CONSTATÃS PAR DÃPARTEMENT EN FRANCE EN 2011 - inhesj
CONSTATÃS PAR DÃPARTEMENT EN FRANCE EN 2011 - inhesj
CONSTATÃS PAR DÃPARTEMENT EN FRANCE EN 2011 - inhesj
Create successful ePaper yourself
Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.
Méthodologie<br />
Le cadre générale<br />
de la fiche synthétique<br />
On trouve dans la moitié supérieure gauche des<br />
fiches départementales, des informations administratives<br />
telles que la région de rattachement du département, sa<br />
préfecture et ses sous-préfectures puis des informations<br />
démographiques, la population au 1 er janvier 2009 selon les<br />
populations municipales légales établies par l’INSEE à partir<br />
du recensement et la densité du département exprimée en<br />
habitants par kilomètre carré.<br />
Un tableau vient préciser les données démographiques,<br />
c’est un tableau indexé xx1 où les deux premiers chiffres xx<br />
correspondent au numéro du département, soit le tableau<br />
011 pour l’Ain ou 951 pour le Val-d’Oise. Les numéros des<br />
tableaux des fiches des départements d’outre-mer sont de<br />
la forme xxx1 où les 3 premiers chiffres vont de 971 pour la<br />
Guadeloupe à 974 pour La Réunion. Ce tableau fournit les<br />
populations municipales des préfectures et sous-préfectures<br />
et de leurs ressorts géographiques respectifs qu’on appelle<br />
arrondissements et dont elles sont les chefs-lieux.<br />
Cette partie administrative et démographique est construite<br />
sur le modèle décrit ci-dessus pour tous les départements<br />
mais pas pour les deux fiches récapitulatives, France entière<br />
et France métropolitaine. Le tableau sur les populations n’y<br />
figure pas et la description de l’entité fait mention cette fois<br />
du nombre de régions (26 ou 22), de départements (100 ou<br />
96) puis des informations de population et de densité.<br />
Le cadre général des fiches départementales comprend à<br />
titre principal un graphique de type histogramme indexé xx1<br />
et un tableau xx2. On y trouve pour les trois indicateurs de<br />
l’ONDRP pour lesquels il est possible de calculer des taux<br />
de faits constatés pour 1 000 habitants, atteintes aux biens,<br />
atteintes volontaires à l’intégrité physique et escroqueries<br />
et infractions économiques et financières, le taux du<br />
département en <strong>2011</strong>. Dans le graphique, une comparaison<br />
avec le nombre de faits constatés pour 1 000 habitants<br />
à l’échelle de la France entière est proposée. Le tableau y<br />
ajoute les chiffres de faits constatés qui ont permis de calculer<br />
les taux (première colonne) ainsi que des données détaillées<br />
par indicateur (selon des sous-indicateurs comme les vols<br />
parmi les atteintes aux biens ou les violences physiques<br />
non crapuleuses parmi les atteintes volontaires à l’intégrité<br />
physique) et selon des catégories encore plus précises (vols<br />
avec violences, type de crimes et délits appartenant à deux<br />
indicateurs distincts, coups et violences volontaires ou<br />
encore escroqueries et abus de confiance).<br />
Pour chaque indicateur, sous-indicateur et catégorie<br />
plus détaillée, le tableau de type xx2 permet de comparer<br />
le nombre de faits constatés pour 1 000 habitants du<br />
département avec celui qui est mesuré en France entière<br />
(deuxième colonne des données nationales) ainsi qu’avec les<br />
valeurs extrêmes, taux le plus faible ou le plus élevé, observé<br />
parmi les 100 départements considérés. à l’aide de ces trois<br />
valeurs, on peut situer le taux du département selon qu’il se<br />
situe proche d’une des valeurs ou à un niveau intermédiaire<br />
entre le minimum et la moyenne ou entre la moyenne et<br />
le maximum.<br />
Les fiches récapitulatives reprennent la même construction<br />
à partir d’un graphique en histogramme, FE1 pour la France<br />
entière et FM1 pour la France métropolitaine, et d’un tableau,<br />
FE1 et FM1. Pour la fiche de la France métropolitaine, le<br />
modèle des fiches départementales qui s’appuie sur une<br />
comparaison avec les données France entière est possible.<br />
On y retrouve donc les éléments décrits ci-dessus.<br />
Pour la fiche de la France entière, on doit s’adapter car<br />
c’est elle qui fournit les moyennes de référence. Dans<br />
l’histogramme, on situe le nombre de faits constatés<br />
enregistrés pour 1000 habitants des trois indicateurs entre<br />
la valeur départementale la plus faible et la plus élevé.<br />
Le tableau FE1 perd une colonne par rapport au modèle<br />
de base (le tableau xx2 des fiches départementales) car la<br />
colonne « France entière » n’est pas répétée deux fois.<br />
Les cadres « indicateurs »<br />
de la fiche synthétique<br />
Les quatre cadres consacrés aux faits constatés par<br />
indicateur proposent des données en évolutions annuelles.<br />
Ils sont identiques dans les fiches départementales et dans<br />
les deux fiches récapitulatives qui les précèdent.<br />
Les graphiques construits sur le modèle du bulletin annuel<br />
<strong>2011</strong> 7 prennent la période 2006-<strong>2011</strong> comme référence :<br />
les histogrammes fournissent l’évolution du nombre de faits<br />
constatés par indicateur et sous-indicateur pour les atteintes<br />
aux biens et les atteintes volontaires à l’intégrité physique<br />
(graphiques ABxx1 et AVxx1) et des courbes les complètent<br />
avec les taux de variations annuelles (graphiques ABxx2<br />
et AVxx2).<br />
Les graphiques des différentes fiches départementales ne<br />
peuvent être comparés visuellement car les échelles diffèrent<br />
d’un département à l’autre. Dans certains départements, pour<br />
un graphique qui occupe la même surface, l’échelle peut aller<br />
de 0 à 350 faits constatés pour un indicateur alors que pour le<br />
même type d’infractions elle peut dans un autre département<br />
aller de 0 à 40 000 (voir graphique AV231 de la Creuse et<br />
AV751 de Paris). De même, plus le nombre de faits constatés<br />
est faible, plus une variation en volume de quelques dizaines<br />
de faits constatés pourra se traduire par des taux de variations<br />
annuelles de plusieurs dizaines de points (voir le cas des<br />
violences physiques crapuleuses aux graphiques AV231 et<br />
AV232 de la Creuse). Il faut donc toujours tenir compte des<br />
variations en volume de faits constatés avant d’interpréter les<br />
évolutions en taux.<br />
Dans les deux cadres de taille plus réduite, ceux des<br />
escroqueries et infractions économiques et financières et<br />
des infractions révélées par l’action des services, l’évolution<br />
en volume des faits constatés de l’indicateur et les taux de<br />
variations annuelles sont superposés dans des graphiques à<br />
double échelle indexés respectivement ESxx et IRxx.<br />
Les tableaux des cadres « indicateurs » fournissent des<br />
évolutions à un niveau détaillé voire très détaillé de la<br />
nomenclature d’enregistrement des crimes et délits mais sur<br />
une période d’une année, entre 2010 et <strong>2011</strong>. Les tableaux<br />
(7) Voir les tableaux 3a et 3b, 11a et 11b, 18a et 18b puis 21a et 21b du bulletin annuel 2010 (consultable à l’adresse suivante :<br />
http://www.<strong>inhesj</strong>.fr/fichiers/ondrp/Bulletinannuel/bulletin-annuel-2010.pdf)<br />
9