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Tableau 15 JOPAL : répartition des sous-classes les ... - Luc Quoniam

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CHAPITRE 1 - CONTEXTE, PROBLEMATIQUE ET OBJECTIFSplus fondamenta<strong>les</strong>, est fréquemment considérée <strong>sous</strong> l’angle de sa détection au plustôt. Contrairement à cette doctrine, notre projet voudrait seulement multiplier et/ouélargir ces imbrications, sans considération particulière <strong>des</strong> signaux faib<strong>les</strong>2. de la méthode : la veille technologique exploite tous <strong>les</strong> types d’information disponib<strong>les</strong>mais, sur le plan qualitatif, elle tend à privilégier 2 l’information informelle (76) . Dans notreprojet, l’information sera exclusivement abordée <strong>sous</strong> l’un de ses mo<strong>des</strong> decommunication formalisée que sont <strong>les</strong> banques de donnée scientifiques ettechniques. N’y sera donc traitée que l’information <strong>sous</strong> sa forme textuelle3. du positionnement : loin d’ignorer son importance, notre solution est seulementorientée vers la veille. Celle-ci pourra l’exploiter comme n’importe quelle matièrepremière utile à ses outils de surveillance, avec toute la distance qu’elle a prise avecl’information documentaire. Notre problématique ne peut pas être considérée commerelevant directement de la veille car elle se situe en amont de ses développements.Cependant, un service de veille pourra exploiter un tel outil, <strong>sous</strong> réserve que sonefficacité soit suffisamment développée dans ce sens.1.2.4 Une relation plus explicite entre science et technologieNous avons vu que <strong>les</strong> entreprises innovantes sont particulièrement sensib<strong>les</strong> aux liensréels ou recherchés entre informations scientifiques et techniques. Or, en France, laperception ou l’établissement de ces liens est l’une <strong>des</strong> faib<strong>les</strong>ses de l’innovation.Comment augmenter le nombre et la visibilité de ces liens pour aider ce point faible etfavoriser l’abaissement <strong>des</strong> barrières entre recherche fondamentale et appliquée ?L’articulation du couple science et technique se révèle particulièrement complexe et ne seréduit à aucune analyse linéaire et mécaniste. De même qu’il serait réducteur deconsidérer l’objet technique comme une simple chose « tout objet a une double face : uneface technologique, la plus apparente, [...], et une face organisationnelle, généralementméconnue et qui permet de retracer l’ensemble <strong>des</strong> relations et connexions qui ont éténécessaires à sa production » (77) . Au moins peut-on penser que « ce sont <strong>les</strong> résultatsacquis aujourd’hui en recherche fondamentale qui sont à la base <strong>des</strong> sautstechnologiques de demain et de la production d’après-demain » (78) . Cette complexité33

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