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LES TRIBULATIONS D'UN DECOUVREUR NON ... - Amessi

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oculaire et l'herpès génital étaient terrassés en quelques heures. Les psoriasis vieux devingt-cinq ans étaient guéris en moins d'une semaine, ainsi que les aphtes de la bouche.De nombreuses autres affections virales, telles que la grippe ou les oreillons, trèsfréquentes chez l'enfant et l'adulte, étaient également vaincues. Jusqu'à ce jour, lespossibilités médicales employées étaient risibles : rester au lit, pour éviter lescomplications.Une autre affection virale mériterait d'être traitée par le D.N.V. : c'est le SIDA. Bien quemoins facilement transmissible que la peste, il commence à susciter une frayeur aussigrande que celle provoquée par cette épidémie au Moyen-Âge 13 .Avec Loïc Le Ribault, nous oeuvrons à libérer l'humanité de la hantise du SIDA, et passimplement comme quelques théoriciens actuels à promettre un vaccin dans les vingt ansqui viennent.Nous ne savons pas encore si plus tard les noms de Loïc Le Ribault et de NorbertDuffaut seront cités avec autant de déférence que ceux de Louis Pasteur et de Fleming.Pour notre part, nous n'y voyons aucun obstacle, puisque notre découverte estéquivalente à celle de nos illustres prédécesseurs 14 .- 3 -LA CATARACTEDès le début de mes travaux sur le D.N.R., j'avais été amené à l'utiliser enophtalmologie. Jacques Janet, qui connaissait bien la technique utilisée par le docteurMorizot pour soigner toutes les affections des yeux par ionocinèse, pensa y associer leD.N.R. Il confia l'éxpérimentation à un ophtalmologue qu'il croyait un ami et un chercheur.Ce dernier l'essaya avec succès sur sa propre soeur qui avait des hémorragies rétinienneset ne relevait plus des thérapeutiques classiques.Le susdit ophtalmologue, qui venait d'achever ses études, déclara qu'il fallait attendreson installation et que l'on verrait alors ce qu'il savait faire.Mais à ce moment-là, il eut des altercations avec ses collègues sur la technique del'ionocinèse, technique considérée comme peu orthodoxe. Ajoutons qu'à cette époque leD.N.R. n'était pas encore commercialisé. Le fait est qu'il ne donna aucune suite à sapromesse et que nos relations se relâchèrent petit à petit.Le laboratoire bordelais qui devait commercialiser le D.N.R. en ophtalmologie lui avaitdemandé de procéder à l'étude de ce médicament sur la cataracte du lapin. Aprèsquelques essais malheureux, il se récusa sans gloire. Il faut dire que la manipulation étaitdélicate. Mais un jeune agrégé bordelais mena l'expérimentation avec talent, voire avecbrio. Il permit au laboratoire pharmaceutique de constituer un dossier valabale etd'obtenir un visa ministériel pour la commercialisation du D.N.R. en pharmacie.Finalement, la vente fut assurée par un laboratoire étranger à Bordeaux, spécialisé enophtalmologie. J'avais eu l'occasion de constater, dans le cas d'une cataracte, que l'acuitévisuelle passait de 4 à 7 en moins de deux mois chez les malades, à condition de prendreun à deux bains d'oeil de une minute chaque jour, et d'ajouter quelques additifs banauxau D.N.R.13 En 1987, nous avions informé Jacques Valade, à l'époque ministre de la Recherche, que le D.N.V. pouvait représenter un espoirdans le traitement du SIDA, et qu'il était nécessaire de le tester immédiatement en ce domaine. Un constat expliquant le modeopératoire avait été établi devant huissier le 1er juillet 1987 (référence MBL/MB) (ND LLR)14 Il est hélas désormais prouvé que, toute sa vie, Louis Pasteur (1822-1895) se contenta de piller les travaux d'authentiquesdécouvreurs de son époque, et en particulier ceux d'Antoine Béchamp (1816-1908). Pour cela, Pasteur utilisa les procédés les plusignobles. A l'époque où Norbert Duffaut écrivait ces lignes, dans lesquelles il me fait beaucoup d'honneur, il ne connaissait àl'évidence que la version officielle des prétendues découvertes de Pasteur. Je n'ai moi-même découvert la vérité, avec stupéfaction,qu'en 1997 ! Pour en savoir plus sur le "scandale Pasteur", lire notamment Savants maudits, chercheurs exclus (par Pierre Lance,Presses de Valmy, 2001) (ND LLR)

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