LYON, CAPITALE MONDIALE DE LA GASTRONOMIE ? - Grand Lyon
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MISE EN ŒUVRE : P<strong>LA</strong>TEFORME POUR L’ACTION ET PROJETS PHARES<br />
Ses premiers objectifs<br />
• Développer des synergies et notamment mettre en<br />
commun certains services comme l’accueil et la<br />
documentation.<br />
• Développer une image forte du monde agricole et<br />
agroalimentaire en s’appuyant sur l’effet symbolique<br />
de la création d’une « cité de l’agriculture et de<br />
l’agroalimentaire ».<br />
• renforcer les partenariats existants entre les acteurs<br />
en multipliant les opportunités de se rencontrer et<br />
en améliorant la facilité de travailler ensemble.<br />
Piste à travailler<br />
En prolongeant ces premiers objectifs et en dépassant<br />
son simple statut de site géographique qui regroupe<br />
les acteurs d’une même filière, Agrapole pourrait<br />
devenir un véritable espace de gouvernance du<br />
monde agricole et agroalimentaire à l’échelle de la<br />
métropole et de sa région. Par exemple, il pourrait<br />
envisager de créer un comité inter-organisations<br />
pour :<br />
• élaborer une stratégie et une position commune sur<br />
des enjeux partagés (et notamment sur la stratégie<br />
gastronomie de la métropole lyonnaise) ;<br />
• faire émerger des projets de coopération concrets, en<br />
mettant l’accent sur la transversalité et l’innovation.<br />
Ainsi, par exemple, des synergies pourraient se<br />
développer entre Agrapole et le technopole Alimentec<br />
basé à Bourg-en-Bresse sur la base des partenariats<br />
existants entre Alimentec, l’Isara-<strong>Lyon</strong> et le PEA-CRITT.<br />
réseau et défendre les valeurs de la gastronomie<br />
(présentées précédemment).<br />
• Initier des projets communs et des coopérations<br />
(événements communs pour généralisé la fête<br />
des Tréteaux de <strong>Lyon</strong> comme la fête de la musique<br />
s’est diffusée dans le monde entier, organiser la<br />
renommée du Bocuse d’or, au sein des villes du<br />
réseau, etc.).<br />
Pistes à explorer<br />
• Faut-il s’appuyer sur la labellisation Unesco des<br />
villes de gastronomie ?<br />
• Peut-on fédérer dans ce projet des sous-réseaux<br />
thématiques ? Ainsi, par exemple, le réseau général<br />
des villes gastronomiques pourrait s’appuyer sur<br />
l’association européenne des marchés, Emporion,<br />
créé en 2006 par l’ADPM (Association pour le<br />
Développement et la Promotion des Marchés du<br />
Rhône) aux côtés des marchés et des villes de<br />
Barcelone, Turin, Londres et Budapest.<br />
Réseau de villes gastronomiques :<br />
installer <strong>Lyon</strong> comme tête de réseau<br />
Un réseau de villes gastronomiques dans le monde<br />
(sur le modèle du réseau Luci pour les villes lumière)<br />
pourrait voir le jour. Cette initiative permettrait<br />
d’installer <strong>Lyon</strong> comme tête de réseau (comme « ville<br />
mère ») à l’échelle internationale et conforter son<br />
image de capitale mondiale de la gastronomie.<br />
Les objectifs du projet<br />
• Favoriser des échanges d’expériences (ateliers,<br />
échanges et visites croisées entre les villes) pour<br />
les professionnels du monde de la gastronomie<br />
(restaurateurs, développeurs, chercheurs, opérateurs<br />
du tourisme, producteurs, etc.).<br />
• Mettre en place une stratégie de communication<br />
commune pour valoriser les villes membres du