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revue 18 - Institut Alcor

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L'AMEIII ère PARTIE - L'âme manifeste sa présence jusque dans le plan physique- de l’impact du corps éthérique surle système immunitaire- ainsi que des pathologies et deleur guérison.La médecine conçoit la notiond’identité en thérapie mais elle serait àdévelopper davantage. Cela correspondau système HLA – de l’anglais HumanLeucocyte Antigens entendez par là lesystème d’histocompatibilité – et impliqueque le corps soit en accord avecl’identité profonde de la personne àl’image d’un instrument de musiquequi est accordé. Cet accord se fait aumoyen du champ magnétique de lapersonne qui est le lien entre le corpsphysique et son psychisme.L’organisme vivant doit faire siennesles particules de toute matière étrangèreintroduite dans son corps, qu’ils’agisse de nourriture, de transfusionsanguine ou d’une transplantation d’organe.S’il n’y parvient pas, la substanceétrangère est éliminée. C’est pourquoi,une transplantation d’organe peut amenerun phénomène de rejet de la partdu receveur. Il faut donc être sûr dela compatibilité, autant que faire sepeut, avant de procéder à une transplantation.Pour nous, <strong>Institut</strong> <strong>Alcor</strong>, se pose laquestion de l’âme et du corps éthérique.C’est en effet, ce dernier – contrepartie du corps dense – qui est considérécomme le système immunitaire subtildu corps physique dense.Qu’en est-ilde la mémoirecellulaire ?Lorsque l’organe transplanté estcompatible avec le corps du receveuret que la transplantation est une « réussite» sur le plan physique, ce n’est paspour autant que le problème est résolusur le plan intérieur, autrement dit surle plan de la conscience. Seuls les progrèsspirituels accomplis dans sa vieprésente permettront à la personnede « métaboliser » et de se transformerintérieurement, autrement dit de poserun autre regard sur la vie.De plus, même si le receveur n’ena pas toujours conscience, une relationexiste entre le donneur et lui.En ce qui concerne les personnes quiacceptent de donner un organe aprèsleur mort, il faudrait qu’elles soientconscientes du fait suivant :Pendant les trois jours et demi quisuivent la mort du corps dense, uneimportante période de l’évolution sedéroule ; l’âme entreprend la rétrospectivede la vie qui vient de s’achever,et ce panorama formera la base de sesexpériences post-mortem dans les mondesspirituels ; ce panorama se dérouleen sens inverse et va de la vieillesse àla première enfance.C’est dans la mesure où cette rétrospectiveest vécue sans perturbation quel’âme pourra profiter pleinement desleçons de la vie qui vient de s’achever.En effet, pendant que ce panorama sedéroule, la corde d’argent qui relie lesvéhicules supérieurs au corps dense estencore intacte.Ainsi, bien que la personne soitconsidérée comme « morte », uneconnexion demeure avec son corpsdense, et l’Esprit reste conscient detoute atteinte portée à celui-ci. Etantdonné que les organes à transplanterdoivent être prélevés immédiatementaprès la mort du donneur, y a-t-il desconséquences sur les rapports entrel’âme et le véhicule qu’elle abandonne ?Y a-t-il un risque de perturber le retraitde l’âme ?Il faut rappeler que lors de la mort,le courant sanguin, le système nerveuxet le système endocrinien sont affectés.Les nadis s’organisent en vue del’abstraction et le système glandulaireinjecte dans le sang une substance quiaffecte le cœur. « Le courant sanguinest affecté d’une manière occulte particulière…Il est changé intérieurement…par l’effet d’une activité non encoredécouverte par la science moderne etdont la responsabilité incombe au systèmeglandulaire. En réponse à l’appelde la mort, les glandes injectent dansle sang une substance qui, à son tour,affecte le cœur où le fil de vie est ancré.Cette substance… est considérée comme« donnant la mort ». Elle est égalementl’une des causes fondamentales du comaet de la perte de conscience ». 5 Le corpséthérique commence alors à se détacheret à se retirer en réponse à l’appel del’âme. Il est à signaler qu’en conservantsa conscience, le mourant rassemblealors ses forces pour l’abstraction finale.5 Guérison ésotérique d’A.A.B. Ed. LucisTrust p. angl. 474 – pages françaises 371Ceci nous amène à dire quelques motssur l’état de mort cérébrale.Quelques mots surla mort cérébralelors du prélèvementd’organesSaviez-vous que, pour pouvoirprélever des organes, le « mort »doit souvent être… anesthésié ?C’est une réalité qui est rarementrévélée aux donneurs, et à leurfamille. Pour pouvoir être transplantés,les organes doivent êtrefrais. Le cœur d’une personne mortedepuis ne serait-ce que cinq minutesest inutilisable : il ne se remettrajamais à battre, y compris avec unpacemaker (un appareil qui donnedes chocs électriques pour stimulerles pulsations). Il en va de même desautres organes vitaux (reins, foie,pancréas, poumons…). Pour que lesorganes soient bien frais, donc, il fautqu’ils soient encore en train de fonctionnerau moment où ils sont prélevés.Ils ne peuvent donc pas être prélevés surun « mort » réellement mort, mais surune personne en état de « mort cérébrale», ce qui, nous allons le voir… esttrès différent.La « mort cérébrale » permetl’ouverture de la procédure de prélèvementd’organes. Le concept de « mortcérébrale » a été inventé en 1968 6 . C’està cette période, en effet que les critèresont été définis. Jusque-là, on neconnaissait que deux états : vivant oumort. Une personne morte ne peut toutsimplement plus guérir. Ses organesvitaux, le cœur, le foie, les poumons,les reins et le pancréas ne fonctionnentplus. On ne peut plus les transplantersur une personne vivante, car ils commencentà se décomposer aussitôt quel’oxygénation et la circulation sanguines’arrêtent. Cinq minutes plus tard, ilssont inutilisables.Pour pouvoir prélever des organesencore vivants, et donc capablesd’être transplantés sur une nouvelle6 Ad Hoc Commitee of the Harvard MédicalSchool to Examine the Definition ofBrain Death, A definition of irreversiblecoma : report of the Ad Hoc committeeof the Harvard Medical School, JAMA,1968; 205:337-340Le Son Bleu - N° <strong>18</strong> - Septembre 2012 - P. 47

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