IMBERT (Charlotte) - Kb.u-psud.fr
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Les patients s’estimant « tout à fait » informés étaient une minorité (14% des patients)<br />
mais étaient intéressants d’un point de vue qualitatif.<br />
C’étaient principalement des femmes ; les « + de 65 ans » étaient la classe d’âge<br />
s’estimant la moins bien informée (8% de cette classe s’estimaient « tout à<br />
fait »informés, alors qu’en moyenne 17% des autres tranches l’étaient) ; la catégorie<br />
socioprofessionnelle la plus représentée était celle des cadres supérieurs et la source<br />
la plus citée était celle des pharmaciens.<br />
6.1.2 CONFIANCE GLOBALE MAIS VARIABLE<br />
Les patients avaient, pour la majorité d’entre eux (74%), confiance aux médicaments<br />
génériques qu’ils trouvaient avant tout efficaces, bien tolérés . Le troisième item cité<br />
était « font faire des économies », montrant malgré un comportement passif face aux<br />
génériques, un sentiment citoyen de participer aux économies de santé.<br />
Ils étaient plus rassurés quand c’était le médecin qui leur prescrivait des<br />
médicaments génériques.<br />
L’influence du pharmacien était moindre.<br />
La tranche d’âge ayant le moins confiance était 50-64 ans (51% versus 84% pour les<br />
plus de 65 ans – p < 0,005).<br />
Les hommes (79%) étaient plus confiants que les femmes (71%) , alors qu’ils se<br />
sentaient moins bien informés qu’elles (48% des femmes estimaient bien connaître les<br />
génériques contre 36% pour les hommes).<br />
Les femmes s’intéressaient donc plus au sujet et se renseignaient plus avant<br />
d’accorder leur confiance.<br />
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