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Tableau 15 JOPAL : répartition des sous-classes les ... - Luc Quoniam

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CHAPITRE 1 - CONTEXTE, PROBLEMATIQUE ET OBJECTIFS1.2.5 Un lien entre informations formaliséesDans <strong>les</strong> rapports de collaboration tissés entre entreprises, ou entre industriels etlaboratoires de recherche, 80% à 90% <strong>des</strong> véritab<strong>les</strong> liens s’établissent d’abord au niveau<strong>des</strong> contacts informels, à travers <strong>des</strong> réseaux personnels très proches et très privilégiés.La veille technologique qui explore sans relâche <strong>les</strong> liens science-technologie ou qui tentede <strong>les</strong> identifier, aime à le rappeler. Car ces relations apportent, par el<strong>les</strong>-mêmes, uneforme de garantie de crédibilité, de confidentialité, et de confiance indispensable auxprojets qui peuvent mettre en jeu tout ou partie de l’avenir de l’entreprise. Mais cettegarantie, aussi importante soit-elle, n’est pas suffisante à elle seule. Les niveauxd’échange plus formalisés contribuent également à réduire l’incertitude globale liée à cetype de collaboration. Parmi ces éléments formels, outre <strong>les</strong> compétences requises, lacommunauté de langage, la formulation du problème, etc., figure également la maîtrise<strong>des</strong> connaissances impliquées dans toute démarche d’innovation technologique.Si l’information technique n’est pas le symétrique inversé de l’information scientifique et si<strong>les</strong> rapports entre <strong>les</strong> laboratoires et <strong>les</strong> entreprises ne s’établissent pas dans un simplejeu de miroir, notre projet présuppose cependant de la part <strong>des</strong> laboratoires et <strong>des</strong>entreprises une certaine maîtrise de l’information scientifique et industrielle sachant quel’effort que l’entreprise doit fournir pour appréhender l’information scientifique est toutaussi important que celui du laboratoire pour analyser l’information industrielle. La veilleillustre bien <strong>les</strong> actions engagées par <strong>les</strong> entreprises, et plus rarement par quelqueslaboratoires, au niveau de l’information informelle et indique la voie qui peut être suivie auniveau <strong>des</strong> informations formalisées. Les étu<strong>des</strong> de type bibliométrique ont déjà montré<strong>les</strong> possibilités de certains traitements (80) mais également ses limites (81) et toute laprudence nécessaire à l’interprétation de certains indices (82) . Ces étu<strong>des</strong> restentcependant tributaires <strong>des</strong> barrières liées à une information éclatée car elle ne permet pastoujours la constitution de corpus pertinents qui évitent l’introduction de biais dans <strong>les</strong>analyses. Ces observations et ces analyses devraient donc pouvoir s’appuyer sur <strong>des</strong>rapprochements, mêmes limités aux sources d’information formelle (Figure 10), ou leurssimp<strong>les</strong> présomptions, jusqu’ici réservés aux seuls experts.lien avecd’autresinformationsformalisées?MCinformationsformel<strong>les</strong>VTinformationsinformel<strong>les</strong>Figure 10 En amont de la veille, mettre en correspondance <strong>des</strong> informations formel<strong>les</strong>35

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