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Exposition
« Un abécédaire pour La Louvière »
Le surréalisme dans les collections de la Province de Hainaut,
de la Ville de La Louvière et du Centre de la Gravure et de
l’Image imprimée de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Du 28 septembre 2012 – 06 janvier 2013
Au Centre de la Gravure et de l'Image imprimée de la Fédération
Wallonie-Bruxelles
10, rue des Amours - 7100 LA LOUVIERE
Tél. : 064/ 27.87.27
Commissaire de l’exposition : Xavier Canonne. mpc.info@museephoto.be
172 œuvres, 162 documents ! «L'exposition est conçue par
Hainaut Culture Tourisme, sous forme d’un abécédaire: A
comme « A la niche les glapisseurs de Dieu » (tract) ; B
comme : «Bury » (Pol) ; C comme : « Chavée » (Achille), etc.
», explique Xavier Canonne, commissaire de l’exposition.
Cette lecture des œuvres des Surréalistes est non chronologique
et inhabituelle.
Cette exposition sur le surréalisme offre un florilège des
oeuvres présentes dans trois collections : celles de la Province
de Hainaut, de la Ville de La Louvière et du Centre de la
Gravure et de l’Image Imprimée. «Fédérer les atouts des uns et
des autres, créer des synergies, des partanriats est l’une de nos
priorités. L’objectif de la Province de Hainaut était aussi de
proposer une exposition artistique d’envergure pour La
Louvière, Métropole Culture 2012!», commente la Députée
provinciale Fabienne Capot, promotrice de l’événement.
La collection de la Province de Hainaut est l’une des plus représentatives
du surréalisme tant national qu’international.
Elle est riche d’œuvres de Pol Bury première période, d’huiles
de Louis Van de Spiegele, sans compter des Magritte, trois
mille dessins d’Armand Simon – fruit d’une donation -, des
Bellmer, Ubac, Man Ray, Trouille, Mariën, Dotremont, Gengenbach,
Lefrancq, des tracts, des ouvrages originaux, de la
correspondance… Quant à La Louvière, elle est l’un des deux
berceaux du mouvement
surréaliste belge,
avec le groupe Rupture
actif dès 1934, animé
par quatre jeunes intellectuels
(dont
Achille Chavée et le
poète montois Fernand
Dumont), et la troisième
exposition internationale
du surréalisme
organisée en
1935. Achille Chavée
ou les fondateurs du
Daily-Bul, sans se réclamer
expressément
du surréalisme, ont
participé de son état
d’esprit. o
Temps de vivre 47
Meli mélo par Annie Lambiotte
Théâtre Royal du Parc
Le maître des illusions
de Thierry DEBROUX
Avec: José van DAM (Le Maître
– Orphéo Trimegi)
Pierre DHERTE (Fantin Trimegi)
Pascale VYVERE (Marguerite)
Anouchka VINGTIER (Alice)
Benoît VAN DORSLAER (Docteur
Munch)
José van Dam nous fait l’incroyable
honneur de venir jouer sur
nos planches. Après 50 années
consacrées au chant, il a choisi
le Parc pour faire ses débuts au
théâtre.
J'aimerais vous parler d'un mystérieux
objet scénique, étrange spectacle qui va se dévoiler à
vous en novembre 2012. Cet objet, qui se nomme « Le Maître
des illusions », fuit dès que je tente de le définir ; il semble se
cacher dans des recoins de l'opéra, passer dans des loges de
théâtre, se réfugier dans des livres de magiciens, attraper au
vol quelques rythmes de comédie musicale, avant de se diriger
vers la scène du Théâtre du Parc.
"Le Maître des illusions" cache en lui maints secrets. Il y a
déjà celui qui va permettre à la voix chantée, la voix parlée et
à la magie de se rencontrer.
Autre secret : celle d'une absente. L'énigme du "Maître des illusions"
tourne autour de la disparition d'une femme, épouse
d'un grand Maître de la magie (José van Dam) et mère d'un
jeune homme, Fantin (Pierre Dherte). Le père se voue à
renouer contact avec sa femme tandis que le fils, soutenu par
sa propre femme Marguerite (Pascale Vyvère), se bat pour
obtenir le secret lié à cette disparition. Autour de cette absence
lutteront des forces familiales, dans une querelle de magiciens
dont les tours recèlent les questions de transmission, d'amour
paternel et conjugal, et de la quête de l'absolu.
Je m'arrête là, je vous en ai trop dit… Sybille WILSON.
N° 15 - Septembre 2012
Un grand spectacle
haut en couleur
destiné à un large
public pour commémorer
le 150e anniversaire de la
publication du chef-d’oeuvre
de Victor Hugo.
Il y a tout dans ce roman :
un récit initiatique, une fable
sociale, un drame mystique,
un mélodrame…
À l’heure où les indignés
manifestent aux quatre
coins du monde, ce texte
magnifique trouve un écho
certain.