Explications sur la Sanctification.

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ne pas m'imposer des conditions trop effrayantes. Je la rejette d'autant plus, lorsqu'elle usurpe la place de la foi et de ses plus magnifiques privilèges. Au reste elle se trouvera encore trop élevée, soyez-en certain, dès qu'on en fera sincèrement une condition pour mériter toutes les grâces dont il a été question: «Ne pas aimer le péché» dit beaucoup ! Combien de chers enfants de Dieu qui ne sont peut-être point encore parvenus, au bout d'un long combat, à oser dire cela d'eux-mêmes, en sincérité et d'une manière absolue! Combien d'autres sont tombés assez profondément pour fuir tous les avertissements des frères et pour n'avoir plus ni le désir ni le besoin de s'approcher du trône de la miséricorde, qui est dans la lumière. Qu'ils soient repris par leur conscience et que, dans cet état, déjà précieux mais encore si critique, votre étude vienne à tomber entre leurs mains — ? Aux mondains incrédules vous diriez, je pense: «Allez à Christ avec tous vos péchés connus et inconnus; allez à Christ tel que vous êtes, vous y trouverez le pardon — un seul regard de la foi vous suffit pour être sauvés...» Et ce serait le contraire pour des saints en chute? (1) Je souligne les derniers mots. Joie et assurance dépendent de Jésus: L'Esprit et la Parole nous guident pour le retranchement, dans le cas où les avertissements de l'amour fraternel auraient été inutilement épuisés. Mais ni la Parole ni l'Esprit n'ôtent aux saints 112
en chute la faculté de s'approcher, ou l'accès, par le moyen de Jésus-Christ, auprès du Père des miséricordes. Ce n'est ni l'Esprit ni la Parole qui nous ôtent ces ressources pour des cas où, sans elles, nous péririons infailliblement. Les présenter aux âmes, les leur tendre, pour ainsi dire, est un des meilleurs moyens de provoquer en elles la componction et la véritable repentance. C'est une triste parole de l'incrédulité que celle-ci: «Je suis un trop grand pécheur pour être reçu, écouté et pardonné.» Mais elle a — chez les croyants — des sources profondes, dans l'enseignement et dans la nourriture mélangés que reçoivent, presque nécessairement, les brebis de Jésus confondues avec le monde pour les choses de Dieu. Sans mépriser, Dieu m'en garde, le sentiment de regrets et d'humiliation qui peut se trouver sous ces paroles, je dis seulement qu'une âme qui, en face de la Grâce, reste dans ces termes, demeure dans l'incrédulité. Elle court le danger de suivre plutôt la pente de la ruine et du désespoir que celle du relèvement, de l'assurance, de la communion, de l'obéissance et de la joie du salut — choses qui, réunies, méritent véritablement d'être définies par les mots: «vivre saintement». Vous citez les lignes suivantes (1) que vous blâmez fortement: «L'assurance chrétienne (la hardiesse filiale de l'Esprit d'adoption) ne dépend nullement de quoi que ce soit qui puisse se trouver en 113
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La communion entre l'homme et Dieu:
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des vêtement, du langage, des exp
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liberté que nous avons en Christ,
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transporté dans le Royaume actuel
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L’éloignement du péché est ain
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LETTRE A M. F. BERTHOLET-BRIDEL Mon
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EXPOSITION *** CHAPITRE 1 L'ASSURAN
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CHAPITRE 2 LA JOIE DU SALUT Ceux qu
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CHAPITRE 3 L'ÉTABLISSEMENT EN CHRI
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marcher les affranchis de Christ; d
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et pour la satisfaction de son amou
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avec lui en gloire. Sachant que nou
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Christ. Mais il est impossible de d
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vous serez réellement libres» —
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L'assurance chrétienne n'est pas f
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CHAPITRE 6 CONVERSION ET REPENTANCE
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L'âme est aimée, lavée et justif
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la pure et sainte grâce, éclairé
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CHAPITRE 7 LA RESPONSABILITÉ «Ach
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énir le Seigneur pour tous mes fr
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Il en est toujours ainsi. L'obéiss
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mêmes surtout, en appréciant ces
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mouvement pour s'approcher de Dieu,
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CHAPITRE 8 EXAMEN DU CHRÉTIEN ÉVA
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elèvement ou de la restauration a
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quelque brevet de sainteté pratiqu
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Il est bon d'insister sur notre res
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l'établissement en Christ, quant
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