2ENJEUXLE RAPPORT DE GESTION& STRATÉGIEdes utilisateurs, professionnels comme particuliers, présent dans de multiples circuits de distribution,Michelin est de fait bien placé pour comprendre les attentes de ses clients.Comptant parmi les rares acteurs mondiaux de l’industrie du pneu, il bénéficie d’une taille critique et desynergies qui favorisent la productivité, la compétitivité et l’équilibre de ses relations avec la distribution.Très engagées déjà en recherche-développement, les synergies présentent des gisements de progrèsimportants en matière de rationalisation de l’offre, de standardisation de l’outil industriel, des achatsou encore de la communication publicitaire, ce dont témoigne la première campagne mondiale lancéeen octobre 2009.● 2.1.4.c) LE LEADERSHIP TECHNOLOGIQUEL’innovation technique est au cœur du développement de Michelin depuis sa création. À l’origine desauts technologiques majeurs comme le pneu radial et le pneu à basse consommation de carburant,Michelin joue un rôle moteur dans l’évolution de son industrie et des marchés. Il détient une avancereconnue sur les segments techniques les plus exigeants.Les nouvelles réglementations, les attentes accrues des consommateurs, les évolutions technologiquesindispensables sont autant d’exigences qui continueront à se renforcer. La capacité d’innovation estun atout stratégique majeur, elle apporte de réels avantages concurrentiels. Leader technologique,Michelin apporte des performances nouvelles qui influencent les standards de consommation et lesréglementations applicables aux pneumatiques. L’avance technique des pneus <strong>MICHELIN</strong> est une véritableforce de proposition.● 2.1.4.d) UNE SUPÉRIORITÉ RECONNUE ET VALORISÉETous les pneus ne se valent pas. Certains apportent davantage. Constructeurs et conducteurs le perçoiventclairement. Les pneus <strong>MICHELIN</strong>, généralement plus chers à l’achat, sont plus sûrs, durent plus longtempset consomment moins de carburant, ce qui réduit leur coût pour le consommateur et leur impact surl’environnement.Les économies réalisées à l’usage font qu’au final, le pneu <strong>MICHELIN</strong> se révèle le moins cher du marché.L’objectif de Michelin : poursuivre dans la voie du meilleur coût de revient total pour ses clients, et ainsicréer encore plus de valeur pour l’Entreprise, la société et l’environnement.● 2.1.4.e) UNE CULTURE DE LA QUALITÉ ET DE L’ÉQUILIBREDepuis ses origines, Michelin porte une attention permanente à la qualité de ses produits : il en va de lasécurité et de l’intérêt de ses clients. C’est à travers la Démarche Qualité Michelin, qui s’applique de laconception à la réalisation industrielle et au suivi en clientèle, que les pratiques fondamentales permettantde garantir les performances sont déployées partout dans le Groupe. Chaque nouvelle gamme se doitde faire progresser l’équilibre de performance entre longévité, sécurité et économie de carburant.Ainsi <strong>MICHELIN</strong> Energy Saver pour véhicules de tourisme économise 0,2 l de carburant aux 100 km enmaintenant des performances exceptionnelles en longévité et en adhérence.I 2.1.5. ACCENTUER NOTRE LEADERSHIP TECHNOLOGIQUEÊtre précurseur, apporter des innovations utiles au client et aux évolutions des sociétés : grâce à sonleadership technologique, Michelin fait la course en tête depuis plus d’un siècle. Le respect des clients luipermet de capter la complexité des attentes. Le respect des personnes et des faits libère la pensée, stimulela créativité et l’esprit pionnier. L’aventure Michelin est d’abord une aventure technologique et humaine.