Mme ANNE-MARIE PARENT, présidente M. JOHN HAEMMERLI

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Mackay Morin Maynard et associés
Séance de la soirée du 15 janvier 2013
présentation antérieure. Alors des projets d’agrandissement des aires protégées, la CDE souhaite
que les projets d'agrandissement des aires protégées ne fassent pas l'objet des consultations
actuelles et qu'un mécanisme soit mis en place pour qu'ils soient travaillés dans un horizon 2015.
La Corporation souhaite que les recommandations soient émises quant à la prise en
charge des chemins forestiers ainsi que des pistes de véhicules hors route, motoneiges et VTT,
qui se retrouvent dans les aires protégées, qui incluent le financement et leur entretien.
Alors, la Corporation est très inquiète de cette notion-là en lien avec l’accessibilité au
territoire. Déjà sur une aire protégée, celle des dunes de la rivière Attic, il y a trois ou quatre ans, il
y a déjà eu un volet 2 qui a été mis en place pour faire dévier le sentier de motoneige pour
s’assurer, déjà, que ça contourne le projet de réserve de biodiversité des dunes de la rivière Attic.
Mais je n’ai pas de données à l’heure actuelle s’il y a d’autres chemins de véhicules hors route à
l’intérieur des aires protégées, mais il y a définitivement beaucoup de chemins forestiers qui sont
utilisés par des villégiateurs et la prise en charge de ces chemins-là est très inquiétante et par la
Corporation et par les villégiateurs qu’elle représente, et également par certains pourvoyeurs.
Donc, ce qu’on souhaite c’est que le gouvernement mette en place une forme de
financement et d’entretien de ces chemins-là qui vont se retrouver dans les aires protégées, donc,
plus entretenus ni par l’industrie forestière ou l’industrie minière.
Que le développement des aires protégées se fasse selon la notion de combler les
carences et non selon la notion d'atteindre un objectif absolu de 12 %. Alors, la Corporation
appuie la Ville dans cette notion-là.
La Corporation souhaite que le gouvernement mette en place un centre de promotion et de
valorisation des aires protégées de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec à Senneterre.
Et ça, on pense que c’est une bonne façon, une façon dynamique du gouvernement du Québec
pour diversifier l’économie d’un milieu comme le nôtre.
La Corporation souhaite qu’un accès libre soit autorisé à l'intérieur des aires protégées
pour pratiquer des activités reliées à la faune ou à la nature. Alors, les droits consentis sur
certains territoires ne doivent pas freiner l’accès à ces territoires-là qui se retrouvent maintenant
dans une aire protégée, et je fais encore une fois référence, à ce moment-ci, à l’aire protégée de
la rivière Saint-Cyr.
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