Antigone. « L'assassinat de la France - LibertyVox
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<strong>Antigone</strong>. <strong>«</strong> <strong>L'assassinat</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>France</strong> expliqué à ma petite-fille »<br />
violents, nous n'aurons aucun territoire <strong>de</strong> repli protégé alors qu'eux<br />
se sentiront en sécurité partout. Nous contraindre à ce<br />
"vivrensemble", façon Big Brother, qui aura <strong>de</strong>s yeux et <strong>de</strong>s oreilles<br />
partout, mêlés à <strong>de</strong>s popu<strong>la</strong>tions que l'on a dressées à nous haïr est un<br />
cas <strong>de</strong> figure dont l'abjection et le cynisme me semblent sans<br />
précé<strong>de</strong>nt dans l'Histoire.<br />
- En somme on ne nous <strong>la</strong>isse que le choix <strong>de</strong> nous entre-tuer à cause<br />
du communautarisme ou <strong>de</strong> disparaître par le métissage.<br />
- C'est ça, tu as bien résumé <strong>la</strong> situation. On aura tous les<br />
inconvénients du communatarisme sans le seul re<strong>la</strong>tif obstacle à ces<br />
inconvénients : <strong>la</strong> répartition en ghettos culturels, le chacun chez soi.<br />
- Moi, je vois ces liquidateurs comme <strong>de</strong> sales gosses <strong>de</strong> riches qui ont<br />
fait <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>France</strong>, leur jouet.<br />
- Il y a <strong>de</strong> ça, en effet. Comme les enfants gâtés qui <strong>la</strong>ssés <strong>de</strong> leurs<br />
beaux jouets, les cassent et s’entichent le temps d’un nouveau caprice<br />
<strong>de</strong> ceux à trois sous du rejeton <strong>de</strong> <strong>la</strong> bonne, nos fils à papa <strong>la</strong>ssés d’une<br />
<strong>France</strong> qui, à leurs yeux b<strong>la</strong>sés, n’avait plus rien d’excitant à leur<br />
offrir, ont choisi <strong>de</strong> <strong>la</strong> détruire pour <strong>la</strong> remp<strong>la</strong>cer par cette <strong>France</strong><br />
barbare et grossière dont ils finiront, aussi par se déprendre, en nous<br />
<strong>la</strong>issant, nous les obscurs, les sans voix, les sans gra<strong>de</strong>s, dans un<br />
enfer qui ne les atteindra pas.<br />
- Tout ce que tu dis me fait penser au sketch que j'ai vu une fois à <strong>la</strong><br />
télé, d'un comique que tu aimes bien.<br />
- Un comique que j'aime bien ? Je n'en vois pas. Je les déteste tous. Ils<br />
ne font qu'aller dans le sens du politiquement correct.<br />
- Oui, mais c'est un comique mort, un <strong>de</strong> ton temps. Fernand quelque<br />
chose...<br />
- Fernand Reynaud ?<br />
- C'est ça !<br />
- Vas-y ! Je t'écoute.<br />
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