● 2.1.5.a) LA PREMIÈRE FORCE D’INNOVATION DE L’INDUSTRIE PNEUMATIQUE…Seul point de contact entre le véhicule et le sol, les pneus sont des produits complexes et exigeants. Àl’origine de la plupart des avancées technologiques qui ont marqué le pneumatique, Michelin est lepneumaticien qui investit le plus dans l’innovation.Amérique du Nord, Europe, Asie : son Centre de Technologies se déploie sous tous les climats et sur tousles terrains pour mieux ajuster l’offre aux conditions locales, garantir aux pneus <strong>MICHELIN</strong> les mêmesqualités partout dans le monde, anticiper les besoins. L’Asie illustre cette approche avec des moyens deR&D en Chine, en Thaïlande et au Japon. Locale et internationale, la RDI (Recherche-Développement-Industrialisation) du Groupe bénéficie d’effets d’échelle, de synergies et de fertilisations croisées quisont autant d’avantages compétitifs. Au total, près de 6 000 personnes sont employées dans la RDI dugroupe Michelin, avec des dépenses de R&D supérieures à 500 millions d’euros par an, qui n’ont pasété ralenties avec la crise en 2009.● 2.1.5.b) … PASSE À LA VITESSE SUPÉRIEURE…Économiser l’énergie et les matières premières, réduire les émissions de gaz à effet de serre, améliorer lasécurité routière : ces défis, au cœur des enjeux de la mobilité routière, sont autant d’opportunités pourMichelin de valoriser son avance technologique et les progrès qu’apportent chaque année ses solutions,depuis la mise sur le marché en 1992 du premier pneu <strong>MICHELIN</strong> Energy.Parti plus tôt, le Groupe accélère pour creuser son avance. L’objectif : plus d’innovations plus vite surles marchés grâce à la transformation du processus de Recherche - Développement - Industrialisation.De nouvelles organisations et de nouvelles méthodes de travail sont en place pour innover mieux et plusvite, confronter au plus tôt les idées et les projets aux clients et aux marchés, renforcer les coopérationsdans l’Entreprise, développer la co-conception avec les constructeurs afin de concevoir le meilleur produitau moindre coût.● 2.1.5.c) … POUR APPORTER AU PLUS GRAND NOMBRE LA MEILLEURE VALEURLes efforts se concentrent sur deux objectifs principaux. Le premier est d’atteindre le meilleur équilibredes performances pour chaque utilisation. Sécurité, longévité, économie de carburant et d’émissions deCO 2, mais aussi confort, silence… un pneu doit satisfaire de nombreuses exigences dont l’améliorationest souvent contradictoire. Bien des pneus sont excellents dans un domaine et moins bons dans lesautres. L’équilibre des performances, c’est la force de Michelin.Michelin veut en effet offrir à ses clients le meilleur équilibre des performances à la fois techniques etéconomiques, grâce au meilleur coût de revient total. En combinant prix d’achat, sécurité, consommationde carburant et durée de vie, le Groupe veut apporter à ses clients la meilleure équation. Là réside lasupériorité d’innovations comme le pneu <strong>MICHELIN</strong> Energy Saver, qui améliore simultanément les trois14 l <strong>MICHELIN</strong> / Document de Référence 2009
