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Le DPLGJusqu'au 31 décembre 2007, les étudiantsont eu la possibilité de faire valider leursTFPE et obtenir leur DPLG (Diplômé d'architecturePar Le Gouvernement).Depuis la mise en place de la réforme desétudes en architecture en 2005, la délivrancedu DPLG a été supprimé, les derniers étudiantsinscrits sous le cursus précédant onteu jusqu'au 31 décembre 2007 pour validerleur diplôme.Dorénavant, le Diplôme d'État est délivréaprès 5 années d'études en architecture,sous réserve d'avoir validé un nombre suffisantd'Unités d'Enseignement, il confèrele grade de Master.43 candidats ont obtenu leur diplôme pourcette dernière année de validation duDPLG.La pédagogie\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\> Premier CycleBilan par champ disciplinaireBilan SHSL'enseignement de la sociologie et del'anthropologie dans le cycle Licence estcomposé de trois enseignements obligatoireset d'un enseignement optionnel, cedernier enseignement ne s'adresse qu'auxétudiants de L1.En 1 e année, l'ensemble de la promotion suitun cours magistral : "Introduction à la sociologieurbaine".L'objectif de ce cours est d'introduire quelquescourants fondateurs et actuels de lasociologie permettant aux étudiants de sesituer dans les discours et les référencesactuelles les plus usuels, notammentlorsqu'on aborde la conception et la transformationdes espaces habités ; de former lesétudiants à la démarche critique et auxmodes de réflexion des sciences sociales ;de montrer l'importance d'une connaissanceapprofondie du social pour penser et agir surl'espace.L'enseignement optionnel s'intitule : "Architecture/sociologie".L'objectif est d'apprendre aux étudiants àadopter des lectures complémentaires dela ville et de la rue : une lecture du cadrebâti et une lecture qui relève de ses pratiqueset de ses usages ; d'étudier l'espacecomme configuration physique mais aussicomme espace investi, qualifié, produit parla pratique quotidienne ; de mettre au centred'une démarche de projet, les usagers,les habitants, les citadins ; d'initier des"intentions de projet" et des préconisationsd'aménagement en se basant sur sa propreobservation.Cet enseignement a été choisi en 2007-2008 par plus de 2/3 des étudiants de lapromotion.En 2 e année, les étudiants suivent un coursobligatoire d'anthropologie urbaine/anthropologiede l'espace comportant une partiede cours magistral et une partie de TD.Ce cours a pour objectif d'initier les étudiantsà une autre manière de lire l'espace,de s'interroger sur son organisation, d'endégager une traduction, de mieux comprendreles interrelations entre l'homme etson environnement construit et surtout dene rien prendre pour "acquis" ou "normal".Le but est de montrer l'intérêt de cettediscipline dans une réflexion sur la ville etl'habitat en rappelant que l'espace habitéest une construction sociale. Nous soulignonsla complexité des espaces vécus etla dimension culturelle des territoires.En 3 e année, les étudiants suivent un coursobligatoire intitulé "Sociologie des espaceshabités" comportant une partie de coursmagistral et une partie de TD.Cet enseignement veut prendre en comptel'habitant de son quartier à son logement. Ilest basé sur l'étude des grandes évolutionsde la sociologie de l'habitat, du logementet de la famille. Ce cours développe unepremière approche des façons dont lespratiques et les représentations de l'espaceparticipent à la production de l'architectureet des lieux habités.Après deux années d'enseignement, un premierbilan peut être dressé :1| La progression de l'enseignement ensciences humaines et sociales, du plusgénéral au plus particulier dans le cycleLicence, se confirme.2| Il se confirme qu'un équilibre a été trouvéentre l'apprentissage de connaissancesabstraites et des connaissances pratiques,cours théoriques (magistraux) et "mises ensituation" grâce à la création de travaux dirigésen L2 et en L3.3| La création de liens entre les différentesdisciplines (notamment l'analyse urbaineet l'architecture) et les SHS se fait concrètementà deux moments au cours du cycleLicence.Ces liens se matérialisent par le choix d'un"territoire d'étude commun" avec le projeturbain et/ou le projet d'architecture en L3.4| Il n'en reste pas moins que, malgré l'existencede ces trois modules, chaque étudiantne bénéficie pas d'un enseignement suffisanten terme de volume horaire. Celadonne parfois une impression de "saupoudrage"des connaissances et des savoirs.5| Ces connaissances ne trouvent ensuiteaucun véritable approfondissement en cycleMaster, la sociologie et l'anthropologie étantquasiment absente de fait dans les différentsdomaines d'études.21
