo) 40 - bu mai 14 fr- 43 - 20 - Cs sa 20*- 24i ~ ce ~ Abonnements partent <strong>de</strong>s i" et 16