Dissertation sur le traite de paix de Crepy du 18 septembre 1544

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jiiiihâ dIè^riâ,-ï le apoièntattù
en Patacio, y cl viernès
cl y ei,Prineipe de FlunRria y
cl almifanic, de Francia, y
aires. eiilleros Franceses,
fueçon con et Emperador
aeompànandole la «ente de
gueri n.'
• EnCrespio n chez y nueve
dé setiembre desle ano de mil
y quinientosy quarenta y
se.puhlieo ta cbneor-
lia
dia y assieuto de la paz entre
e] parader y cl Bey Francisco.
que ordenaron y tratamn.
Claudio Annibaldo Amiraclé
de FranciaCarlos NuIlio,
y Byntdo per cl Rey. Don
hernando de Cionzaga general
del ,campo. Imperial, Nicol,s
Pbheiibto sônor de Gréirvella;
y cl comendndor mayor de
Aleantara Don Pedro de la
Cueva, y & seeretnrio Abuse
de i-ediàque± que $ en ostos
tiernpos cri grau parte en les
negocios. y de quien cl Empe.
radar les confiava per la fidelidad,
asistencia •y amer conque
serviR a sa Principe;
licito estes traies Frai Gabriel
de Gùzman, a quien la Eteyna
Dans Leonor hàie mereed, y
se le dia per elles la abadia
de Longo pente,...
Î'àus donnons encore la
sèigueurae tavannes, dé]
P
avec Frânéois r , dont il
'Vannes dans es éiôifês,
lès' Mité ê ii ces terfhés:
—20--
qui alla le rcceyoiravec beaueùuf
e de joie etI fit ldèer en
son logis. Le Due d'Orlédùs;
ainsi que le Prince de Hongrie
et l'amiral de Fiance et d'autres
cavaliers Frahçais, re.terànt
Ir, vendredi avec l'Empereur
qu'accompagnent ai les gens de
guerre.
A Crespy,le dix-neuf septembre
mit cent cinq quarante quatre,
fut publié le rétablissement
de la paix entre l'Empereur p et
le roi Français, laquelle fut
conclue par Cinade d'Annebut,
amiral do France, Charles
e Neuilly et Bayard pour le
Roi, Don Fernand de Goazaque;
général de l'armée lmpéL
rialo Nicolas Perrenot soigneur
de Granvelle et griind
eommanaeur d'A(èhfrfra,Dpn
Pedro ce la Guère et le séerétaire
Alphonse de Hediaquez.
qui alors avait grande part aux
affaires et en qui l'Emperuer
avait confiance A cause de sa fidéliléet
du zè!e avec. lesquels il
servait son Prince. Ce traité
fut négocié par fière Gabriel
de Guzinan que favorisait la
Reine Eléonore et auquel l'abbaye
de Longpont fut donnée
à cette occasion.
larole à Gaspard de Saulx,
Ili ui fut pris à ?àvie,
tait alors le page. Dd Tàt
vine , page 125, è4ôée
« ,Le»auphin tance de ' Ldtdiile ]'éereu £yaitt ddspdîidû
tinpi et argent devant une bicoque. L'Anglais ne
voulant quitter Bologne, manquant à la promesse d'assiéger
Paris; l'empereur entend à la , paix... .....Résoluà la
Te raite frf Sis.ôùs, se parant de l'ivièes cômrhe il fit;
s