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LA PHILOSOPHIE DANS LE BOUDOIR - il portale di "rodoni.ch"

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Cinquième Dialogue<br />

pénétrer ; dès qu'<strong>il</strong> sera dedans, tu t'empareras de celui d'Augustin, dont tu<br />

rempliras mes entra<strong>il</strong>les ; ce sont là des devoirs de novice, <strong>il</strong> v a de<br />

l'instruction à recevoir à tout cela ; vo<strong>il</strong>à pourquoi je te le fais faire.<br />

Mme de Saint-Ange : Mes fesses sont-elles bien à toi, Dolmancé ? Ah !<br />

mon ange, si tu savais combien je te désire, combien <strong>il</strong> y a de temps que je<br />

veux être enculée par un bougre !<br />

Dolmancé : Vos vœux vont être exaucés, madame ; mais souffrez que je<br />

m'arrête un instant aux pieds de l'idole : je veux la fêter avant que de<br />

m'introduire au fond de son sanctuaire... Quel cul <strong>di</strong>vin !... Que je le baise !...<br />

que je le lèche m<strong>il</strong>le et m<strong>il</strong>le fois !... Tiens, le vo<strong>il</strong>à, ce vit que tu désires !...<br />

Le sens-tu coquine ? Dis, <strong>di</strong>s ; sens-tu comme <strong>il</strong> pénètre ?...<br />

Mme de Saint-Ange : Ah ! mets-le-moi jusqu'au fond des entra<strong>il</strong>les !... Ô<br />

douce volupté, quel est donc ton empire !<br />

Dolmancé : Vo<strong>il</strong>à un cul comme je n'en foutis de mes jours ; <strong>il</strong> est <strong>di</strong>gne de<br />

Ganymède lui-même ! Allons, Eugénie, par vos soins qu'Augustin m'encule à<br />

l'instant.<br />

Eugénie : Le vo<strong>il</strong>à, je vous l'apporte. (A Augustin.) Tiens, bel ange, vois-tu<br />

le trou qu'<strong>il</strong> te faut perforer ?<br />

Augustin : Je le voyons bien... Dame ! <strong>il</strong> y a de la place là !... J'entrerai<br />

mieux là-dedans que chez vous, au moins, mam'selle ; baisez-moi donc un<br />

peu pour qu'<strong>il</strong> entre mieux.<br />

Eugénie, l'embrassant : Oh ! tant que tu voudras, tu es si frais !... Mais<br />

pousse donc !... Comme la tête s'y est engloutie tout de suite !... Ah ! <strong>il</strong> me<br />

paraît que le reste ne tardera pas...<br />

Dolmancé : Pousse, pousse, mon ami... déchire-moi s'<strong>il</strong> le faut... Tiens, vois<br />

mon cul, comme <strong>il</strong> se prête... Ah ! sacre<strong>di</strong>eu ! quelle massue !... je n'en reçus<br />

jamais de pare<strong>il</strong>le... Combien reste-t-<strong>il</strong> de pouces au-dehors, Eugénie ?<br />

Eugénie : A peine deux !<br />

Dolmancé : J'en ai donc onze dans le cul ! Quelles délices !... Il me crève, je<br />

n'en puis plus ! Allons, chevalier, es-tu prêt ?...<br />

Le Chevalier : Tâte, et <strong>di</strong>s ce que tu en penses.<br />

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