Port de Volos à l'horizon 2030

Podepro 2009/2010
Indicateur conjoncturel de fécondité (en Grèce en 2001)
Source : Kotzamanis B. & Duquenne M.N. (2004), op.cit : p. 650
La seconde composante du mouvement naturel, la mortalité, présente depuis 1956 des
fluctuations moins prononcées que celles de la natalité. Il faut noter que, depuis la fin de la
Seconde Guerre mondiale, entre les deux années enregistrant le maximum et le minimum de
naissances, l’écart est de 62 200 et 50 000 pour les décès (55 800 naissances en 1955 contre 1
052 000 en 2001). Ces variations en valeurs absolues ne font apparaître que la partie
émergente de l’iceberg : en effet, le nombre de décès fut multiplié par deux au cours des
cinquante dernières années, alors que celui des naissances a décru de 60%. La mortalité est
donc en hausse constante depuis le milieu des années 50 alors que l’espérance de vie à tous
les âges est en hausse continue, comme on peut le voir sur le graphique ci-dessous.
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