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LES TRIBULATIONS D'UN DECOUVREUR NON ... - Amessi

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directeur, jointe à une ignorance crasse des sciences expérimentales et à desconnaissances archaïques, m'amenèrent à lui adresser des lettres hautes en couleur pourlui faire connaître mon mécontentement. Il prétendait, comme beaucoup d'ophtalmologues,que les bains d'yeux provoquaient des macérations et que les gouttes instilléesdans les yeux ne provoquaient pas un tel phénomène. Les milliers de patients qui, chaquejour depuis des années, utilisent les bains d'yeux d'Optrex, médicament universellementconnu, ne se plaignent pas de ce type de complications, à ma connaissance.Le directeur de ce laboratoire continua à faire appliquer sa spécialité par instillation degouttes dans les yeux, et empêcha des millions de patients de profiter de bains d'yeuxsalvateurs de D.N.R. pour guérir leur cataracte.Au cours des ans, je me souviens avoir dans de très nombreuses familles connu despersonnes atteintes de cancer ou de maladies incurables.Après avoir subi de nombreuses opérations mutilantes, souvent les pauvres maladesrentraient vivre leurs dernières semaines au milieu des leurs.J'ai toujours vu les médecins de famille appelés en catastrophe de jour et de nuit. J'aitoujours vu ces médecins embarrassés puis catastrophés dire : " Nous ne pouvons plusrien. La science est dépassée".Ils utilisaient bien quelques astuces du métier en faisant appel en consultation àd'autres confrères, ou en faisant passer un scanner pour confirmer que cela n'allait pas dutout. Le scanner, à défaut de thérapeutique efficace, constatait, comme lui permettait lascience, que la situation était catastrophique.Toutefois, au point de vue pratique, à de très rares exceptions près, j'ai toujours vu lespraticiens percevoir leurs honoraires, normaux le jour, largement majorés les nuits et lesjours de fêtes, bien qu'ils aient avoué leur impuissance à prescrire un médicament officielsalvateur.Faute de s'informer sur les médecines douces ou les médicaments d'avant-garde, surle plan financier ils avaient le réflexe de percevoir scrupuleusement les sommesconseillées par leur profession.Au point de vue commercial, mes démarches avaient été aussi peu efficaces qu'aupoint de vue scientifique ou médical.Je n'étais pas pour autant découragé et poursuivais ma lutte pour faire triompher leD.N.R.

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