M - Bibliothèque de Toulouse

ainxmi z JA^V irMv rois
JS3SESS8&S8S
crêéo actuellement par les négociations enga-
gées entre la France et l'Espagne, l'ambassa-
deur a déclaré que ces négociations sont en
effet do nature délicate, mais se poursuivent
dans la plus grande cordialité et avec le plus
sincère espoir d'aboutir à une solution satis-
faisante.
—- A cette occasion, a-t-il dit, l'aide do la
colonie françaiso en Espagne, plus particuliè-
rement à Madrid, est d'une grande importance,
d'une grande utilité.
» Par son esprit do sagesse, sa cohésion, son
honorabilité, elle a attiré au pays la considé-
ration de la nation où ello réside et est un
appui considérable qui contribue à faire que
ce que nous disons soit écouté avec attention. >
L assistance, cette année, était particulière-
ment nombreuse.
Rome, 1er janvier.
M. Barrère, ambassadeur de France, a reçu
ta. colonie française au Palais Famèse.
On y remarquait M. Carolus Durand, en-
touré, des pensionnaires de la villa Médicis.
Mgr Duehesne avec les élèves do l'Ecole d'Ar-
chéologie, le personnel de l'ambassade et du
consulat, les membres do la Chambre de com-
merce, ainsi que toutes les notabilités françai-
ses résidant à Rome.
Répondant à une allocution du président de
»a Chambre de commerce, M. Barrère a fait
anusion en ces termes au cinquantenaire de
L unité italienne :
— L'Italie a voulu célébrer avec éclat la date
«e son entrée dans lo concert des grandes na-
tions ; elle l'a fait par des manifestations dont
la no.ilçsse et la virilité lui ont valu l'admtra-
uon et la sympathie générales.
a^i«wV? s Peu-Pfc» étrangers ont voulu y
5S?« et te J ur participation aux magnifiques
expositions de Rome et de Turin ont donné
0 .royaume la mesure du haut intérêt
que leur inspiraient ses brillantes destinées. »
i„ , Berlin, 1er janvier,
moni-?, il cl ^ n a été célébré, suivant le céré-
i "J aec outumé, à k WUI, ûe BeTlin.
diplomatique. et nm ^ T ^
matin.
Lever du soleil, T h. 30 ; coticiier, 4 h. ?6.
'L Y A CINQUANTE ANS
2 JANVIER 1862. — Les eaux dc la Garonne,
descendent â 62 centimètres au-dessous de
Cètiage.
M. Bramnc lit à l'Académie des sciences, ins-
criptions et belles lettres, un important mémoi-
re sur un sujet dc balistique ; M. Fttftol pré-
sente d'intéressantes photographies de M. Tru*
tat sur les phases de la dernière éclipse (le
soleU.
Comme h Paris
s La session pendant uiqucue le budget ©SI
discuté peut durer six semaines. » De l'article
46 de la loi municiïnaie.
Après cette citation on a pu line, dans le nu-
méro du 30 décembre de l'Express, les lignes
suivantes :
» Nos conseillers municipaux n'ont pas be-
soin de cette faculté pour apurer le budget de
la commune d© Toulouse. Deux ou trois jours
leur suffisent et, comme nous l'avons dit der-
nièrement, c'est entra la Noël et la saint Syl*
vestre, que se fiait la lecture des articles in-
nombrables d'un budget dont le total en
recettes et dépenses dépasse huit millions
huit cent mille francs, avec au bout une ba-
lance à laquelle personne rus croit, surtout
parmi les fabricants de ce monument sans
base.
Ajoutons, toutefois, que les amis de la muni-
cipalité ont écrit que le conseil municipal avait
pili sur te budget durant de nombreuses séan-
ces officieuses.
En procédant ainsi, les citoyens municipauJ '
violent tout simplement la loi ; ils so déro-
bent au contrôle du public qui est partie
payante dans les comptes et le juge des comp*
tables. •
Dans le numéro du 1" janvier 1912 de ta .
Dépêciic, sous la signature de M. Eugène Four*
nière, nous lisons :
« Vous n'ignorez pas qu© le budget parisien';
se discute à présent en six séances publiques
huit au plus, iu vote devant être émis le 31