ISMA News - Association Suisse 6mJI

ISMA News International 6mJI Association Bulletin 1/2004
Liebe Freunde,
Der Frühling steht vor der Tür, und ich möchte die Gelegenheit
nutzen, um einige interessante Punkte aufzuführen,
die dieses Jahr hoffentlich zur Sprache kommen und
entschieden werden können.
Einige Mitglieder haben gefragt, ob es wirklich notwendig
sei, die Messbriefe unserer Boote alle zwei Jahre zu
erneuern. Hiermit erkläre ich die Diskussionsrunde als eröffnet
und hoffe, dass mir möglichst viele Leser zu diesem
Thema schreiben werden.
Auf einem ganz anderen Blatt steht die Frage der Finanzen
der ISMA. Es ist zur festen Gewohnheit unserer Klasse
geworden, dass allzu viele Besitzer ihren Beitrag nicht
bezahlen. Schuld daran sind 1. die ISMA, weil das ISMA
Magazin ein paar Jahre lang nicht erschienen ist, 2. die
Landesverbände, deren Existenz und Organisation gute und
schlechte Zeiten erleben, und 3. die Besitzer selbst, von
denen viele die ISMA nicht für wichtig halten. Diese Probleme
gibt es auch in den anderen Klassen, die teilweise
jedoch Systeme entwickelt haben, um die Beiträge mehr
oder weniger automatisch einzukassieren.
Es ist keine Schande, einem guten Beispiel zu folgen, und
nach einem solchen Beispiel sollten wir uns richten. Das
System nämlich, das die 5.5er Klasse verwendet, hat sich
als extrem effizient und einfach erwiesen. Angenommen,
Sie sind Besitzer eines 5.5 und möchten ein Segel kaufen:
Ihr Segelmacher fertigt Ihnen das gewünschte Segel und
kauft beim Kassenwart der Klasse eine Marke, die er am
Segel befestigt, ehe er es vermessen lässt. Je nach dem,
wie viele Aufträge für das Jahr zu erwarten sind, bestellen
die Segelmacher solche Marken in Zehnerpaketen. Gegen
Bezahlung können die Marken den Segelmachern auch per
Post geschickt werden. Segel, die diese Marke nicht haben,
werden schlicht und einfach nicht vermessen. Wenn
man davon ausgeht, dass jährlich rund 100 Segel für die
Sechser gefertigt werden, kommt man schnell auf 5’000
Euro. Natürlich werden für den Wiederverkauf der vermessenen
Segel keine Gebühren erhoben. Haben Sie noch
andere gute Ideen dieser Art? Dann lassen Sie es mich direkt
wissen, oder berichten Sie ihrer nationalen Flotte
davon.
Ich wünsche Ihnen eine erfolgreiche Saison 2004.
Geneva, 22 March 2004
Bernard Haissly
ISMA President
Chers amis de la Classe 6mJI,
Alors que nous entrons de bon pied dans le printemps,
je souhaiterais évoquer quelques points d’intérêt, au
sujet desquels nous devrons discuter et – je l’espère –
prendre une décision encore cette année.
Certains de nos membres se demandent s’il est
nécessaire de renouveler les certificats de jaugeage de
nos bateaux tous les deux ans. La discussion est ouverte
et je vous saurai gré de bien vouloir me transmettre par
écrit vos points de vue sur la question.
Une tout autre question touche aux ressources
financières de l’ISMA. Il est de tradition que, dans notre
classe, les propriétaires de voiliers ne soient pas trop
nombreux à verser leurs cotisations… la faute peut en
être imputée en partie (i) à l’ISMA, puisque le Magazine
ISMA n’a pas été publié pendant quelques années,
(ii) aux associations nationales, dont l’existence et
l’organisation sont soumises à des aléas et (iii) aux
propriétaires de bateaux eux-mêmes, dont grand nombre
ne porte pas d’intérêt particulier à l’ISMA. Ces
problèmes sont également rencontrés pour d’autres
Classes, mais certaines d’entre elles ont mis au point
des stratégies permettant d’encaisser des recettes, de
manière plus ou moins automatique.
Il n’y aurait donc aucune honte pour nous à suivre un
bon exemple’– et il y en a un qui vaut la peine d’être
étudié. Le système appliqué par la Classe 5.5 a fait, en
effet, la preuve de son efficacité et de sa simplicité. Voici
comment il fonctionne : imaginez-vous à la place d’un
propriétaire de 5.5. Vous souhaitez acheter une voile.
Votre fournisseur, en plus de facturer une magnifique
voile, achètera auprès du Trésorier de la Classe un
marquage spécial, qu’il affixera à la voile avant de
l’avoir mesurée. Il est probable que les fabricants de
voiles commandent ces marquages en lots de 10 par
année, suivant ce qu’ils projettent au niveau de leur
production. Les marquages peuvent aisément être
envoyés par poste aux fabricants de voiles contre
remboursement, ce qui veut dire que les recettes peuvent
être encaissées sans aucun effort additionnel. Il est impossible
au jaugeur de mesurer une voile sans se référer
à ce marquage sur la voile. Si on considère qu’une
moyenne de 100 voiles sont fabriquées chaque année
pour les Six, il est facile de calculer qu’un montant de
¤ 5’000 peut facilement êtr e réuni de cette manière. La
revente de voiles déjà mesurées n’est pas soumise à
taxation, nul besoin de le rappeler. Vous avez d’autres
idées ? Meilleures ?J’aurai grand plaisir à recevoir vos
commentaires directement ou par le biais de notre
association nationale.
Je vous souhaite bonne navigation en 2004.
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