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revue 18 - Institut Alcor

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L'AMEIII ème PARTIE - L'âme manifeste sa présence jusque dans le plan physiquepersonne, les médecins créèrent en 1968le concept de « mort cérébrale ». Unepersonne dont le cœur fonctionne, lesang circule, et la respiration est régulièrepeut donc aujourd’hui être déclaréeen état de « mort cérébrale ». Onsait pourtant que, dans ce cas, la plupartdes fonctions vitales continuent, dontla digestion, l’excrétion (évacuation desdéchets), et l’équilibre des fluides.S’il a des blessures, on constateraque le « mort cérébral » cicatrise, et sic’est un enfant, qu’il continue à grandir.Une femme enceinte en état de « mortcérébrale » peut continuer à porter sonenfant : la plus longue période enregistréeest de 107 jours jusqu’à l’accouchement.En revanche, une fois que sesorganes vitaux sont retirés pour êtretransplantés sur une autre personne,le « donneur » d’organe décède pourde bon.Pour préleverdes organes,le « mort » doitd’abord êtreanesthésiéTrès souvent, la personne en étatde « mort cérébrale » est sensible auxopérations chirurgicales. Pour pouvoirprélever les organes vitaux, les médecinsdoivent donc pratiquer l’anesthésie, ouinjecter des substances paralysantespour éviter les spasmes musculaires,ou les changements brutaux de pressionsanguine, de rythme cardiaque, etd’autres réflexes protecteurs.Dans la pratique médicale normale,de telles réactions de la personneopérée indiquent à l’anesthésiste quel’anesthésie est trop légère, et que lepatient souffre.Ces informations, que n’importequel médecin pourra vous confirmer,sont malheureusement mal connuesdu grand public. Il semble égalementque les familles à qui l’on demanded’autoriser un prélèvement d’organe nesoient malheureusement pas toujoursinformées objectivement » 7 .7 Article publié dans le journal Le Monde,disponible ici : http://actuagencebi-P. 48 - Le Son Bleu - N° <strong>18</strong> - Septembre 2012Cependant, les personnes qui acceptentde devenir « donneur » sont, engénéral, motivées par l’amour et leservice et cela constitue un facteur decroissance spirituelle qui pourra largementcompenser, dans la plupart descas, le préjudice subi.En conclusion, nous devons admettreque nous sommes loin de connaître toutesles conséquences spirituelles d’unetransplantation d’organe. Mais, commepour beaucoup de choses sur ce planterrestre, cela n’est ni « tout blanc »,ni « tout noir. » Si le donneur est pleinementconsentant (mais, est-ce bientoujours le cas ?) et vit cela en espritde service, et si le receveur profite dece supplément de vie physique pourprogresser spirituellement, l’effet globalsera positif.Problème du rejetou de l’acceptationdu greffonpar le receveur“La mémoire cellulaire” dont nousavons parlé ci-dessus, est définie commela capacité des cellules des tissus vivantsà mémoriser et à se souvenir des caractéristiquesdu corps dont ils sont originaires.Aussi les organes greffés sontsouvent rejetés par l’hôte et le tauxd’échec d’une greffe – vu du point devue du donneur – est considérable carla mémoire côté « greffon » n’est absolumentpas la même du côté « greffé ».La médecine orthodoxe utilise des médicamentsimmunosuppressifs puissants(la cyclosporine) ainsi que d’autres technologiespour prévenir le rejet d’ungreffe.Lors de transplantation d’organe, lesystème immunitaire du physique denseest donc ramené à zéro pour éviter lerejet du greffon intrus. Mais qu’en est-ildu corps éthérique qui est son systèmeimmunitaire subtil ? En général, les personnesgreffées doivent prendre à viedes traitements anti-suppresseurs. Cequi veut dire que le corps éthérique etson outil, le corps dense, continuent àvouloir rejeter l’intrus.Toutefois, lors de greffe de moelleosseuse chez les personnes atteintes deomed.blogspot.fr/2008/06/le-donneurdorganes-ntait-pas-mort.htmlleucémie, il arrive que le groupe sanguindu receveur change et deviennecelui du donneur. A ce moment-là, il n’ya plus besoin de prendre de la cyclosporinecar la cohésion de la personneest respectée. Est-ce à dire que la greffede moelle osseuse change si profondémentle principe de vie du receveurpour que son corps éthérique ne rejetteplus l’intrus ? Et qu’en est-il de l’âme ?Si la greffe réussit c’est inévitablementle signe qu’elle peut continuer à communiqueravec son véhicule via le corpséthérique.Nous voyons au travers de cesréflexions et diverses constatations,qu’il manque cet aspect « conscience »à la médecine actuelle et qu’elle auraittout à gagner à s’ouvrir à un questionnementde plus en plus grand.Le problème descellules souchesLes débats autour de l’utilisation descellules souches représentent sans doutel’un des thèmes majeurs de la recherchescientifique d’aujourd’hui. Ils touchent àdes notions qui ont fasciné les hommesdepuis les prémices de la médecine : larégénération, l’immortalité et toutesles idées qui leur sont associées. Un destitres d’un article de la newsletter duquotidien du médecin paru le 12 juin2012 s’intitulait : « Des cellules souches,source de vie après la mort ».L’acquisition de ce matériel biologiqueissu d’un embryon mène nécessairementà des questionnementséthiques.Une cellule-souche est une cellulequi est capable de se diviser et de semultiplier tout au long de la vie, assurantle renouvellement des cellules d’unindividu. La division d’une cellule-soucheproduit une nouvelle cellule-souche(cellule de « réserve ») et une cellules’engageant dans un processus de différenciationqui la conduira à remplirune fonction précise. Ainsi, par leurdivision et leur multiplication, les cellulessouches peuvent donner naissanceà différents types de cellules aux fonctionsspécifiques diverses. Tous les êtresvivants pluricellulaires possèdent descellules souches. Elles sont à l’origine detous les tissus et en assurent le renouvellement.La recherche sur les cellulessouches a un énorme potentiel dansle domaine médical. L’objectif majeur

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