Ravindra NANDA Technique segmentée Dwight DAMON Les ...

Samedi 10 novembre • Salle 352AB
Yann LE FUR
SLB for life
Nous détaillerons les principaux intérêts des auto-ligaturants agrémentés de
cas cliniques iconographiés :
Forces douce et légères : «ostéopathiques»
Moindre friction :
• favorise les fermetures et ouvertures d’espace
• favorise la mise en place des dents ectopiques
• favorise l’alignement dentaire
Notion de «Bio Zone»:
• traite les infraclusions par auto-rééducation
• expansion naturelle spontanée
Rapidité des rendez-vous de contrôle :
• temps praticien écourté significativement
• gain de temps entre 60 / 80 minutes par jour.
Dragos STANCIU
L’incidence de la pathologie ODF en Roumanie et leurs
répercussions sur l’assistance dentaire et ODF
la dynamique de l’incidence des anomalies dento-maxillaires s’est modifiée
pendant ces dernières vingt années. Cela est dû d’une part a l’amélioration
des conditions de vie, et d’autre part aux importantes migrations de la population
du nord au sud, et de l’est a l’ouest. Ces phénomènes ont eu comme
résultat une hausse du nombre de cas d’anomalies dento-maxilares, et une
baisse de leur gravité. Pour pouvoir faire face a ces conditions, l’assistance
et l’enseignement dentaires et spécialement celle de l’ODF a du subir des
transformations pour trouver les solutions les plus efficientes.
René BONNEFONT
Que faut-il penser en 2007 de la notion de decalage
de base ?
Dans la rédaction de sa Classification en 1899, E. G. ANGLE décrit les positions
relatives Antéro Postérieures des structures dento alvéolaires en utilisant
le mot MACHOIRES. C’est dire qu’il assimile les situations Osseuse et Dentaires
.Un assez grand nombre de travaux ultérieurs décrira l’indépendance
des systèmes Osseux et Dentaires. Pour distinguer ces deux notions il paraît
souhaitable d’utiliser le mot CLASSE pour les dents et le mot TYPE pour l’OS.
Pour la classification Dentaire la description d’ANGLE est toujours d’actualité.
Pour décrire les TYPES FACIAUX I, II ou III la céphalométrie est la seule méthode
utilisable.
Cette communication présente une étude critique sérieuse et argumentée
des variables habituellement utilisées comme l’Angle ANB, la Mesure du
segment AoBo. Etc …
Les auteurs de cette communication proposent de mesurer le segment défini
par la projection Orthogonale des points A et B sur le plan de Francfort.
Une série d’exemples significatifs vient illustrer cette proposition .
Bernard LAZAROO
Limites anatomiques de la mise en place des mini-vis au
maxillaire
L’objectif de l’étude est d’évaluer les risques de lésion des éléments anatomiques
lors de la mise en place de mini-vis au maxillaire.
Matériel et méthode
L’étude est menée sur 2 types de pièces : 20 maxillaires dentés secs et 12
maxillaires humains dentés prélevés sur des cadavres frais provenant du service
du don du corps du centre universitaire des Saints-Pères, après injection
de latex coloré dans le réseau carotidien externe, afin de visualiser le trajet
de l’artère palatine descendante. Toutes les pièces sont sectionnées selon
un plan axial passant par le sinus et maintenues grâce à un étau, dans une
position comparable à la position opératoire du patient.
Des mini-vis en titane de 9 mm de longueur et de 2 mm de diamètre et dont
le filetage est autoforant (Gamme Ancotek® – Tekka) sont insérées à 5 mm
et à 8 mm du sommet du septum alvéolaire palatin séparant la deuxième
prémolaire de la première molaire, sur une longueur de 7, puis 9 mm.
La position de la mini-vis est évaluée par contrôle radiologique puis par
contrôle visuel après extraction de la deuxième prémolaire et de la première
molaire.
Résultats
Le risque de lésion d’une racine dentaire est augmenté en cas d’espace interradiculaire
faible. Il concerne principalement la racine mésio-vestibulaire
de la première molaire. Ce risque est accru si la première molaire est en rotation
mésio-palatine, ou si ses racines sont fortement divergentes. Le risque de
lésion d’une racine est augmenté avec une vis de 9 mm de longueur.
Le risque d’effraction sinusienne est principalement constaté avec l’utilisation
des mini-vis de 9 mm. Ce risque est augmenté si la mini-vis est placée à
8 mm du sommet du septum alvéolaire et si l’axe de la mini-vis est incliné en
direction apicale. La vis peut léser une petite artériole provenant de l’artère
palatine descendante, sans conséquences cliniques.
Conclusion
La rotation mésio-palatine de la première molaire ou un espace interradiculaire
faible entre la deuxième prémolaire et la première molaire peuvent
représenter des contre-indications à la pose d’une mini-vis palatine dans
cette zone. Le cliché rétro-alvéolaire est un examen indispensable à la prise
de décision. Le risque de lésion dentaire est sensiblement réduit avec une
mini-vis de 7 mm de longueur. L’insertion perpendiculaire au grand axe des
dents limite le risque d’effraction sinusienne.
Jean-François ERNOULT
Un cas d’orthodontie traité par des plaques de type
Bollard
L’objectif de cette communication est de présenter le traitement d’un cas
clinique, afin de mettre en évidence l’efficacité de l’ancrage orthodontique
obtenu grâce à des plaques de type Bollard.
Florence ROUSSARIE
La fiabilité et la précision des attaches en technique
Incognito permettent d’étendre leur prescription à une
population plus jeune de 12 à 16 ans : les adolescents
Les indications peuvent dépasser le simple bénéfice esthétique d’un appareil
invisible : certaines malocclusions et en particulier les fortes supraclusies
seront traitées plus facilement et d’autre part la protection d’un email vestibulaire
défectueux sera optimal en plaçant les attaches en lingual.
Les limites dues à l’anatomie dentaires ou à la non-éruption peuvent facilement
contournée par des prescriptions particulière a l’enfants. L’ensemble
de ces prescriptions et leur mise en application clinique seront detaillées.
Des cas cliniques viendront illustrer le discours.
Samedi 10 novembre • Salle 352AB