13.07.2013 Views

- Qui est ce bonhomme? Se relevant lentement ... - Lobsang Rampa

- Qui est ce bonhomme? Se relevant lentement ... - Lobsang Rampa

- Qui est ce bonhomme? Se relevant lentement ... - Lobsang Rampa

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

vous sortirez. Courage! N'ayez pas <strong>ce</strong>t air lugubre! (Sur<br />

<strong>ce</strong>s mots, il fit demi-tour.)<br />

Avec une appréhension grandissante, une frayeur atro<strong>ce</strong>,<br />

Arnold se dirigea jusqu'au bout du sentier où se<br />

trouvait l'entrée du hall. Il s'arrêta au pied du grand<br />

escalier et essaya de regarder autour de lui; mais non, il<br />

ne s'arrêta pas. Une for<strong>ce</strong> le propulsait. Il monta les.<br />

escaliers à la hâte et s'arrêta un instant devant la grande<br />

porte d'entrée. Soudain, et sans un bruit, elle s'ouvrit, et<br />

Arnold se trouva projeté à l'intérieur. Poussé ou tiré - peu<br />

importe - il était à l'intérieur et la porte se ferma derrière<br />

lui.<br />

11<br />

Le silen<strong>ce</strong>, total et absolu. Pas le moindre bruit, même<br />

pas <strong>ce</strong>lui d'un murmure. Rien. <strong>Se</strong>ul existait le silen<strong>ce</strong>.<br />

<strong>Se</strong>s yeux avaient dû enregistrer de la lumière, par<strong>ce</strong><br />

que,.en <strong>ce</strong>t:instant,',dansl<strong>ce</strong>tte.obscurité profonde, ses nerfs<br />

optiques envoyaient des lueurs.<br />

Une complète absen<strong>ce</strong>. Un vide. Arnold se déplaçait et<br />

n'en avait pas conscien<strong>ce</strong>. Tout était vide, plus vide que<br />

l'espa<strong>ce</strong> même. Puis un faible point lumineux apparut<br />

soudain « quelque part )) et de <strong>ce</strong> point jaillissaient des<br />

raies rouges comme volent les étin<strong>ce</strong>lles sur un fer à<br />

cheval frappé par un maréchal-ferrant. La lumière était<br />

d'un bleu pâle en son <strong>ce</strong>ntre, puis allait en s'assombrissant<br />

pour finir par être d'un bleu violacé. La lumière<br />

s'étendait - toujours bleue - et Arnold alors vit le monde,<br />

la terre qu'il avait quittée si ré<strong>ce</strong>mment. Elle donnait<br />

l'impression de flotter dans l'espa<strong>ce</strong>. Il n'y avait qu'une<br />

masse de nuages de différentes couleurs et, l'espa<strong>ce</strong> d'une<br />

seconde, il eut un aperçu de <strong>ce</strong> qui aurait pu être le<br />

164

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!