Voyez le chapitre 3 : Malbouffe ou bonne bouffe? - Erpi

partie 1
Mode de vie et santé : une relation qu’on ne peut plus ignorer
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Comment réduire à 10% ou moins la proportion de mauvais gras dans
l’apport calorique quotidien? Il vous est toujours possible de tout calculer au gramme
près en mangeant avec une calculatrice et une balance à vos côtés, mais cela risquerait de vous couper
l’appétit. Vous obtiendrez d’aussi bons résultats en réduisant globalement votre consommation
d’aliments riches en gras saturés ou hydrogénés. En clair, consommez un peu moins de hamburgerfrites,
de poutines, de croustilles, de charcuterie, de viandes grasses et de poulet pané, et consommez
un peu plus de produits laitiers légers (lait, yogourt, crème glacée à 1% ou à 2%), d’huiles végétales
vierges, de viandes maigres (volaille, gibier, veau, etc.), de poisson frais et de fruits de mer
(figure 3.4).
3.4
FIGURE
Bon gras,
mauvais gras
Je diminue J’ajoute
Quant à l’huile hydrogénée, il faut la détecter en lisant la liste des ingrédients et l’étiquette
nutritionnelle imprimées sur l’emballage des aliments préparés (figure 3.5), puisqu’elle n’existe pas à
l’état naturel. Chaque fois que l’un ou l’autre des termes «hydrogéné», «partiellement hydrogéné»,
«shortening végétal» ou «lipides trans» apparaît sur la liste des ingrédients ou sur l’étiquette nutritionnelle,
changez de produit si vous le pouvez. Étonnamment, certaines barres de céréales «santé»
contiennent de tels produits. Plus vous boycotterez ces produits, plus les fabricants les remplaceront
par des produits plus sains. La nouvelle étiquette nutritionnelle de Santé Canada comprend désormais
des informations sur les types de gras (y compris les gras trans), la quantité de glucides simples
(sucres) et de fibres alimentaires, les apports en vitamines A et C, en calcium et en fer.
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