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COMMENT DÉMOCRATISER LA
GESTION DE PATRIMOINE ?
Cette année, les travaux du club épargne et gestion de patrimoine ont
porté sur la démocratisation de la gestion de patrimoine. Sous la houlette
des parrains du club, Alain Regnault, senior advisor chez Ageas France
et Tristan de La Fonchais, directeur général adjoint du groupe Matmut,
appuyé par l’expertise de Serge Moreno, directeur marketing épargne et
clientèle patrimoniale d’AG2R La Mondiale, les débats ont porté sur quatre
axes : le modèle économique adéquat, le modèle de rémunération des
intermédiaires, la digitalisation et le marché cible des jeunes épargnants.
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Quel modèle économique pour une gestion de patrimoine
démocratisée ?
La gestion de patrimoine s’ouvre de plus en plus au patrimoine plus
modeste. Elle tend à se démocratiser. Mais pour quel modèle économique ?
Jusqu’à quel seuil de patrimoine descendre tout en conservant une certaine
rentabilité ? Par quels réseaux de distribution passer ?
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Digitaliser pour mieux régner
Un des moyens d’ouvrir la gestion de patrimoine à de nouvelles cibles moins
« aisées » est de réduire les coûts de la distribution à la gestion en passant
par les arbitrages. La digitalisation est l’un des leviers qui permettent de
les optimiser. Nous tenterons d’analyser les différentes problématiques et
solutions à la disposition du marché pour faciliter cette optimisation.
3
3
Comment attirer les jeunes à la gestion de patrimoine ?
La gestion de patrimoine souffre d’une image d’expertise réservée à une
certaine élite. De manière générale, les Français souffrent d’un manque
cruel d’éducation financière. Pourtant la jeune génération représente la
clientèle d’aujourd’hui et de demain. Comment créer le « réflexe » gestion
de patrimoine chez ces profils ?
4
Quel modèle de rémunération ?
Sujet à débat au sein même de la profession, les types de rémunérations
des gestionnaires de patrimoine varient entre une approche produit sujet à
commissions et une approche client qui tend alors vers une rémunération
sous forme d’honoraires. Dans une optique de démocratisation de la
gestion de patrimoine, quel est le modèle optimal de rémunération ?