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263 unl» 277; aiict) mein Examen er it. T. IV. p. 319—324,
T. V. p. 17—19, 30 unb 230-234.
* (@. 331.) «Plin. 11, 70; 3belcr, ©ternnamcn 6.260
unb 295.
' (@. 332.) 3d) Ijabe an einem anbeten Drte bie ^roeifel,
»welche mehrere berühmte Kommentatoren bei 3) ante in neueren
Reiten ober bie quattro stelle geäußert, ju löfen gefuc^t. Um iai
^Problem in feinem ganjen Umfang ju fajfen, muß bie ©teile lo
mi volsi .... (Purgat. 1 v. 22—24) mit ben anberen ©teilen:
Purg. I V. 37, VllI V. 85—93, XXIX v. 121, XXX v. 97,
XXXI V. 106 unb Inf. XXVI v. 117 unb 127 verglichen werben.
2)er g)?ail(iinber 2(flronom 25e Sefariö l)ielt bie brei facelle (Di
che'l poIo di qua lulto quanto arde unb meld)e untergeben, wenn
bie oier @terne be^ Äreujeö aufgellen) für Sanopu^, 2(d)ernar unb
Jomaljaut. 3cl) f)abe »erfud^t bie ©djwierigfeiten burc^ bie na4)foU
genben ^Betrachtungen ju löfen: »Le mysticisme philosophique et
rcligieux qui pen^lre et vivifie rimmense composition du Dante,
assigne a tous les objets, a cöte de leur existence reelle ou materielle,
unc existence ideale. C'est comme deux mondes, dont
Tun est le reflet de l'autre. Le groupe des qualre eioiles re-
presente, dans Tordre moral, \es vertus cardinales, la prudence,
la justice, la force et la tempdrance; elles merilent pour cela le
nom de »sainles lumieres, Itici santecf. Les trois etoiles »qui
6clairent le pole«, representent les vertus theologales f
la foi,
l'esperance et la chariie. Les premiers de ces etres nous revelent
eux-memes leur double nature; ils chantent: »Ici nous
sorames des nymphes, dans le ciel nous sorames des eloiles;
Not sem qui Ninfey
e nel ciel semo stelle.« Dans la Terre de la
veritä, le Paradis terrestre, sept nymphes se trouvent reunies:
In cerchio le facevan di se claustro le sette Xinfe. C'est la
reunion des vertus cardinales et theologales. Sous cds formes
mystiques, les objets reels du firmament, eioignes
les uns des
autres, d'apr^s les lois eternelles de la Mecanique Celeste, se
reconnaissent a peine. Le monde ideal est une libre creation
de I'ame, le produit de l'inspiration poetique.« (Examen crit.
r. IV. p. 324—332.)
"»
(®. 332.) Slcofla lib. I cap. 5. «Oergl. meine Relation
historique T. \. p. 209. 'T>a bie ©terne « unb y
bei fübUc^en