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qui a réçu la mère attention ou à qui a accordé la mère attention si cela n’a pas été reconnu. Il ne s’agit pas de<br />

trouver des justifications pour les faits de la mère, mais de chercher les moyens résiduels pour constuire la spirale<br />

de légitimité constructive.”<br />

Michele Caccavo: “…de toutes ces situations, il faut qu’on trouve les zones résiduelles où se maintient une<br />

relation de confiance. Notre but est d’identifier ces zones.”<br />

Le premier jour le 23 avril 2007<br />

Le premier jour, à la rencontre ont participé 18 personnes de 15 institutions privés et publiques parmi<br />

lesquelles: Caritas Satu Mare point de travail de Baia Mare; DGASPDC Maramures; Fondation Volontaires Somaschi;<br />

HHC Roumanie; YMCA Baia Mare; La Police, SPAS Baia Mare, diverses écoles et l’Inspectorat Scolaire<br />

Maramures. Les participants se sont présentés, la présentation du projet pour les nouvelles personnes, on a discuté<br />

sur l’importance des procès verbaux et la façon de les utiliser. A la suite on a fait des considérations sur la force<br />

convocatrice de la famille. Il y a eu les interventions de Michele Caccavo et Jean Marie Lemaire, aussi que celles de<br />

Marie-Claire Michaud et Seira Milli.<br />

Dans la deuxième partie on a discuté le cas de Dorin, qu’on avait présenté et dont on a fait durant la rencontre<br />

précédente la sociogénogramme. Liliana Pintea a présenté les nouvelles de ce cas et suite à l’intervention<br />

de Claudiu Matache le cas a été repris d’un autre point de vue, celui de la victime de l’infraction de Dorin. Du<br />

procès-verbal:<br />

Claudiu Matache: “Que’est-ce qui s’est passé avec la victime?“<br />

Michele Caccavo: “Je voudrais te demander: quels sont les raisons pour lesquels tu t’intéresse à Samuel? “<br />

Claudiu Matache: “Parce qu’on parle toujours de Dorin, mais il y a une victime aussi.“<br />

La conclusion de la rencontre a été que pour être un instrument utile, la clinique doit prendre en compte la<br />

victime et lui offrir un rôle et voir son évolution en paralel avec le parcours de l’infracteur.<br />

Ensuite le cadre de la clinique a été quitté et Marie-Claire a fait une présentation de l’institut Ecole et<br />

Famille qui a été mis en place justement pour améliorer la relation et la communication entre les deux points clé<br />

dans la prévention de la délinquance juvenile. Sa présentation a été interactive et vu la participation des écoles,<br />

pour les suivants jour Marie-Claire et Milli se sont déplacées à l’Ecole Nr. 5 pour un échange et une clinique plus<br />

spécialisée. Les autres participants ont continué la clinique avec le cas de Florin – un autre cas mis en discussion<br />

par Liliana Pintea, on a fait la sociogénogramme et on a discuté autour de ce cas.<br />

Le deuxième jour le 24 avril 2007<br />

Les mêmes participants que le premier jour et on a continué la discussion du cas de Florin, et d’un autre<br />

cas. A un certain moment on discutait deux cas différents, en fonction de l’institution qui s’occupait du cas, mais<br />

à un moment donné, tous ceux présents se sont rendu compte qu’il s’agissait d’un cas unique, sauf que chacun<br />

connaissait le cas en fonction des critères propres d’aide et en fonction de la modalité d’établir le groupe cible. Ainsi<br />

le cas de la famille Varga-Coscodar, très connu au niveau de toute la ville a été clarifié comme un seul cas durant<br />

cette rencontre et on a reconnu la complexité et la modalité d’intervention difficile de la part de chaque institution<br />

qui les soutenait déjà d’une façon ou d’une autre.<br />

Le troixième jour le 25 avril 2007<br />

Ce dernier jour aussi que le long de tous les trois, des considérations téchniques pour mieux comprendre la<br />

méthode de la clinique ont été faites. Les discussions concernant la force convocatrice de la famille ont continué sur<br />

le thème de l’espace de déroulement de la clinique. On a fait la différence entre espace ouvert et espace «neutre».<br />

La néutralité n’existe pas en cette optique, mais il s’agit d’offrir un espace ouvert où la famille et les participants<br />

puissent s’exprimer légèrement, avec respect réciproque. Il s’agit d’un espace qui soit le moins traumatisant que<br />

possible qui permette à chacun d’avoir sa propre opinion, qu’il puisse l’exprimer sans avoir peur d’être jujé ou opprimé.<br />

Il ne s’agit seulement d’offrir un espace physique mais aussi un climat, un espace psychique et spirituel, qui<br />

crée la disponibilité de s’ouvrir pour pouvoir offrir sa contribution d’analyse et d’évolution.<br />

Pour cette dernière rencontre de la Clinique de Concertation, on a envoyé à nouveau des invitations à toutes<br />

les institutions publiques et organisations non-gouvernementales invité au début du projet.<br />

Le premier jour le 21 mai 2007<br />

4 personnes ont été présentes ce jour, avec Michele Caccavo on a passé en revue les dimensions relationnelles,<br />

insistant sur la quatrième dimension, “la dimension de l’éthique relationnelle” introduite par B. Nagy.<br />

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