- Qui est ce bonhomme? Se relevant lentement ... - Lobsang Rampa
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dait un parc superbe - plantes et fleurs merveilleuses,<br />
inconnues d'Arnold. Et là, au beau milieu du parc, s'élevait<br />
le grand bâtiment en forme de dôme auquel on<br />
donnait le nom de hall des souvenirs. Ils r<strong>est</strong>èrent debout<br />
quelques instants comme pour embrasser la scène -<br />
verdure, fleurs aux couleurs vives et bleu irréel des cieux<br />
qui se reflétaient sur la surfa<strong>ce</strong> lisse du lac, près du hall<br />
des souvenirs.<br />
Comme d'un commun accord, Arnold et son ami prirent<br />
le petit chemin qui menait au bâtiment. Peut-être<br />
s'interrogeait-ils, tout en marchant, sur les gens qu'ils<br />
voyaient assis sur les bancs ou étendus sur l'herbe. Le<br />
hall avait de nombreux visiteurs, les uns montant l'escalier<br />
et d'autres sortant par l'une ou l'autre issue. Certains<br />
paraissaient transportés d'aise et d'autres avaient l'air<br />
d'avoir été châtiés. L'étrangeté de tout <strong>ce</strong>la donnait le<br />
frisson à Arnold. Qu'allait-il se passer pour lui dans le<br />
hall? <strong>Se</strong>rait-il jugé favorablement et monterait-il vers une<br />
vibration supérieure, vers une forme d'existen<strong>ce</strong> plus<br />
abstraite? Ou bien serait-il renvoyé sur terre pour recommen<strong>ce</strong>r<br />
toute une autre vie?<br />
- Regardez, regardez, murmura le nouvel ami d'Arnold,<br />
en désignant quelque chose à distan<strong>ce</strong>. (Sa voix se fit<br />
aussi faible qu'un murmure :) Ceux-ci sont des entités<br />
d'un plan plus élevé; ils sont venus pour observer les<br />
gens. Regardez-les.<br />
Arnold regarda. Il vit deux brillantes sphères dorées,<br />
paraissant faites de lumière, mais si brillantes qu'Arnold<br />
ne fut pas <strong>ce</strong>rtain de voir clairement leur forme. Les<br />
sphères dérivaient sous une brise dou<strong>ce</strong>. Arrivées devant<br />
les murs du hall des souvenirs, elles les touchèrent et,<br />
sans laisser aucune marque, les traversèrent.<br />
- Je dois vous quitter maintenant, dit l'ami d'Arnold.<br />
Mais gardez votre confian<strong>ce</strong>, ne vous laissez pas abattre.<br />
Vous n'avez, j'en suis sûr, aucune raison de vous inquiéter.<br />
Adieu. Quelqu'un sera là pour vous accueillir quand<br />
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