LE RAPPORT DE GESTIONENJEUX & STRATÉGIEperformances, ou les pneus pour poids lourds <strong>MICHELIN</strong> qui offrent quatre vies grâce à la qualité deleur carcasse et leur capacité à être recreusés et rechapés. Au-delà, Michelin poursuit activement sesrecherches pour explorer de nouveaux axes prometteurs qui permettront de réduire encore ce prix derevient total et mettre les meilleurs pneus à la portée du plus grand nombre.L’engagement de Michelin va bien au-delà, pour contribuer aux initiatives majeures destinées à améliorerles conditions de la mobilité. Ainsi, Michelin propose des réponses pour limiter les émissions de CO 2,grâce à la mise au point des pneus à très basse résistance au roulement, ou encore par la conception dusystème de motorisation électrique révolutionnaire Michelin Active Wheel.Michelin apporte également tous les services qui facilitent et sécurisent les déplacements, optimisentl’exploitation et les coûts des clients professionnels. Transporteurs routiers, compagnies aériennes,entreprises minières : Michelin développe pour ces clients des solutions à haute valeur ajoutée, de lamaintenance sur site à la vente au kilomètre, à la tonne transportée ou au nombre d’atterrissages, quifont du Groupe un véritable partenaire de leur performance.I 2.1.6. ACCROÎTRE NOTRE COMPÉTITIVITÉMichelin conduit un plan de transformation visant à améliorer sa compétitivité et réduire considérablementses coûts. En ligne avec le cap fixé, le Groupe aura réalisé 1 milliard d’euros d’économies entre 2006et 2010 et bénéficiera pleinement des progrès réalisés lorsque l’activité repartira.● 2.1.6.a) ACHETER MIEUX, CONSOMMER MOINSPlusieurs approches contribuent à cet objectif. Value to Design et Design to Cost associent marketing,développement et industrialisation pour définir la juste performance d’un produit, optimiser sacomposition et sa fabrication, ce qui diminue son coût de revient à performance égale pour le client.Triangle mobilise client interne, spécificateur et acheteur pour analyser un projet ou un programme eten abaisser le coût total. La standardisation des procédés et des composants, la globalisation des achatsréduisent le coût des investissements. La diversification des sources d’approvisionnement contribue àla compétitivité. Michelin recourt aussi davantage à des partenaires extérieurs dans des domaines nonstratégiques, lorsque le rapport qualité/prix le justifie.● 2.1.6.b) RENFORCER LE DISPOSITIF INDUSTRIELLa compétitivité des sites résulte à la fois de leur taille, de leur optimisation, de leur degré de spécialisationet de leur proximité avec les marchés. De nouvelles capacités pour répondre à la demande locale sonten cours d’implantation dans les marchés en forte croissance (Chine, Inde, Brésil).En Europe et en Amérique du Nord, le Groupe concentre ses moyens sur des usines plus grandes ou plusspécialisées, plus flexibles et plus efficaces, pour s’assurer une base de production solide et compétitiveà long terme. Ces programmes de transformation industrielle peuvent impliquer des fermetures desites ou d’activités, couplées avec des projets de croissance sur d’autres sites. Ils sont anticipés au mieuxpour assurer la meilleure maîtrise possible des conséquences sur les personnes, les organisations et lesbassins d’emplois. Cette adaptation est facilitée par les départs naturels partiellement compensés de30 000 personnes sur la période 2008-2012.De nouvelles initiatives ont été prises en 2009. En Amérique du Nord, les productions de pneus BFGoodrich ®et UNIROYAL d’Opelika (Alabama) et celles de bandes de roulement pour poids lourds de Querétaro(Mexique) ont été transférées vers d’autres sites aux États-Unis. En France, la fabrication des pneus “SuperSport” est regroupée à Clermont-Ferrand qui accueillera la production de l’usine de Noyelles-lès-Seclin,appelée à cesser son activité. L’activité de pneus pour camionnettes de Cholet est renforcée. L’usine deMontceau-lès-Mines devient l’un des premiers centres de mélange de gommes et de tissus métalliquesd’Europe