Download the PhD thesis - Recherche - Ign

More documents

Recommendations

Info

L’énumération spatiale ne convient pas à la mise en évidence de caractéristiques géométriquescomme l’orthogonalité et nécessite, pour parcourir la surface d’un objet, l’extraction de sa frontièreou la conversion dans le modèle B-Rep (Tableau 2.2). Elle profite des modèles topologiquespour parcourir l’ensemble de ses cellules, pour détecter ou circonscrire certaines zones d’intérêtset décrire aisément les relations topologiques entre objets (Lachance, 2005).Tab. 2.2 – Évaluation du modèle d’énumération spatiale en termes d’analyse.L’estimation du volume, pour le modèle par énumération spatiale, est extrêmement aisée : elle consiste à sommerl’ensemble des tétraèdres remplissant l’objet géographique. De la même manière, le centre est déduit en moyennantles centres des tétraèdres et, à l’aide d’un modèle topologique, il est facile de parcourir l’intérieur (et l’extérieuren extrayant les tétraèdres possédant une face non-partagée). De plus, la détection des relations de voisinage (surle principe du « point dans volume », se référer à Eberly (2007)) est facilement calculable. Cependant, ce modèleprésente certaines difficultés pour mettre en évidence les caractéristiques géométriques, qui sont déterminées àpartir de la frontière, et pour parcourir l’extérieur de l’objet.41
2.4 Les modèles par frontièreHistoriquement, la première technique de modélisation par frontière, le fil de fer (ou wire framedans la littérature anglo-saxonne), décrit les objets par leurs sommets et leurs arêtes. Elle a étérapidement abandonnée car elle peut conduire à des représentations ambigües (Figure 2.11),pour être remplacée par une description hiérarchique de la frontière de l’objet : le modèle B-Repou Boundary representation (représentation par frontière).Fig. 2.10 – La représentation ambigüe du wire frame, d’après Chaillon (1992).Dans le cas d’une modélisation par wire frame, l’absence de surface rend la distinction de la frontière délicate.Le cube, modélisé par un wire frame, peut être interprété comme un volume (la forme désirée) ou comme sonintérieur.Le modèle B-Rep propose une décomposition d’un solide en faces (planes ou gauches) qui sontelles-mêmes délimitées par des arêtes (droites ou courbes) bornées par des sommets. SelonBillen (2002), un B-Rep bien formé ne peut s’entrecroiser, doit être fermé, orientable, borné ettopologiquement connecté. Ces aspects, qui feront l’objet de la prochaine partie, sont pris encompte par un modèle topologique qui explicite les relations entre ces primitives géométriques.Fig. 2.11 – Le modèle B-Rep, d’après Mäntyla (1988).(A) sous la forme d’un solide, (B) avec ses faces enveloppantes, (C) avec ses nœuds et ses arêtes.Le modèle B-Rep est le mieux adapté pour visualiser des objets complexes notamment si lesfaces sont planes (ex. : triangle). Au même titre que le modèle de décomposition en cellules,42
Page 9 and 10: 3.3.3 Extension des modèles à qua
Page 14 and 15: INTRODUCTION GÉNÉRALEContexteIl e
Page 16 and 17: Cependant, l’analyse d’un risqu
Page 18 and 19: - les problèmes de (re)mise en coh
Page 20 and 21: que des modèles géométriques, et
Page 22 and 23: - pour un objet : l’analyse des s
Page 24 and 25: - la deuxième partie présente le
Page 26: Première partieEtat de l’art en
Page 30 and 31: tiques géométriques (parallélism
Page 32 and 33: CHAPITRE 2LA MODÉLISATION GÉOMÉT
Page 34 and 35: Breunig (1996) considère que ces d
Page 36 and 37: Fig. 2.4 - Représentation d’un o
Page 38 and 39: Tab. 2.1 - Évaluation du modèle C
Page 40 and 41: Fig. 2.8 - Représentation octree d
Page 45 and 46: 2.5 Conclusion sur les modèles gé
Page 47: - des données qui sont le plus sou
Page 50 and 51: 3.1 Notions de topologieLa topologi
Page 52 and 53: Fig. 3.3 - Exemples de cellules plo
Page 54: Les CW complex sont une généralis
Page 58 and 59: - le TEtrahedral Network de Pilouk
Page 60 and 61: Fig. 3.11 - Exemple d’une décomp
Page 62 and 63: Les n-SurfacesLes n-Surfaces ont é
Page 64 and 65: Fig. 3.15 - Exemple d’objets vari
