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Henri Sérandour - Comité National Olympique et Sportif Français

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1997-2001 Deuxième mandatDévelopper la pratique sportive<strong>et</strong> les équipements<strong>Henri</strong> Sérandour le rappelle : « si nous voulons que les gens pratiquent du sport, il fautque, sur l’ensemble du territoire, il y ait des aménagements ou des équipements quifavorisent l’accessibilité à ces activités <strong>et</strong> surtout à la pratique, <strong>et</strong> perm<strong>et</strong>tent l’accueildu plus grand nombre ».Le CNOSF va donc s’impliquer dans le dossier des schémas territoriaux des équipementssportifs, par l’action du Conseil national des CROS des CDOS <strong>et</strong> celle des ConseilsInterfédéraux… La parution de la publication « programmer <strong>et</strong> réaliser un équipementsportif » (1996) y contribuera également.1994. <strong>Henri</strong> Sérandour à la présentation de lamaqu<strong>et</strong>te du futur Stade de France (Saint-Denis, 93) parmi d’autres personnalités MichèleAlliot-Marie (ministre des Sports), « le roi »Pelé (footballeur brésilien) <strong>et</strong> Michel Platini(footballeur <strong>et</strong> futur président de l’UEFA).Un grand Stade de FranceMais, le grand dossier équipement de ce second mandat est celui du Stade de Francede Saint-Denis (93), tant attendu depuis si longtemps, par tous les sportifs de France.Le CNOSF a participé aux travaux préparatoires <strong>et</strong> s’est surtout assuré « que le financementdu stade ne soit en aucun cas, même pour partie, imputé sur le Fonds <strong>National</strong> deDéveloppement du Sport, <strong>et</strong> ce, afin de ne pas altérer les budg<strong>et</strong>s des fédérations ».Alain Gelès, alors directeur de cabin<strong>et</strong>, se remémore : « Nous n’étions pas les seulsdécideurs dans c<strong>et</strong>te affaire. C’était un dossier majeur, l’engagement vers LE grand équipementfrançais, en clair, il constituait la base d’une candidature aux Jeux <strong>Olympique</strong>s.Nous étions à la table de la programmation, aux côtés de l’État <strong>et</strong> de la région Île deFrance, principaux financeurs. Mais, dans une opération d’une telle envergure, il n’étaitpas facile, <strong>et</strong> à vrai dire, pas juste, de revendiquer trop de prérogatives vis-à-vis desbailleurs de fonds. Des différents proj<strong>et</strong>s mis en concurrence, finalement, le choix officielcorrespondait à notre propre attente ».Désormais, mouvement sportif français <strong>et</strong>collectivités territoriales collaborent en faveurdu sport <strong>et</strong> pour la société.Il éclaire : « l’attribution de la gestion a été le cœur du débat. La confier au consortium étaitla solution de fonctionnement la plus appropriée à partir du moment où le mouvementsportif n’était pas en capacité économique d’exercer la gestion d’un tel établissement<strong>et</strong> de répondre aux inquiétudes des bailleurs quant au r<strong>et</strong>our sur investissement. Mais ausein de l’équipe d’<strong>Henri</strong>, nous avons veillé à toutes les questions concernant les calendriersd’utilisation, les tarifs d’exploitation <strong>et</strong> l’accueil d’un éventuel club résident ».52

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