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19,30, entriamo in PIAZZA
SAN PIETRO.
Sono passate 22,30 ore dalla
nostra partenza da Modena,
percorrendo 440 chilometri e
superando qusi 3500 di
dislivello. Ero già stato tante
volte in questa Piazza, ma
arrivarci in bici, in una sorta di
ciclo-pellegrinaggio, mi ha
dato un brivido indescrivibile.
Curioso notare che dopo la
strette di mano e i complimenti
reciproci, tutti noi abbiamo
iniziato a fare telefonate per
condividere con i nostri
famigliari e amici, che ci
avevano seguito costantemente
da casa, questa nostra grande
gioia e soddisfazione. Grande
entusiasmo anche da parte di
Domenico che da grande
appassionato di ciclismo quale
è ha partecipato, anche se alla
guida, alla nostra impresa.
E da una borsa che ha con sé
si materializza una bottiglia di
Ferrari ancora miracolosamente
fresca, nonostante le ore
trascorse dalla partenza e due
striscioni inneggianti ai sei
valorosi pedalatori modenesi.
Dopo il brindisi, le foto di rito
per suggellare una giornata
indimenticabile.
Un solo Big ma memorabile.
P.S. Per chi desidera vedere un
reportage fortografico del
viaggio può collegarsi a questo
sito web:
http://www.myalbum.com/Alb
um=HJGGEWWS
MODENA-ROME NO STOP
Luigi Candeli
Vendredi 20 juin 2008
Après quelques mois d'attente,
de préparation et de formation,
voilà enfin le moment de la
vérification.
Mes cinq amis (Gianni,
Carmine, Marco, Giovanni et
Ciccio) et moi, nous avons
décidé de tenter une grande
entreprise, l’«Entreprise» à
BIG Review 2009
raconter à nos futurs petitsenfants.
L'idée est de pédaler de
Modène à Rome en une seule
étape de bien 440 km. Nous
avons rendez-vous en face de
l'église abbatiale de San Pietro
pour établir une sorte de
jumelage avec la Cathédrale de
San Pietro à Rome, où notre
arrivée est prévue en fin
d'après-midi le lendemain.
Au départ il y a nos femmes,
quelques enfants et des amis
qui sont gentiment venus nous
donner leur encouragement.
Après la bénédiction de l’
Abbé, nous partons à 21
heures pile, à l’heure.
Nous sommes tous équipés
pour faire face à une longue
nuit sur un vélo. Feux avant,
feux arrière et capes en tissu
réfléchissant nous donnent une
certaine confiance et plus
encore c’est la présence de
Domenico, un ami qui va nous
suivre dans une camionnette de
location et qui assurera notre
retour à la maison. J'ai choisi
de surmonter les Apennins en
franchissant le Valico de
Montepiano, immédiatement
après Castiglion de’Pepoli,
parce que c’est le col le plus
facile, ainsi que la manière la
plus directe pour atteindre
notre objectif.
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Après avoir touché
Spilamberto, Bazzano,
Casalecchio, nous roulons
jusqu’à Sasso Marconi sur la
«Porettana», une route très
fréquentée. En traversant les
différents villages nous
éveillons une certaine curiosité
chez les gens: je crois que
personne ne peut imaginer,
même de loin ce qui sera notre
objectif. A Sasso Marconi nous
quittons enfin la nationale 64
pour remonter la Val di Setta,
une route tranquille où l'on
peut apprécier la beauté de
pédaler dans la nuit et profiter
d'une magnifique pleine lune,
qui rend presque inutiles nos
lumières.
Premier arrêt à Valico après
100 km. On roule depuis plus
de 4 heures et nous sommes à
un quart du total. Domenico,
l'amiral, nous ouvre le bar et
nous fournit du thé et du café
chauds et les capes
nécessaires pour attaquer la
descente sur Prato.
A Prato, comme pour tous les
villages qu’on va traverser le
long du parcours, j'ai choisi de
passer dans la vieille ville, pour
pouvoir allier de cette façon à
l’aspect sportif le culturel qui, à
mon avis, ne devrait jamais être
oublié de la part de ceux qui
font du vélo.
Stop à Piazza Duomo pour
enlever les capes et prendre des