et un pôle de compétence pour les pneus de génie civil. L’usine de Joué-lès-Tours sera uneréférence en Europe pour les pneus pour poids lourds et notamment les Michelin Durable Technologies.L’usine de Bourges poursuit sa spécialisation comme site avion. À la suite de l’arrêt de l’usine de Toul,les reclassements comme la revitalisation du bassin se poursuivent malgré la crise.L’Espagne comme l’Italie mettent en œuvre leur plan de compétitivité. L’usine de Lasarte (Espagne) est àprésent spécialisée comme centre mondial de pneus motos haut de gamme. La croissance des activitéstourisme de Cuneo (Italie) accompagne l’arrêt de l’activité tourisme de Turin Stura.● 2.1.6.c) CAP SUR L’EXCELLENCE OPÉRATIONNELLESimplifier et standardiser les processus, identifier et généraliser les meilleures pratiques, mutualiser lesressources, former les personnes, renforcer les coopérations, aligner toutes les équipes sur les objectifsprioritaires : Michelin vise l’excellence opérationnelle dans tous les domaines de l’Entreprise et transformeson fonctionnement pour faire mieux, plus vite, au moindre coût.La standardisation réduit les coûts d’investissement et accélère leur montée en régime, libérant les équipespour d’autres projets. Toutes les usines sont alignées sur les pratiques des meilleures d’entre elles avecMichelin Manufacturing Way (MMW). Principaux indicateurs de performance : la fréquence et la gravitédes accidents du travail, l’ergonomie, la satisfaction des clients, la perte de matière, la qualité des produits,des indicateurs de coût et de productivité propres à Michelin, le Michelin sites Environmental Footprint(MEF), un indicateur composite qui mesure l’impact environnemental des sites.Conception, innovation, industrialisation, gestion de projets, administration, logistique, relationclient : tous les grands processus sont révisés en privilégiant la simplicité, la rapidité, l’efficacité et laresponsabilisation de tous les membres du personnel, pour un impact visible sur la performance.I 2.1.7. INVESTIR SUR LES MARCHÉS EN CROISSANCEChine, Inde, Brésil … Michelin accélère son développement sur les grands marchés d’avenir. L’objectif :aller chercher la croissance là où elle est, accroître la part des ventes dans les pays à forte croissanceen ligne avec le marché mondial et son évolution. Parmi les premières conditions du succès : produirelocalement pour bien servir les clients au meilleur prix.● 2.1.7.a) UN DÉVELOPPEMENT DYNAMIQUEEn 5 ans, la part des ventes du Groupe dans les pays en croissance rapide est passée de 26 % à 32 %.Accompagnant le dynamisme de ces régions, Michelin accroît ses capacités, développe ses réseaux dedistribution partenaires, lance des services d’assistance, crée des ateliers de rechapage pour stimuler laradialisation du marché des poids lourds, avec l’objectif à terme de porter à 40 % la part de ses ventesdans ces régions.<strong>MICHELIN</strong> / Document de Référence 2009 l 152
- Page 1 and 2: DOCUMENT DERÉFÉRENCE 2009
- Page 3 and 4: DOCUMENTDE RÉFÉRENCE 2009Le prés
- Page 5 and 6: I Allez-vous ralentir vos investiss
- Page 7 and 8: 1 MICHELINEN BREF1.1. PROFIL 61.1.1
- Page 9 and 10: MICHELIN EN BREFHISTOIRE ET ÉVOLUT
- Page 11 and 12: MICHELIN EN BREFSITES DE PRODUCTION
- Page 13 and 14: 2LERAPPORTDE GESTION2.1. ENJEUX & S
- Page 15: LE RAPPORT DE GESTIONENJEUX & STRAT
- Page 19 and 20: LE RAPPORT DE GESTIONENJEUX & STRAT
- Page 21 and 22: LE RAPPORT DE GESTIONLES MARCHÉS D
- Page 23 and 24: LE RAPPORT DE GESTIONLES MARCHÉS D
- Page 25 and 26: LE RAPPORT DE GESTIONLES MARCHÉS D
