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DAVID H. SHOEMAKER - LIGO - Caltech

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Las itoilcs, Ies sources, les signauz lT<br />

La ddtectabilitd des binaires est une fonction du bruit large-bande du d6tecteur<br />

(normalement specifi6 par racine de hertz), ei de la plus basse frdquence {16 qu,on<br />

puisse mesurer avec cette sensibirit6 (parce que le temps d'observation augmence<br />

si on peut comrnencer la mesure i, des frdquences basses). Les estirnations du taux<br />

de coalescence de binaires varient largement, Mais si on prend les chiffres minimums<br />

[Clark'79], et une antenne avec Ia sensibilitd canonique (qui pourrait voir ces<br />

6vdnements jusqu'au groupe Virgo, i une distance de 10 NIpc, ori I pc = 3.l0rc m),<br />

on attend plus de irois observ"ations par an. Dans le cas ori la r€ponse du ditecteur<br />

serait prolong6e jusqu'i 10IIz (comme proposi par le projet Franco-Italien), les<br />

6v6nements dix fois plus distants pourraient 6tre ddtect€s, augmentant de l,ordre<br />

de mille fois le taux d'6v6nements attendus.<br />

Supcrnova.. Les supernove de type I (probablement les explosions des naines<br />

blanches ayant accr6t6 de la matilre d,une dtoile compagne), et de type II (probablement<br />

les effondrements gravitationnels des 6toiles rnassives) sont des candidats<br />

comne sources de rayonnement graviiationnel. La forme de lz(t) n'est paE du iout<br />

certaine, parce que la connaissance des processus dans les dtoiles est limit6e, et<br />

parce que les calculs avec les modiles existants sont trds compliques. De plus, la<br />

propagation initiale d"" ondes (pris de ra source) est difficire a, calculer. cependant,<br />

il y des caract€ristiques tris g€nirales sur lesquelles on est en accord : une<br />

amplitude i(r) qui consiste en une ou prusieurs oscilations ayant de r'6nergie dans<br />

les fr6quences entre 200 Hz et l0 kHz, qui dure entre I cs et F0 ms. plusieurs<br />

signaux calcul& sont o.ontrds dans la figure lA4. Les anplitudes atiendues soni<br />

. aussi incertaines; de I'asymitrie dans l,effondrement est nicessaire pour que les<br />

ondes gravitationnelles soient rayonn6es. On s'attend i ce qu,une fraction l0-z<br />

(un peu optimisie!) i rO-c de l'6nergie totale du systime Mc2 soit rayonnde sous<br />

la forme dbndes gravitatioanerlee, ce qui se traduit en ampritudes h enire r0-re<br />

et 10-2! pour une masse solaire au ceDtre galactique (une distance de l0 kpc)<br />

[Dewey'861. Le taux d'6v6nements a une limite inf6rieure de prusieurs par an dans<br />

notre galaxie (fi,tee par les obseryations optiques); il existe une possibiliid de supernova<br />

optiquement.muettes', qui montrent tres peu d,activit6 dans le spectre<br />

6lectromagn6tique, mais qui rayonnent des ondes gravitationnelles lThorne,ETl.<br />

En tout cas, ave€ une antenne ayant les caractdristiques canoniques, on attend<br />

la ddtection de plusieurs 6v6nements par an. Remarquons que le rayonnement

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