Mme ANNE-MARIE PARENT, présidente M. JOHN HAEMMERLI

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Mackay Morin Maynard et associés
Séance de la soirée du 15 janvier 2013
Et quand j’écoute les discours que j’entends ici, ce soir, c’est un peu ça qui ressort. Que ce
soit du côté écologique ou du côté économique, c’est la même chose, au bout de la ligne, que
tous les intervenants ont dit. Quand on prend le temps de regarder... ils ont peut-être synthétisé
davantage à leurs besoins directifs. Mais quand on regarde ça, c’est qu’on ne semble pas savoir
pourquoi on détermine des aires protégées à des endroits bien précis, autres que pour dire : on
fait une aire protégée parce qu’il faut rencontrer un pourcentage. C’est là que, je pense, qu’il faut
peut-être se poser la question.
M. JOHN HAEMMERLI, commissaire :
Et en la prenant sous un autre angle, quel est le message que vous aimeriez que la
commission passe au gouvernement?
M. PIERRE DUFOUR :
Bien, je pense qu’une aire protégée... il faut penser à protéger des aires, ça, il n’y a pas de
problème de ce côté-là. Mais il faut regarder quels sont les endroits les plus stratégiquement
parlant qui ont le meilleur impact biodiversité au parlant, mais aussi, de l’autre côté, qui ont peut-
être le moins de conséquences économiquement parlant.
M. JOHN HAEMMERLI, commissaire :
Donc, en fait, si je lis entre les lignes, ce que vous déplorez c’est l’absence d’étude
économique?
M. PIERRE DUFOUR :
Exactement. Définitivement. Définitivement que ça fait partie de ça.
M. JOHN HAEMMERLI, commissaire :
D’accord. Merci, Monsieur Dufour.
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