JULIEN Marcel 22-06-0330F - Ordre des ingénieurs du Québec
JULIEN Marcel 22-06-0330F - Ordre des ingénieurs du Québec
JULIEN Marcel 22-06-0330F - Ordre des ingénieurs du Québec
You also want an ePaper? Increase the reach of your titles
YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.
<strong>22</strong>-<strong>06</strong>-0330 PAGE : 2<br />
ordre professionnel concernant son droit d’exercer sa profession dans le<br />
domaine portant sur le mandat confié, contrevenant ainsi aux articles 3.02.02 et<br />
5.01.01 <strong>du</strong> Code de déontologie <strong>des</strong> Ingénieurs, et à l’article 60.2 <strong>du</strong> Code <strong>des</strong><br />
Professions;<br />
2. A Montréal, le ou vers le 10 janvier 2003, dans le cadre d’un mandat confié<br />
par M. Guy Mailloux (agissant pour et au nom de l’entreprise 9117-2684 <strong>Québec</strong><br />
Inc.), qui portait sur l’examen et la rédaction d’un rapport concernant notamment<br />
les fondations de plusieurs édifices situés au 2365 à 2379 de la rue Jean-<br />
Langlois dans les cité et district de Montréal, l’ingénieur <strong>Marcel</strong> Julien a, malgré<br />
et alors qu’il faisait l’objet d’une décision ren<strong>du</strong>e le 20 décembre 2002 par le<br />
Comité administratif de l’<strong>Ordre</strong> <strong>des</strong> <strong>ingénieurs</strong> <strong>du</strong> <strong>Québec</strong> limitant son droit de<br />
pratique et dans laquelle il est explicitement reconnu «qu’il n’avait pas la<br />
formation ni les compétences pour pratiquer dans la discipline de la structures<br />
(charpente et fondation)» et que « Le Comité administratif estime que le niveau<br />
de compétence de M. Julien est inférieur aux exigences de la protection <strong>du</strong><br />
public », procédé à accepter un mandat sans tenir compte <strong>des</strong> limites de ses<br />
connaissances et de ses aptitu<strong>des</strong>, contrevenant ainsi à l’article 3.01.01 <strong>du</strong><br />
Code de déontologie <strong>des</strong> Ingénieurs;<br />
3. À Montréal, le ou vers le 5 février 2003, dans le cadre d’un mandat confié par<br />
M. Guy Mailloux (agissant pour et au nom de l’entreprise 9117-2684 <strong>Québec</strong><br />
inc.), qui portait sur l’examen et la rédaction d’un rapport concernant notamment<br />
l’analyse <strong>des</strong> sols sur lesquels reposaient les fondations de plusieurs édifices<br />
situés au 2365 à 2379 rue Jean-Langlois dans les cité et district de Montréal,<br />
l’ingénieur <strong>Marcel</strong> Julien a apposé sa signature sur un document, à savoir un<br />
rapport écrit portant sur une « Étude géotechnique », alors que ledit document<br />
n’a pas été préparé par lui-même ni sous sa direction et surveillance immédiate,<br />
mais plutôt par une personne non membre de l’<strong>Ordre</strong> <strong>des</strong> <strong>ingénieurs</strong> <strong>du</strong> <strong>Québec</strong>,<br />
et ce, même si la préparation et la rédaction de ce document constituaient un<br />
acte faisant partie <strong>du</strong> champ de pratique exclusif de l’ingénieur et ce au sens<br />
prévu par les articles 2 e), 2 h) et 3 de la Loi sur les <strong>ingénieurs</strong>, et en ce faisant il<br />
a ainsi contrevenu à l’article 3.04.02 <strong>du</strong> Code de déontologie <strong>des</strong> <strong>ingénieurs</strong>;<br />
4. A Montréal, le ou vers le 5 février 2003, dans le cadre d’un mandat confié par<br />
M. Guy Mailloux (agissant pour et au nom de l’entreprise 9117 -2684 <strong>Québec</strong><br />
inc.), qui portait sur l’examen et la rédaction d’un rapport concernant notamment<br />
l’analyse <strong>des</strong> sols sur lesquels reposaient les fondations de plusieurs édifices<br />
situés au 2365 à 2379 rue Jean-Langlois dans les cité et district de Montréal,<br />
l’ingénieur <strong>Marcel</strong> Julien a, en apposant sa signature sur un document, à savoir<br />
un rapport écrit portant sur une «Étude géotechnique» (alors que le dit document<br />
n’a pas été préparé par lui-même ni sous sa direction et surveillance immédiate<br />
mais plutôt par une personne non membre de l’<strong>Ordre</strong> <strong>des</strong> <strong>ingénieurs</strong> <strong>du</strong> <strong>Québec</strong>