SOMMAIRETitrePageINTRODUCTION………………………………………………………………………..CHAPITRE I. REVUE BIBLIOGRAPHIQUE1- Origines génétique et géographique du blé dur (Triticum durum Desf.)………………2- Importance <strong>de</strong> la culture du blé dur (Triticum durum Desf.)………………………….3- Biologie et cycle <strong>de</strong> la culture du blé dur (Triticum durum Desf.)…………………….4- Contraintes à la production du blé dur (Triticum durum Desf.)…………………..…...4.1/- La sécheresse, le gel et les hautes températures………………………………..4.2/-L’itinéraire technique adopté……………………………………………..…….5- L’agriculture <strong>de</strong> conservation…………………………………………………….……6- L’agriculture <strong>de</strong> conservation et le comportement <strong>de</strong> la céréale ……………………...010304060810101114CHAPITRE Π. MATERIEL ET METHODES1- Mise en place <strong>de</strong> l’expérimentation………………………………………………..2- Suivi et notations ………………………………………………………………….3- Analyse <strong>de</strong>s données……………………………………………………………….181920CHAPITRE Ш : RESULTATS ET DISCUTIONS1- Pluie et température moyenne <strong>de</strong>s compagnes d’étu<strong>de</strong>s…………………………..2- Effet du travail du sol sur le ren<strong>de</strong>ment et les composantes du ren<strong>de</strong>ment <strong>de</strong> la céréaleau cours <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux campagnes consécutives……………………………….3- Effet du travail du sol sur la biomasse aérienne, la hauteur et la précocité <strong>de</strong> lacampagne 2010/11 ……………………………………………………………….4- L’effet du travail du sol conventionnel et <strong>de</strong>s techniques <strong>de</strong> conservation sur la teneurdu sol en matière organique (MO%) et le stocke en carbone (C%) et l’azote(N%)……………………………………………………………………………………5- Effet du travail du sol sur les propriétés physiques du sol……………………………..6- Efficience d’utilisation <strong>de</strong>s précipitations……………………………………………...7- Synthèse……………………………………………………………………………….Conclusion …………………………………………………………..............................2728353843474749
INTRODUCTIONProduire plus <strong>de</strong> céréales est <strong>de</strong>venue une question préoccupante pour l’Algérie, dont lesbesoins, d’une population en pleine croissance, sont estimées à plus 111 million <strong>de</strong> quintaux vers2020 (Hervieu et al., 2006). Produire plus suppose que le milieu s’y prête et que la technologie suit.Ceci n’est pas toujours le cas <strong>de</strong> l’Algérie où les gran<strong>de</strong>s zones productrices <strong>de</strong> céréales secaractérisent par un climat variable et <strong>de</strong>s sols dont la fertilité est décroissante suite à <strong>de</strong>s décenniesd’une exploitation minière (Lahmar et Ruellan, 2007). Les techniques ne suivent pas toujours, suite àla prépondérance <strong>de</strong> faibles ren<strong>de</strong>ments. Ainsi, le ren<strong>de</strong>ment grain <strong>de</strong>s variétés <strong>de</strong> blé dur, les plusensemencées, telles que Hedba, Mohamed Ben Bachir, Adjini, Beliouni, Djazairi et Tounsi variaient<strong>de</strong> 3.5 à 10.3 q ha -1 , au cours <strong>de</strong> la pério<strong>de</strong> 1920 à 1929 (Ducellier, 1930).Au cours <strong>de</strong> la pério<strong>de</strong>2000 -2010, ils varient <strong>de</strong> 10 à 15 q/ha -1 , pour un itinéraire qui se limite au labour, le semis et larécolte avec peu d’engraissement, <strong>de</strong> désherbage et/ou <strong>de</strong> protection phytosanitaire (Benniou et al.,2007 ;Adjabi, 2011).Avec l’avènement <strong>de</strong> la révolution verte, vers les années 1970, l’espoir était fondé surl’utilisation <strong>de</strong>s variétés à hauts ren<strong>de</strong>ments pour changer radicalement l’évolution <strong>de</strong> la courbe <strong>de</strong>production <strong>de</strong>s céréales qui se caractérise par une forme en <strong>de</strong>nts <strong>de</strong> scie (Hakimi, 1993). Cesvariétés, si en milieux favorables ou sous irrigation, elles arrivent à exprimer leur potentiel <strong>de</strong>ren<strong>de</strong>ment, en pluviale et sous climat semi-ari<strong>de</strong>, elles se montrent plus variables et souvent aussi,sinon moins, productives que les cultivars locaux qu’elles sont censées remplacer, suite à leursensibilité aux stress (Benmahammed et al., 2010, Nouar et al., 2010).Avec l’augmentation <strong>de</strong>s prix <strong>de</strong>s intrants, l’application <strong>de</strong> l’itinéraire technique vulgarisé parl’Institut Techniques <strong>de</strong> Gran<strong>de</strong>s Cultures, en matière <strong>de</strong> céréale, <strong>de</strong>venait trop onéreuse d’autant plusque les ren<strong>de</strong>ments ne sont pas toujours conséquents (Bouguendouz et al., 2011). L’avènement sur lemarché d’un matériel capable <strong>de</strong> semer directement sans labourer, et <strong>de</strong>s outils aratoires capables <strong>de</strong>remuer le sol sans le retourner, conduit à se poser la question sur le fon<strong>de</strong>ment et les raisons <strong>de</strong> lapratique du labour profond (Lahmar et Bouzerzour, 2011). En effet cette opération est couteuse, sasuppression réduirait les charges, ce qui améliore les revenus <strong>de</strong> l’agriculteur si le ren<strong>de</strong>ment nediminue pas significativement.La pratique du labour profond est la technique <strong>de</strong> travail du sol la plus répandue, en Algérie et<strong>de</strong> par le mon<strong>de</strong>. Cette pratique a permis, dès l’introduction <strong>de</strong> la charrue à soc et du tracteur,d'augmenter le ren<strong>de</strong>ment <strong>de</strong>s céréales grâce notamment à son action sur le développement <strong>de</strong>s
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Component 22,5TM21,5NEEBIO 1BIO0,5N
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labour conventionnel au cours de la
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Références bibliographiquesAbbas
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Bouzerzour H., S. Mahnane, M. Makhl
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de l’eau du blé dur (Triticumdur
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Lahmar R., A. Ruellan. 2007. Dégra
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MunkholmLJ., P. Schjonning, KJ. Ras
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Teasdale, J.R., C.B. Coffmann and R