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LA PHILOSOPHIE DANS LE BOUDOIR - il portale di "rodoni.ch"

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Septième et Dernier Dialogue<br />

exactitude. Je vais commencer, et comme vous le croyez bien, c'est encore<br />

une fois son cul qui va recevoir mon hommage. Pendant la jouissance,<br />

chacun sera maître de la condamner à tel supplice que bon lui semblera, en<br />

observant d'aller par gradation, afin de ne la point crever tout d'un coup...<br />

Augustin, console-moi, je t'en prie, en m'enculant, de l'obligation où je suis<br />

de sodomiser cette vie<strong>il</strong>le vache. Eugénie, fais-moi baiser ton beau derrière,<br />

pendant que je fouts celui de ta maman, et vous, madame, approchez le<br />

vôtre, que je le manie... que je le socratise... Il faut être entouré de culs,<br />

quand c'est un cul qu'on fout.<br />

Eugénie : Que vas-tu faire, mon ami, que vas-tu faire à cette garce ? A quoi<br />

vas-tu la condamner, en perdant ton sperme ?<br />

Dolmancé, toujours fouettant : La chose du monde la plus naturelle : je vais<br />

l'ép<strong>il</strong>er et lui meurtrir les cuisses à force de pinçures.<br />

Mme de Mistival, recevant cette vexation : Ah ! le monstre ! le scélérat ! <strong>il</strong><br />

m'estropie !... juste ciel !...<br />

Dolmancé : Ne l'implore pas, ma mie : <strong>il</strong> sera sourd à ta voix, comme <strong>il</strong> l'est<br />

à celle de tous les hommes ; jamais ce ciel puissant ne s'est mêlé d'un cul.<br />

Mme de Mistival : Ah ! comme vous me faites mal !<br />

Dolmancé : Incroyables effets des bizarreries de l'esprit humain !... Tu<br />

souffres, ma chère, tu pleures, et moi je décharge... Ah ! double gueuse ! je<br />

t'étranglerais, si je n'en voulais laisser le plaisir aux autres. A toi, Saint-Ange.<br />

(Mme de Saint-Ange l'encule et l'enconne avec son godemiché ; elle lui<br />

donne quelques coups de poing ; le chevalier succède ; <strong>il</strong> parcourt de même<br />

les deux routes, et la soufflette en déchargeant. Augustin vient ensuite ; <strong>il</strong><br />

agit de même et termine par quelques chiquenaudes, quelques nasardes.<br />

Dolmancé, pendant ces <strong>di</strong>fférentes attaques, a parcouru de son engin les<br />

culs de tous les agents, en les excitant de ses propos.) Allons, belle Eugénie,<br />

foutez votre mère ; enconnez-la d'abord !<br />

Eugénie : Venez, belle maman, venez, que je vous serve de mari. Il est un<br />

peu plus gros que celui de votre époux, n'est-ce pas, ma chère ? N'importe, <strong>il</strong><br />

entrera... Ah ! tu cries, ma mère, tu cries, quand ta f<strong>il</strong>le te fout !... Et toi,<br />

Dolmancé, tu m'encules !... Me vo<strong>il</strong>à donc à la fois incestueuse, adultère,<br />

sodomite, et tout cela pour une f<strong>il</strong>le qui n'est dépucelée que d'aujourd'hui !...<br />

Que de progrès, mes amis !... avec quelle rapi<strong>di</strong>té je parcours la route<br />

épineuse du vice !... Oh ! je suis une f<strong>il</strong>le perdue !... Je crois que tu<br />

décharges, ma douce mère ?... Dolmancé, vois ses yeux !... n'est-<strong>il</strong> pas<br />

certain qu'elle décharge ?... Ah, garce ! je vais t'apprendre à être libertine !...<br />

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