apport d’activité 2007-08 \ ensacf \ les études22Bilan HCADésormais, l'enseignement de l'histoire etculture architecturale tient la place qui luirevient. Pendant de nombreuses années,nous avions le sentiment, malgré nosefforts, d'être relativement marginalisésdans une école centrée de façon parfoisexcessive sur le projet et uniquement leprojet. Le Séminaire du printemps 2008 afait apparaître à la fois notre spécificité et,d'autre part, nos liens directs avec d'autresenseignements. La grand part prise parCorinne Jacquand dans ce Séminaire l'adémontré. Outre les cours magistrauxassurés régulièrement, notre participationau suivi des mémoires s'est amplifiée ;nous avons été sollicités par un très grandnombre d'étudiants pour diriger leurs travauxde façon hebdomadaire. Nous avonsété parfois surpris de la qualité des travauxprésentés, notamment dans l'UE deClaude Gaillard. Les étudiants ont faitpreuve d'un véritable sérieux, d'une qualitéuniversitaire de niveau de maîtrise.En d'autres termes, l'histoire n'apparaît pluscomme un alibi obligatoire, un préalable auprojet et encore moins à un étalage denotions non maîtrisées parce que jamaiscirconscrites. Enfin, histoire et culture sontcomprises comme des agents de la productionarchitecturale, dynamique du projetet contexte de toute professionnalisation.Nous devons enfin relevé la capacité critiqueacquise par la plupart des étudiants.Conscients de cette évolution, nous poursuivonsnos efforts dans ce sens.Aujourd'hui, l'enseignement de l'histoire etla culture architecturales est assuré parquatre enseignants, ce qui renforce notrereprésentativité et permet très probablementune meilleure intégration. Nousn'avons pas, dans un bilan, à revenir sur lecontenu même de nos cours respectifs, sice n'est de souligner que les voies prisesconfirment l'éventail des connaissancesmises au service des étudiants.Si nous pouvons apprécier la dynamiquegénérale de notre enseignement dans uneécole qui désormais a supprimé tout prèscarréet compte-tenu de nos engagementsde plus en plus approfondis dans la collaborationdirecte entre projet et histoire,nous souffrons d'un manque de relationsinternes.Nous avons à travailler davantage à mettreen place quelques rencontres qui augmenteraitprobablement le sentiment d'équipe et,en cas de problèmes, tenter de les résoudreensemble.Évidemment, comme dans tout établissementd'enseignement, il y a de brillants étudiantset de moins bons étudiants. La naturede notre enseignement reste minoritaire, neserait-ce que par le coefficient qui nousrevient dans la notation des élèves. Il estparfois difficile de sanctionner d'excellentséléments dans le domaine du projet quimontrerait des lacunes manifestes dans ledomaine culturel - ce qui peut arriver. Nousdevons rester souples sans pour autant sesoumettre à un avis contraire. Il en va denotre crédibilité.L'année 2007-2008 s'est engagée dansune dynamique incontestable, malgré quelquesaccidents de parcours relativementcirconstanciels qui n'ont pas endommagéla place de notre enseignement dans la formationdes étudiants.Bilan ATRLes unités d'enseignements spécifiques enATR en premier cycle sont obligatoires etgèrent l'intégralité les promotions de L1 etL2.En L3, puis en Master, les enseignementsen ATR sont optionnels.Pour ce qui concerne la première année deLicence lors de l'année universitaire 2007-08, les enseignements spécifiques en ATRont été très perturbés, au même titre qued'autres enseignements, par le nombreimportant d'étudiants du fait de l'augmentationdu quota d'étudiants admis en premièreannée conjugué au taux élevé de redoublants.En deuxième année, les cours de dessind'art, de dessin d'architecture, de couleur,de photographie, d'écriture et d'infographieont également pâtis d'un nombre élevéd'étudiants avec de réelles difficultés pourles enseignants pour la mise en œuvreconvenable de soutien auprès des étudiantsen difficulté. Il s'en est suivi un retard dansla réalisation du programme.UE 1,3- 2,3 :Outils de représentation et d'expressionDessin à main levée semestre 2En cours d'année, l'encadrement a pu êtrerenforcé. Un 3 e enseignant a été recruté enla personne d'Hélène Latte (artiste) vacatairepour le dessin d'art.L'équipe enseignante, se composant désormaisde R. Bourdier, J.P. Hérault et H. Latte,fonctionnait ensemble, sur la même plagehoraire pour les trois groupes (7h30 hebdomadaire).Le cours de soutien a été assuré auprèsdes étudiants en difficulté par R. Bourdierau deuxième semestre.UE 3,3 :Outils de représentation et d'expressionCouleurL'encadrement du premier semestre secomposait de deux enseignants pour deuxgroupes et d'un enseignant pour le troisièmegroupe.Ce déséquilibre d'encadrement entre lestrois groupes a entrainé des disparitésdans les corrections. En conséquence, audeuxième semestre, un rééquilibrage a pu
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