LA PHILOSOPHIE DANS LE BOUDOIR - il portale di "rodoni.ch"
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Cinquième Dialogue<br />
qui les étu<strong>di</strong>era, afin de se rendre fam<strong>il</strong>ière à cette opération, que nous lui<br />
ferons ensuite subir à elle-même par l'énorme vit de cet hercule.<br />
Dolmancé : Je m'en flatte, et ce joli petit derrière sera bientôt déchiré sous<br />
nos yeux par les secousses violentes du brave Augustin. J'approuve, en<br />
attendant, ce que vous proposez, madame, mais si vous voulez que je vous<br />
traite bien, permettez-moi d'y mettre une clause : Augustin, que je vais faire<br />
rebander en deux tours de poignet, m'enculera pendant que je vous<br />
sodomiserai.<br />
Mme de Saint-Ange : J'approuve fort cet arrangement ; j'y gagnerai, et ce<br />
sera pour mon écolière deux excellentes leçons au lieu d'une.<br />
Dolmancé, s'emparant d'Augustin : Viens, mon gros garçon, que je te<br />
ranime... Comme <strong>il</strong> est beau !... Baise-moi, cher ami... Tu es encore tout<br />
mou<strong>il</strong>lé de foutre, et c'est du foutre que je te demande... Ah ! sacre<strong>di</strong>eu ! <strong>il</strong><br />
faut que je lui gamahuche le cul, tout en le branlant !...<br />
Le Chevalier : Approche, ma sœur ; afin de répondre aux vues de Dolmancé<br />
et aux tiennes, je vais m'étendre sur ce lit ; tu te coucheras dans mes bras, en<br />
lui exposant tes belles fesses dans le plus grand écartement possible... Oui,<br />
c'est cela : nous pourrions toujours commencer.<br />
Dolmancé : Non pas, vraiment : attendez-moi ; <strong>il</strong> faut d'abord que j'encule ta<br />
sœur, puisque Augustin me l'insinue ; ensuite je vous marierai : ce sont mes<br />
doigts qui doivent vous lier. Ne manquons à aucun des principes : songeons<br />
qu'une écolière nous regarde, et que nous lui devons des leçons exactes.<br />
Eugénie, venez me branler pendant que je détermine l'énorme engin de ce<br />
mauvais sujet ; soutenez l'érection de mon vit, en le polluant avec légèreté<br />
sur vos fesses... (Elle exécute.)<br />
Eugénie : Fais-je bien ?<br />
Dolmancé : Il y a toujours trop de mollesse dans vos mouvements ; serrez<br />
beaucoup plus le vit que vous branlez, Eugénie ; si la masturbation n'est<br />
agréable qu'en ce qu'elle comprime davantage que la jouissance, <strong>il</strong> faut donc<br />
que la main qui y coopère devienne pour l'engin qu'elle trava<strong>il</strong>le un local<br />
infiniment plus étroit qu'aucune autre partie du corps... Mieux ! c'est mieux,<br />
cela !... écartez le derrière un peu plus, afin qu'à chaque secousse la tête de<br />
mon vit touche au trou de votre cul... oui, c'est cela !... Branle ta sœur en<br />
attendant, chevalier : nous sommes à toi dans la minute... Ah ! bon ! vo<strong>il</strong>à<br />
mon homme qui bande... Allons, préparez-vous, madame ; ouvrez ce cul<br />
sublime à mon ardeur impure ; guide le dard, Eugénie ; <strong>il</strong> faut que ce soit ta<br />
main qui le conduise sur la brèche ; <strong>il</strong> faut que ce soit elle qui le fasse<br />
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