Dissertation sur le traite de paix de Crepy du 18 septembre 1544

peace and taking li to ho
made.
The nineteenth of this
present was a post dispatched
by the Empetor towards
Fianders and y not
made privy te il.
se
dosme et tout le monde
parlant de paix et la considérant
comme faite (t).
Le 19 de ce mois un courrier
a été dépêché par l'Empereur
en Flandre et je n'ai
pas été mis dans la confidence
(e).
De tous les documents qui précèdenÇil résulte donc
que les plénipotentiaires fran çais et impériaux se sont
toujours trouvés auprès de l'empereur Charles-Quint
du 14 au 19 septembre 1544.
Enfin M. Paillard, s'appuyant sur des documents
qu'il nous a communiqués par extrait et qu'il se réserve
de publier in-extenso, dans son grand travail
historique, affirme que la justification de l'opinion
qu'il soutient avec nous, sera encore faite d'une manière
palpable, saisissante:
Je au moyen des lettres adressées par Charles-Quint
à sa soeur la reine de Hongrie, aux termes desquelles
il l'informe qu'il a été obligé de conclure la paix à
Crépy-en-Laonnois.
2° par les extraits des « state papers » papiers
d'Etat publiés par le Record office anglais;
3° et par la correspondance de Navagero, ambassadeur
vénitien auprès de Charles-Quint.
Ici nous invoquerons encore la grande autorité de
M. Gachard, l'éminent archiviste général du'royaume
de Belgique, qui a bien voulu nous faire hommage de
son intéressant ouvrage ayant pour titre: Trois années
de l'histoire de Charles—Quint 1543 à 1546, d'après
(f) On sait que la paix résolue à Soissons rot signée le 18 au soir à septembre
dans l'église
Crépy-en-Laonnois
de
et jurée le lendemain 19,par Charles Quint,
N.-D. de Orépy'en-Laonnois.
(2) CO courrier portait des lettres de Charles-Quiet à Hongrie pour lui la reine Marie de
annoncer la conclusion de la paix,
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