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Tableau 15 JOPAL : répartition des sous-classes les ... - Luc Quoniam

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CHAPITRE 1 - CONTEXTE, PROBLEMATIQUE ET OBJECTIFSet consensuel<strong>les</strong> que cel<strong>les</strong> d’être rapidement, efficacement et au meilleur coût très bieninformé, ne font que soulever l’obstacle méthodologique que constitue le manque de lienentre informations. Ceci est d’autant plus vrai que l’on quitte le niveau <strong>des</strong> questions deterrain pour traiter <strong>des</strong> niveaux plus stratégiques pour l’avenir de l’organisation (69) .volumed’informationveilletechnologiqueniveau stratégiqueniveau tactiquela nature de la décisionconditionnele niveau d’information et de veilleniveau opérationnelobjectifsFigure 8 Une mission de la veille : redonner une unité à <strong>des</strong> informations éparsesDans le modèle rationnel <strong>des</strong> processus de prise de décisions stratégiques, la veille meten évidence, autant qu’elle tente d’y apporter remède, la dépendance économique del’entreprise par rapport à la collecte et l’utilisation de la bonne information, le besoind’établir <strong>des</strong> ponts entre informations a priori faiblement liées et le danger d’êtredépendant d’une source unique. L’information critique doit être une information critiquée :« La pluralité <strong>des</strong> sources d’information et l’intensité de leur utilisation illustre lerôle crucial de la communication et de la diffusion <strong>des</strong> informations scientifiques ettechniques [...]. En France, l’offre d’information scientifique et technique(l’intelligence économique au sens général), <strong>les</strong> bases de données ne sont pas à lahauteur <strong>des</strong> besoins » (70) .Des réponses, aussi partiel<strong>les</strong> et provisoires soient-el<strong>les</strong>, sont cependant possib<strong>les</strong> et sesituent à <strong>des</strong> niveaux extrêmement divers, selon la taille <strong>des</strong> entreprises, la forme <strong>des</strong>organisations ou <strong>des</strong> secteurs concernés. On trouve ainsi <strong>des</strong> solutions spontanémentinventées par nombre d’acteurs dans leurs relations quotidiennes mais qui restentdépendantes de leur capacité propre. D’autres réponses ont été élaborées au niveaucollectif : développement de structures de médiation (centres techniques, etc.) oud’orientation stratégique (comité d’experts, cellu<strong>les</strong> d’administrations centra<strong>les</strong> outerritoria<strong>les</strong>), ou encore encouragement <strong>des</strong> grands acteurs de l’IST à prendre en comptecette dimension. Plus en amont, <strong>des</strong> approches d’ordre méthodologique et théorique ontvu le jour : en témoignent <strong>les</strong> travaux dans <strong>les</strong> domaines <strong>des</strong> systèmes d’aide à ladécision, <strong>des</strong> sciences de l’information, <strong>des</strong> outils bibliométriques comme ceuxdéveloppés au CRRM (71) , ou le renouvellement de l’analyse <strong>des</strong> brevets (72) ou de la31

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