Henri Sérandour - Comité National Olympique et Sportif Français
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1997-2001 Deuxième mandatLutter contre le dopageLe dopage ? Un vrai problème de sociétéCe dossier marque le second mandat d’<strong>Henri</strong> Sérandour. Le dopage est désormais à laune de tous les journaux du monde. Les Nations s’animent. Les fédérations s’inquiètent.En 1988, le scandale Ben Johnson alerte le mouvement sportif international. Dès 1989,le gouvernement français manifeste c<strong>et</strong>te préoccupation en créant une commissionnationale de lutte contre le dopage (CNLD). Associé, le CNOSF m<strong>et</strong> parallèlement en placeun double réseau de correspondants <strong>et</strong> de conférenciers-animateurs.En 1996, Claude-Louis Gallien, vice-président de la Fédération Internationale du SportUniversitaire est nommé à la tête de la CNLD. Futur vice-président du CNOSF (2001-2009), il jouera un rôle moteur au côté d’<strong>Henri</strong> Sérandour dans l’engagement total de cedernier dans la lutte contre le dopage.Prévention <strong>et</strong> information.Guide à destination de la délégation françaiseaux Jeux <strong>Olympique</strong>s de Turin.En 1997, le CNOSF crée l’Agence de prévention sportive contre le dopage, sous l’inspirationnotamment de Philippe Lamblin, président de la Fédération Française d’athlétisme. <strong>Henri</strong>Sérandour assure la présidence de c<strong>et</strong>te Agence, devenue Fondation Sport Santé en l’an2000 : « La lutte contre le dopage est un problème constant. Il faut faire beaucoup deprévention, de la prévention <strong>et</strong> encore de la prévention » claironne-t-il tous azimuts.L’année suivante, le Tour de France est le facteur déclenchant d’une vaste politiquenationale de lutte contre le dopage, après l’affaire dite « Festina », qui a impliqué c<strong>et</strong>tepratique au sein de l’équipe cycliste. Dès novembre 1998, le CNOSF publie, en partenariatavec le ministère des Sports, la première mall<strong>et</strong>te Sport N<strong>et</strong>, aujourd’hui connue sousl’appellation « Le sport pour la santé ».Claude-Louis Gallien, vice-président du CNOSF50