- Page 27 and 28: LE RAPPORT DE GESTIONLES MARCHÉS D
- Page 29 and 30: LE RAPPORT DE GESTIONÉVOLUTION DES
- Page 31 and 32: LE RAPPORT DE GESTIONÉVOLUTION DES
- Page 33 and 34: LE RAPPORT DE GESTIONCOMMENTAIRES S
- Page 35 and 36: LE RAPPORT DE GESTIONCOMMENTAIRES S
- Page 37 and 38: LE RAPPORT DE GESTIONCOMMENTAIRES S
- Page 39 and 40: LE RAPPORT DE GESTIONCOMMENTAIRES S
- Page 41 and 42: LE RAPPORT DE GESTIONCOMMENTAIRES S
- Page 43 and 44: LE RAPPORT DE GESTIONCOMMENTAIRES S
- Page 45 and 46: LE RAPPORT DE GESTIONCOMMENTAIRES S
- Page 47 and 48: LE RAPPORT DE GESTIONINFORMATION SU
- Page 49 and 50: LE RAPPORT DE GESTIONFAITS MARQUANT
- Page 51 and 52: LE RAPPORT DE GESTIONFAITS MARQUANT
- Page 53 and 54: LE RAPPORT DE GESTIONFAITS MARQUANT
- Page 55 and 56: LE RAPPORT DE GESTIONINVESTISSEMENT
- Page 57 and 58: LE RAPPORT DE GESTIONFACTEURS DE RI
- Page 59 and 60: LE RAPPORT DE GESTIONFACTEURS DE RI
- Page 61 and 62: LE RAPPORT DE GESTIONCHANGEMENTS SI
- Page 63 and 64: 3CHIFFRES CLÉS3.1. VENTES 623.2. R
- Page 65 and 66: CHIFFRES CLÉSVENTESRÉPARTITION DE
- Page 67 and 68:
CHIFFRES CLÉSRÉSULTATSRÉSULTAT N
- Page 69 and 70:
CHIFFRES CLÉSSEGMENTS DE REPORTING
- Page 71 and 72:
CHIFFRES CLÉSSTRUCTURE DES COÛTS3
- Page 73 and 74:
CHIFFRES CLÉSSTRUCTURE DES COÛTSF
- Page 75 and 76:
CHIFFRES CLÉSSTRUCTURE DES COÛTSF
- Page 77 and 78:
CHIFFRES CLÉSFLUX DE TRÉSORERIE E
- Page 79 and 80:
CHIFFRES CLÉSFLUX DE TRÉSORERIE E
- Page 81 and 82:
CHIFFRES CLÉSCHIFFRES CLÉS ET DON
- Page 83 and 84:
4GOUVERNEMENTD’ENTREPRISE4.1. LA
- Page 85 and 86:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISEFONCTION
- Page 87 and 88:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISEFONCTION
- Page 89 and 90:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISEORGANES
- Page 91 and 92:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISEORGANES
- Page 93 and 94:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISEORGANES
- Page 95 and 96:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISERÉMUNÉ
- Page 97 and 98:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISERÉMUNÉ
- Page 99 and 100:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISERÉMUNÉ
- Page 101 and 102:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISERÉMUNÉ
- Page 103 and 104:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISERÉMUNÉ
- Page 105 and 106:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISEOPÉRATI
- Page 107 and 108:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISERAPPORT
- Page 109 and 110:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISERAPPORT
- Page 111 and 112:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISERAPPORT
- Page 113 and 114:
GOUVERNEMENT D’ENTREPRISERAPPORT
- Page 115 and 116:
5MICHELIN ETSES ACTIONNAIRES5.1. RE
- Page 117 and 118:
MICHELIN ET SES ACTIONNAIRESRENSEIG
- Page 119 and 120:
MICHELIN ET SES ACTIONNAIRESDONNÉE
- Page 121 and 122:
MICHELIN ET SES ACTIONNAIRESDOCUMEN
- Page 123 and 124:
MICHELIN ET SES ACTIONNAIRESINFORMA
- Page 125 and 126:
MICHELIN ET SES ACTIONNAIRESINFORMA
- Page 127 and 128:
MICHELIN ET SES ACTIONNAIRESINFORMA
- Page 129 and 130:
6PERFORMANCEETRESPONSABILITÉMICHEL
- Page 131:
PERFORMANCE ET RESPONSABILITÉ MICH
- Page 134 and 135:
6INFORMATIONSPERFORMANCE ET RESPONS
- Page 136 and 137:
6INFORMATIONSPERFORMANCE ET RESPONS
- Page 138 and 139:
6INFORMATIONSPERFORMANCE ET RESPONS
- Page 140 and 141:
6INFORMATIONSPERFORMANCE ET RESPONS
- Page 142 and 143:
6INFORMATIONSPERFORMANCE ET RESPONS
- Page 144 and 145:
6INFORMATIONSPERFORMANCE ET RESPONS
- Page 146 and 147:
