Dissertation sur le traite de paix de Crepy du 18 septembre 1544

de Paris, Fue tan grande cl
miedo que aquella gente cabre,
qûe las mas ciudatianos do
Paris desamparavan aquella
eiudad la mas principal de Europa
y se retiravan a otras
partes. Especial à per al misma
liempo el Bey de Inglaterra
par la parte de Teronna
sa apodero de la ciudad de
Bolena. »
En aqucUa est rechuta ultimamente
se vino a [ratai, de
paz: juntaron se las Embaxadores
destos principes en la
ciudad de Suessen, donde asentaron
las pares con estas
condiciones. »
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loin ses armez victorieuses
qu'il vint jusqu'aux pertes de
Paris. La consternation fut si
grande que la plupart des plus
riches habitants de cette ville,
la plus considérable de toute
l'Europe. l'abandonnèrent pour
se retirer dans les villages les
plus éloignés. Dans le même
temps le roi d'Angleterre entra
en Franco du côté de Térouanc
et s'empara de la ville
de Boulogne.
Enfin pendant que les afl'airesparaissaient
les plus brouillées,
on parla de l'aix. Les
Plénipotentiaires des deux
princes s'assemblèrent en la
ville de Soissons, où la paix
fut conclue aux conditions suivantes.
La bibliothèque de là ville de Laon possède aussi
de nombreux manuscrits l'un d'eux est un abrégé
deE choses les plus remarquables qui se sont 'passées
sous les règnes des évêques qui ont gouverné l'église
-de Laon ; le nom de l'auteur de ce manuscrit n'est
point indiqué; ce manuscrit est classé sous le n° 481
et à la page 55 ou lit ces quelques mots:
« En 154, François jr fit la paix avec Charles-Quint à
Crépy-en-Laonnois. o
A la page 570 du 9° volume de son ffistozre de
France, le père Daniel s'exprime ainsi
Les députés des deux parties s'assemblèrent à la
Chaussée entre Châlons et Vitry, mais les conférences n'aboutirent
pas ----- Le roi envoya l'amiral à l'empereur
pourreprendre les négociations, il le trouva dans l'abbaye
de Saint-Jean-des-vignes de Soissons ..... L'affaire fut
terminée à Crespi-en-Laonnois le 18° de septembre
154. »
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