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Henri Sérandour - Comité National Olympique et Sportif Français

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Annecy 2018…Jusqu’au bout <strong>Henri</strong> Sérandour s’est battu. Il s’est battu pour que la France soit de nouveauune terre d’accueil pour les Jeux <strong>Olympique</strong>s. Pour effacer la zone d’ombre qui baigneencore dans l’esprit de ceux qui voulaient 2012, 2008, 2004, voire 1992.Le 18 mars 2009, à la Maison du Sport français.Le Comité de candidature d’Annecy (de g. àd. Edgar Grospiron, Perrine Pelen, ChristianMonteil, Jean-Luc Rigaut, Antoine Dénériaz)entoure <strong>Henri</strong> Sérandour.Michel Vial, secrétaire général du CNOSF sousle dernier mandat d’<strong>Henri</strong> Sérandour s’estvu confier par ce dernier la présidence de lacommission d’évaluation des villes françaisespré-requérantes à l’organisation des Jeux<strong>Olympique</strong>s d’hiver 2018.À la tribune du CNOSF, le 24 septembre 2008, <strong>Henri</strong> Sérandour annonce que le Conseild’administration a validé le principe d’une candidature française à l’organisation desJeux <strong>Olympique</strong>s d’hiver 2018 <strong>et</strong> lancé un appel d’offres : « Notre ambition <strong>Olympique</strong>est intacte. Il faut désormais se proj<strong>et</strong>er dans l’avenir. Après l’échec de Singapour en2005, il fallait rebondir en définissant de nouvelles orientations. Nous pensions alorsaux Jeux d’été, 2016, 2020, 2024 en estimant que vouloir aussi organiser des Jeux d’hiverconstitueraient un frein. Nous avons évolué. Les fédérations <strong>Olympique</strong>s, réuniesle 16 septembre, ont émis un avis favorable à une candidature aux Jeux d’hiver 2018.Aujourd’hui, le Conseil d’administration du CNOSF a donné son feu-vert ».Les candidatures d‘Annecy (74), Nice (06), Grenoble (38) <strong>et</strong> Pelvoux-Les Ecrins (05) sontenregistrées par le CNOSF un mois plus tard, à la grande satisfaction d’<strong>Henri</strong> Sérandour quise réjouit « qu’un aussi grand nombre de villes françaises se mobilisent en faveur dur<strong>et</strong>our des Jeux <strong>Olympique</strong>s sur notre territoire».Un choix devait donc s’opérer. Pour les Jeux <strong>Olympique</strong>s de 2004, Alain Gelès se souvientque la procédure de sélection avait été relativement sommaire : « Les deux délégationsavaient été invitées. Une poignée de représentants avait présenté leur proj<strong>et</strong> au Conseild’administration. Au bout d’une heure le vote a eu lieu <strong>et</strong> a surtout valorisé la qualité, lavolonté des intervenants. Pierre Mauroy avait fait très bonne impression <strong>et</strong> Lille l’avaitemporté assez largement ».Pour c<strong>et</strong>te désignation, une procédure innovante - « originale, exemplaire », selon AlainGelès - est alors instaurée : séminaire d’information à l’intention des villes candidates,présentation publique des quatre dossiers à la Maison du sport français, <strong>et</strong> commissiond’évaluation qui rend son rapport le 12 mars, six jours avant le vote du Conseil d’administrationdu CNOSF.120

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