6INFORMATIONSPERFORMANCE ET RESPONS
- Page 148 and 149:
6INFORMATIONSPERFORMANCE ET RESPONS
- Page 150 and 151:
6RAPPORTPERFORMANCE ET RESPONSABILI
- Page 152 and 153:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 154 and 155:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 156 and 157:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 158 and 159:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 160 and 161:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 162 and 163:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 164 and 165:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 166 and 167:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 168 and 169:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 170 and 171:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 172 and 173:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 174 and 175:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 176 and 177:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 178 and 179:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 180 and 181:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 182 and 183:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 184 and 185:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 186 and 187:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 188 and 189:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 190 and 191:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 192 and 193:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 194 and 195:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 196 and 197:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 198 and 199:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 200 and 201:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 202 and 203:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 204 and 205:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 206 and 207:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 208 and 209:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 210 and 211:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 212 and 213:
7COMPTESLES ÉTATS FINANCIERS CONSO
- Page 214 and 215:
212 l MICHELIN / Document de Réfé
- Page 216 and 217:
8COMPTESCOMPTES SOCIAUXANNUELS DE L
- Page 218 and 219:
8COMPTESCOMPTES SOCIAUXANNUELS DE L
- Page 220 and 221:
8COMPTESCOMPTES SOCIAUXANNUELS DE L
- Page 222 and 223:
8COMPTESCOMPTES SOCIAUXANNUELS DE L
- Page 224 and 225:
8COMPTESCOMPTES SOCIAUXANNUELS DE L
- Page 226 and 227:
8COMPTESCOMPTES SOCIAUXANNUELS DE L
- Page 228 and 229:
8COMPTESCOMPTES SOCIAUXANNUELS DE L
- Page 230 and 231:
8RAPPORTCOMPTES SOCIAUXDES COMMISSA
- Page 232 and 233:
8VARIATIONCOMPTES SOCIAUXDES CAPITA
- Page 234 and 235:
8RÉSULTATCOMPTES SOCIAUXDE LA SOCI
- Page 236 and 237:
9PERSONNESINFORMATIONS COMPLÉMENTA
- Page 238 and 239:
9CONTRÔLEURSINFORMATIONS COMPLÉME
- Page 240 and 241:
9DOCUMENTINFORMATIONS COMPLÉMENTAI
- Page 242 and 243:
240 l MICHELIN / Document de Réfé
- Page 244 and 245:
10RAPPORTASSEMBLÉE GÉNÉRALE MIXT
- Page 246 and 247:
10RAPPORTASSEMBLÉE GÉNÉRALE MIXT
- Page 248 and 249:
10RAPPORTASSEMBLÉE GÉNÉRALE MIXT
- Page 250 and 251:
10RAPPORTASSEMBLÉE GÉNÉRALE MIXT
- Page 252 and 253:
10RAPPORTASSEMBLÉE GÉNÉRALE MIXT
- Page 254 and 255:
10RAPPORTASSEMBLÉE GÉNÉRALE MIXT
- Page 256 and 257:
10RAPPORTASSEMBLÉE GÉNÉRALE MIXT
- Page 258 and 259:
10RAPPORTSASSEMBLÉE GÉNÉRALE MIX
- Page 260 and 261:
10TABLEASSEMBLÉE GÉNÉRALE MIXTE
- Page 262 and 263:
260 l MICHELIN / Document de R éf
- Page 264:
RELATIONS INVESTISSEURSValérie Mag