Page 66 and 67: Tab. 3.1 - Classification des modè
Page 68 and 69: CHAPITRE 4L’APPROCHE « GÉOMÉTR
Page 70: Fig. 4.2 - Le modèle topologique d
Page 73 and 74: d’expliciter sa structure, à l
Page 76: FIG. 5.4 - Schéma UML du prototype
Page 80 and 81: CHAPITRE 1INTRODUCTION : L’ANALYS
Page 82 and 83: CHAPITRE 2NOTIONS DE CRISTALLOGRAPH
Page 84 and 85: Fig. 2.1 - Intégration de la notio
Page 86 and 87: symétrie). Ils sont définis à l
Page 88 and 89: Fig. 2.7 - Indices de Miller, d’a
Page 90 and 91: CHAPITRE 3APPORTS DE LA CRISTALLOGR
Page 92 and 93:
Fig. 3.1 - Cas de la projection st
Page 94 and 95:
et constitue un support à la réfl
Page 96 and 97:
Plans de symétrieLes plans de sym
Page 98 and 99:
Tab. 3.1 - Opérateurs et élément
Page 100 and 101:
3.3.4 Conclusion : limites de l’a
Page 102 and 103:
Fig. 3.11 - Axe décrit comme A2 po
Page 104 and 105:
x ′y ′z ′ =( l 2 +(m 2 + n 2
Page 106 and 107:
Avant de s’intéresser à la mail
Page 108 and 109:
Fig. 3.18 - Indices de Miller et as
Page 110 and 111:
CHAPITRE 4DEUX APPLICATIONS DE LA S
Page 112 and 113:
des notches. Cet algorithme gère l
Page 114 and 115:
Fig. 4.4 - 3 possibilités pour ref
Page 116 and 117:
Cependant, si nous réglons ce prem
Page 118 and 119:
en incluant les protrusions (i.e. d
Page 120 and 121:
Contrairement à ces algorithmes qu
Page 122 and 123:
Fig. 4.11 - Détection des faces pa
Page 124 and 125:
Fig. 4.14 - Différents cas d’él
Page 126 and 127:
Fig. 4.17 - Exemples de simplificat
Page 128 and 129:
4.4 Conclusion : la maille ou l’
Page 130 and 131:
CHAPITRE 5CONCLUSION GÉNÉRALE : L
Page 132 and 133:
Fig. 5.3 - Classes de construction
Page 134 and 135:
FIG. 5.6 - Schéma UML du prototype
Page 136 and 137:
Troisième partieMise en relations
Page 138 and 139:
CHAPITRE 1INTRODUCTION : LA MODÉLI
Page 140 and 141:
- la description des relations d’
Page 142 and 143:
CHAPITRE 2MISE EN RELATION DES OBJE
Page 144 and 145:
Fig. 2.3 - Le modèle des 9-interse
Page 146 and 147:
Fig. 2.4 - Exemple de mise à jour
Page 148 and 149:
Pour conclure, nous considérons qu
Page 150 and 151:
modélisation devient logiquement a
Page 152 and 153:
2.4 Description des relations entre
Page 154 and 155:
2.5 Conclusion : de la description
Page 156 and 157:
CHAPITRE 3ÉVOLUTION DES RELATIONS
Page 158 and 159:
forme (x, y). L’ensemble des pré
Page 160 and 161:
- dans un graphe connexe, un sommet
Page 162 and 163:
Fig. 3.6 - Exemple de p−graphe or
Page 164 and 165:
Fig. 3.9 - Trois exemples de graphe
Page 166 and 167:
- la détection des isthmes dont la
Page 168 and 169:
Fig. 3.12 - Représentation par ins
Page 170 and 171:
3.5 Conclusion : vers une gestion p
Page 172 and 173:
Yann Gueguen et Benoît Deffontaine
Page 174 and 175:
FIG. 4.2 - Schéma UML du prototype
Page 176 and 177:
FIG. 4.3 - Présentation géographi
Page 178 and 179:
CONCLUSIONS ET PERSPECTIVES GÉNÉR
Page 180 and 181:
Fig. 4 - Les abstractions d’un ob
Page 182 and 183:
de ne pas exploiter le principal av
Page 184 and 185:
version) auxquelles s’ajoutent de
Page 186 and 187:
Fig. 9 - Exemple de diagramme de Pe
Page 188 and 189:
Fig. 11 - Exemple de simplification
Page 190 and 191:
189
Page 192 and 193:
BIBLIOGRAPHIEAbdul-Rahman A., 2000,
Page 194 and 195:
Carlbom I., Chakravarty I., Vanders
Page 196 and 197:
University of Maine.Field D. A., 19
Page 198 and 199:
Lepage F., 2003, Génération de Ma
Page 200 and 201:
Prat S., Gioia P., Bertrand Y., Mé
Page 202 and 203:
Thalmann D., 2003, Infographie¸Eco
Page 204 and 205:
TABLE DES FIGURES1 Exemple de logic
Page 206 and 207:
3.6 Exemple d’une roto-inversion
Page 208 and 209:
3.5 Exemple de chaînes (en vert et
Page 210 and 211:
209
Page 212 and 213:
cés en JNI par Olivier Bonin. L’
Page 214 and 215:
Version du prototype Cristage refon
Page 216:
ANNEXE II : EXEMPLES D’ALGORITHME
Page 220 and 221:
eprésentation cartographique, util
Page 222 and 223:
ont à construire le labyrinthe don
show all

Download the PhD thesis - Recherche - Ign

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

Delete template?

Save as template?