Giannada 48pp (juin 2005) (Page 1)

...et plus de 7,5 millions de visiteurs plus tard
2002 Maurice Chappaz au moment de la prise
d’empreinte de ses mains. Avec celles d’autres
personnalités, leurs moulages en bronze
accueillent le visiteur devant la Fondation.
Gil Zermatten
2003 4 juin, installation de Léonard Gianadda sous la Coupole à Paris.
Son épée d’académicien lui est remise par le ministre
Jean-Jacques Aillagon. L’année suivante, il entre dans la
commission d’acquisition du musée d’Orsay.
«Il y a un peu plus de vingt ans - il suffit de reprendre
certaines coupures de presse - il était de bon ton de
considérer Léonard Gianadda comme le fossoyeur de
l’art et de la culture. Vingt-deux ans plus tard, devant les
caméras de la TSR, le même homme, peu vieilli comme
souvent les gens qui ont fait les choses avec bonheur,
apparaît comme un pivot de la vie culturelle de ce pays.»
Marie-Claude Martin, «Le Temps» en 2000
Henri Cartier-Bresson meurt en 2004, la Fondation
lui dédie une exposition en 2005. Monique Jacot
En 1994, «Cartier-Bresson m’a dit: Léonard je viens
faire ton portrait.» «L’Illustré», Jean-Blaise Besençon en 2005
2001 «Enfin Léonard Gianadda réalise son rêve: présenter
une vraie exposition Picasso rassemblant des œuvres originales.»
Philippe Mathonnet, «Le Temps», 30 juin 2001
1988 Sur le «Banc» du sculpteur George Segal avec
le violoniste Isaac Stern. Au fils des ans, la Fondation
se dote d’un parc de sculptures qui forme un panorama
de la sculpture du 20 e siècle. Marcel Imsand
2005 «Joyeux anniversaire, Léonard.» Cecilia Bartoli
est à Martigny, comme chaque année depuis 1999,
pour les 70 ans de Léonard Gianadda. Georges-André Cretton
«Léonard Gianadda, à l’origine ingénieur et promoteur,
a ressuscité la figure antique du mécène de
l’espace public.» Eric Felley, «L’Hebdo», 9 juin 2005
François, Léonard, Annette et Olivier novembre 1993.
Marcel Imsand
VR – avec l’aimable collaboration de la Médiathèque Valais
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